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Henner
65 abonnés
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2,5
Publiée le 20 décembre 2024
Une dame officier de police à la frontière mexicaine fait un peu trop de zèle. Elle n'aime pas les clandestins. Le sujet aurait pu être intéressant. Malheureusement c'est bien étiré et bien long ... On nous fait comprendre que l'inspectrice Harry prompte à la détente est en réalité une âme en souffrance. L'analyse psychoilogique c'est bien mais le récit c'est pas mal npn plus. Or celui-ci cahote sur la piste et finit par s'embourber avec une chute finale qui n'en est pas une et nous laisse sur notre faim. On regrettera aussi le parti pris un peu trop appuyé du "bon" indien contre "les méchants" gringos. Un film qui se laisse voir même si on baille un peu, qu'on espère des rebondissements qui ne viennent pas et qu'on s'enlise dans les états d'âme.
ouf du bon cinéma d’auteur américain sur un sujet très sensible ( n’est ce pas monsieur Trump?) les patrols borders)….C’est admirablement filmé avec un fort ressenti de cette frontière texane ? avec le Mexique….Le film raconte la journée éprouvante d’une agent de patrouille, sa vie personnelle, privée, son boulot dans le désert, interprétée par la magistrale Vicky Krieps, légèrement psychopathe, pauvres migrants… Le portrait est sans concession sur la personnalité de cette « patrouilleuse », sur sa force de caractère et l’envers du décor...Très américain tout cela même si le film est européen ( belge)….Le film aimante le spectateur par sa mise en scène et ses émotions brutales….Je conseille sans hésiter
Un fill sur l'Amérique qui fzut oeuf. U e policière frustree illuminee et cruelle abat de sans froid un immigrant blessé sans défense comle on ecrase un cafard. Son oere organise des chasses a l'homme sur ces memes immigrants Et tout cela dans l'indifférence et la complicite des autorités. Il n'y aura pas d'enquête et tout continuera. Effrayant ce pays sans morale ni justice
Vicky Krieps est fascinante dans ce rôle puissant d'agente rongée par la rage, au cœur d'un drame âpre et sans concessions. Philippe Van Leeuw signe une œuvre intense, explorant la complexité morale des bourreaux dans un contexte de guerre larvée à la frontière américano-mexicaine. Un film percutant, brut et nécessaire.
"The wall" nous mène auprès de Jessica Comley, une policière plus que zélée de la Border Patrol, cette patrouille chargée d’intercepter les clandestins qui passent la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis. Curieux personnage que cette Jessica : adorable avec Sandy, sa belle-soeur atteinte d’un cancer, aux petits soins avec les enfants de son frère et de Sandy, elle n’est que rage et haine envers les migrants, persuadée et fière qu’elle est de défendre son pays. Même les amérindiens, les descendants de populations établies sur le sol des Etats-Unis bien avant l’arrivée des ancêtres de Jessica, ne trouvent pas grâce à ses yeux. Critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-the-wall/ Film vu aux Rencontres Cinématographiques de Cannes
Un sujet d actualité aux États Unis ; ce n est pas à la gloire des américains dont l arrogance et le manque d humanité est illustré de façon assez crue
Intense. Puissant. Trouble. Bouleversant. Le film nous place face à nos propres murs et nous hante pour longtemps. Ce 3e opus du remarquable Philippe Van Leeuw est un pur chef d’œuvre !
« The Wall » est un récit tendu et introspectif, où le désert aride de la frontière américano-mexicaine devient le théâtre d’une confrontation morale et politique. Le film, porté par une performance subtile de Vicky Krieps, suit Jessica Comley, une officier de la Border Patrol rongée par un acte irréparable. Cette tension psychologique, alimentée par une mise en scène austère et une cinématographie épurée, maintient l’intérêt du spectateur, même si le rythme parfois languissant étire inutilement le récit.
L’histoire ambigue de cette garde frontière en Arizona ne m’a pas pleinement convaincu. Certes l’interprétation de Vicky KRIEPS est remarquable mais le scénario manque parfois de profondeur dans sa narration. La remise en cause de son personnage glaçant et impitoyable n’est pas assez mise en valeur dans ce film et on reste un peu sur sa faim à l’issue du film.
Bernard CORIC
(Film visionné en projo de presse au Club de l'Etoile à PARIS le 29/10/2024)
Ce qui est phénoménal avec Vicky Krieps, c'est qu'elle est crédible en toutes circonstances : serveuse britannique (Phantom Thread), reine d'Autriche (Corsage), agente de la douane américaine (The Wall). Dans le film de Philippe Van Leeuw, elle incarne un personnage plein de rage, clairement du côté des "bourreaux" plutôt que des victimes. C'est donc un changement de perspective pour le cinéaste belge qui, dans ses deux longs métrages précédents, s'était toujours placé auprès de ceux qui souffrent, que cela soit au Rwanda ou en Syrie. Mais s'intéresser aux méchants (à la méchante, en l'occurrence), c'est aussi l'opportunité d'approfondir des ressorts psychologiques pas aussi simples que cela à analyser. Le contexte de The Wall s'apparente à une guerre, entre les autorités américaines et le flux des migrants, sous l’œil des Amérindiens, premiers habitants d'un territoire pour qui la frontière entre les États-Unis et le Mexique "n'existe pas. Âpre et peu aimable, le film ne fait pas de cadeau à son "héroïne" mais détaille assez largement son sale boulot, qu'elle fait salement. Cela peut expliquer mais certainement pas absoudre cette femme, en compétition hormonale avec les hommes qui exercent à ses côtés.
Vu en VOD en Belgique. Film ennuyant dans l'ensemble, Vicky Krieps est sans relief et à contre-emploi (dans ce film). Une trame familiale pas assez développée.
Vu au festival Reims Polar, ce film est assez plat et ne laisse pas s’intéresser pleinement à l’histoire. C’est touchant de filmer les deux aspects confrontés mais la mise en scène assez froide ne m’a fait ressentir aucune émotion.