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Pouvoir humaniser une telle machine de haine sans lui faire perdre son pouvoir de nuisance est un défi que peu de comédiens peuvent relever, Vicky Krieps, habituée à nous éblouir par sa délicatesse, transcende ici la puissance et la violence de son personnage en dosant et variant subtilement ses effets.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Au-delà de ce récit aussi tendu que ramassé, la force de « The Wall » réside dans ce portrait crispé de son anti-héroïne, et dans l’incarnation qu’en livre Vicky Krieps, comédienne germano-luxembourgeoise adoptée par le cinéma français et remarquée pour la douceur ou la réserve de ses compositions.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
A la faveur [d'un] basculement très beau, le film gagne en puissance, évalue désormais distance physique et psychologique qui sépare les deux mondes inconciliables mais qui coexistent dans la force étrange de leur antagonisme, une proximité qu’on croirait à ça de devenir cordiale voire amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
À travers "The Wall", Philippe Van Leeuw, sans insistance ni moralisme, donne à voir, via les faits et gestes d’une héroïne aveuglée par son idéologie belliqueuse, certains aspects délétères des États-Unis d’aujourd’hui : racisme, bigoterie extrême, culte de la pureté.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Frappant et glaçant, ''The Wall'' est un film sans concession, une plongée radicale au sein du racisme ordinaire, celui qui coule dans les veines de manière viscérale.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
La force du film de Philippe Van Leeuw se situe dans la part insondable d’une protagoniste à laquelle il est à la fois impossible de s’identifier et pour laquelle une forme d’empathie se déclenche.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le problème de The Wall tient à ce que le film s’alourdit à mesure qu’il brosse le portrait de Jessica, comme s’il s’agissait de trouver des excuses à sa dérive violente.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dans The Wall, la toujours impressionnante Vicky Krieps incarne une agent de patrouille réactionnaire. Oppressée de tous les côtés par le système, elle commettra une bavure, dissimulée par son coéquipier. Dommage que la description minutieuse du quotidien d’un personnage aussi original et complexe se dilue dans un récit déjà vu et de façon autrement plus insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Reste que le réalisateur ne sait que faire de cette « sorte de Jeanne d’Arc », à part suggérer sa réclusion intérieure. Il se contente d’alimenter une vague tension de polar annonçant un drame.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Pouvoir humaniser une telle machine de haine sans lui faire perdre son pouvoir de nuisance est un défi que peu de comédiens peuvent relever, Vicky Krieps, habituée à nous éblouir par sa délicatesse, transcende ici la puissance et la violence de son personnage en dosant et variant subtilement ses effets.
Le Figaro
Un western contemporain âpre et minimaliste.
Le Parisien
Au-delà de ce récit aussi tendu que ramassé, la force de « The Wall » réside dans ce portrait crispé de son anti-héroïne, et dans l’incarnation qu’en livre Vicky Krieps, comédienne germano-luxembourgeoise adoptée par le cinéma français et remarquée pour la douceur ou la réserve de ses compositions.
Les Echos
Et si la meilleure fiction de ces derniers mois sur l'Amérique de Donald Trump était signée par un cinéaste belge ?
Les Fiches du Cinéma
Un film salutaire et glaçant ne s’embarrassant pas de nuance. Et tant mieux !
Libération
A la faveur [d'un] basculement très beau, le film gagne en puissance, évalue désormais distance physique et psychologique qui sépare les deux mondes inconciliables mais qui coexistent dans la force étrange de leur antagonisme, une proximité qu’on croirait à ça de devenir cordiale voire amoureuse.
Marianne
À travers "The Wall", Philippe Van Leeuw, sans insistance ni moralisme, donne à voir, via les faits et gestes d’une héroïne aveuglée par son idéologie belliqueuse, certains aspects délétères des États-Unis d’aujourd’hui : racisme, bigoterie extrême, culte de la pureté.
Télé 7 Jours
Dans ce contre-emploi dérangeant, Vicky Krieps, le visage de la banalité du mal, glace le sang.
Abus de Ciné
Frappant et glaçant, ''The Wall'' est un film sans concession, une plongée radicale au sein du racisme ordinaire, celui qui coule dans les veines de manière viscérale.
Le Monde
La force du film de Philippe Van Leeuw se situe dans la part insondable d’une protagoniste à laquelle il est à la fois impossible de s’identifier et pour laquelle une forme d’empathie se déclenche.
Les Inrockuptibles
Le film impressionne par sa sécheresse, et sa critique radicale de la folie meurtrière d’une certaine Amérique – celle de Trump.
aVoir-aLire.com
Juste à l’aube de l’arrivée officielle au pouvoir de Trump, ce film fait froid dans le dos. Avec une Vicky Krieps hors du commun.
Critikat.com
Le problème de The Wall tient à ce que le film s’alourdit à mesure qu’il brosse le portrait de Jessica, comme s’il s’agissait de trouver des excuses à sa dérive violente.
Première
Dans The Wall, la toujours impressionnante Vicky Krieps incarne une agent de patrouille réactionnaire. Oppressée de tous les côtés par le système, elle commettra une bavure, dissimulée par son coéquipier. Dommage que la description minutieuse du quotidien d’un personnage aussi original et complexe se dilue dans un récit déjà vu et de façon autrement plus insaisissable.
Télé Loisirs
Difficile de supporter son héroïne que rien ne rachète jamais.
Télérama
Reste que le réalisateur ne sait que faire de cette « sorte de Jeanne d’Arc », à part suggérer sa réclusion intérieure. Il se contente d’alimenter une vague tension de polar annonçant un drame.