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Avec ce premier long-métrage, Léopold Legrand, lui-même sensibilisé par son histoire personnelle à ces questions d'abandon et d'adoption, évite l'écueil de la caricature sur un sujet qui pourrait l'y précipiter, avec une mise en scène sans gras et des comédiens d'une sobriété bouleversante.
Sur le papier, l’histoire manichéenne de cette transaction douteuse frôle la caricature. A l’écran, par la puissance d’un excellent quatuor d’interprètes, un rythme de polar et une image implacable, elle est poignante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le quatuor de comédiens excelle, mais on retient la prestation de Sara Giraudeau, primée au festival d’Angoulême (comme le scénario du film), en femme obsédée par son besoin de maternité, fragilisée dans son équilibre mental, en plein déni devant ce qui reste un pacte insensé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Grand vainqueur du Festival d’Angoulême, avec quatre prix dont celui du public, le premier film de Léopold Legrand, qui sort ce mercredi en salles, est une adaptation du roman Pleurer des rivières d’Alain Jaspard (éd. Héloïse d’Ormesson). Un poignant récit sur la maternité.
Premier film en forme de thriller intime signé Léopold Legrand, ce drame plonge avec efficacité au cœur du thème de l'adoption clandestine. Juste et Poignant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Léopold Legrand donne à son premier film un rythme de thriller et de comédie alors qu’il ne s’agit ni de l’un ni de l’autre, mais d’une quête aussi effrénée qu’impossible. La vie est mal faite. Mais que ce film est bien fait. On l’adopte, du fond du cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Dans son premier film, Léopold Legrand examine un rapport problématique à la parentalité avec une sécheresse du trait et un sens de l'épure qui servent au mieux son intensité dérangeante. Ce coup d'essai audacieux mérite d'être découvert.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Fort heureusement, le film ne réduit aucun des personnages au rang de pantins ne servant qu’à illustrer les péripéties du scénario, façon cas sociologiques.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Dans ses deux courts métrages réalisés pendant ses études à l’Insas [...], Léopold Legrand s’était déjà frotté aux questions de filiation, de maternité, d’abandon. [...] Le premier long métrage de Legrand prolonge ces tentatives d’approcher l’intimité du désir maternel, la solitude profonde du manque, la générosité du don et les tiraillements intrinsèques.
Un scénario plein de tact et un quatuor d’acteurs épatant pour traiter sans heurt ce que le Code civil qualifie de trafic d’êtres humains et que d’autres définiront comme un geste d’amour.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le film aurait pu être lourdement démonstratif, voire caricatural dans l’opposition entre ces deux mondes, les bobos d’un côté et les Gitans de l’autre. Mais il parvient à se maintenir sur une fragile ligne de crête, grâce à la fois à une mise en scène tout en tension et à un quatuor de comédiens tous excellents.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Toujours rapide et efficace dans son exécution, ce Sixième enfant, avance jusqu’au bout sans se retourner. Une audace payante qui nous délivre in fine d’une morale sentencieuse. Une excellente surprise en somme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Adapté du roman d’Alain Jaspard, « Pleurer des rivières », ce premier long-métrage de Léopold Legrand a raflé quatre Valois au Festival du film d’Angoulême, dont celui du public.
Le spectateur est embarqué dans une histoire a priori invraisemblable, mais qui finit par prendre forme, à partir du moment où les deux personnages féminins font alliance : l’une ne veut plus d’enfant, l’autre ne pense qu’à cela. Deux femmes et un couffin, en version « fait divers ». Le film gagne en folie, laisse planer le doute, jusqu’à la dernière image.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Malgré ses interprétations convaincantes et ses enjeux complexes, ce drame social est progressivement rattrapé par le déroulement improbable de son scénario.
Ouest France
Un premier film magnifique.
Voici
Un film qui touche au coeur.
20 Minutes
Un premier film touchant.
Bande à part
Un polar de l’âme, porté par un casting renversant.
CNews
Un drame poignant autour de la maternité, de la filiation et de l’abandon.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un poignant récit sur la maternité.
Franceinfo Culture
Avec ce premier long-métrage, Léopold Legrand, lui-même sensibilisé par son histoire personnelle à ces questions d'abandon et d'adoption, évite l'écueil de la caricature sur un sujet qui pourrait l'y précipiter, avec une mise en scène sans gras et des comédiens d'une sobriété bouleversante.
L'Humanité
Tendu, incisif et intelligent, ce premier long métrage n’en demeure pas moins une réussite.
L'Obs
Sur le papier, l’histoire manichéenne de cette transaction douteuse frôle la caricature. A l’écran, par la puissance d’un excellent quatuor d’interprètes, un rythme de polar et une image implacable, elle est poignante.
La Voix du Nord
Le quatuor de comédiens excelle, mais on retient la prestation de Sara Giraudeau, primée au festival d’Angoulême (comme le scénario du film), en femme obsédée par son besoin de maternité, fragilisée dans son équilibre mental, en plein déni devant ce qui reste un pacte insensé.
Le Dauphiné Libéré
Grand vainqueur du Festival d’Angoulême, avec quatre prix dont celui du public, le premier film de Léopold Legrand, qui sort ce mercredi en salles, est une adaptation du roman Pleurer des rivières d’Alain Jaspard (éd. Héloïse d’Ormesson). Un poignant récit sur la maternité.
Le Figaro
Premier film en forme de thriller intime signé Léopold Legrand, ce drame plonge avec efficacité au cœur du thème de l'adoption clandestine. Juste et Poignant.
Le Journal du Dimanche
Bien écrit, ce drame tendu s’avère un premier film prometteur. L’épatant quatuor d’acteurs y est pour beaucoup.
Le Parisien
Léopold Legrand donne à son premier film un rythme de thriller et de comédie alors qu’il ne s’agit ni de l’un ni de l’autre, mais d’une quête aussi effrénée qu’impossible. La vie est mal faite. Mais que ce film est bien fait. On l’adopte, du fond du cœur.
Les Echos
Dans son premier film, Léopold Legrand examine un rapport problématique à la parentalité avec une sécheresse du trait et un sens de l'épure qui servent au mieux son intensité dérangeante. Ce coup d'essai audacieux mérite d'être découvert.
Marianne
Fort heureusement, le film ne réduit aucun des personnages au rang de pantins ne servant qu’à illustrer les péripéties du scénario, façon cas sociologiques.
Marie Claire
Sur fond de désir d'enfant et de lutte des classes, un premier long métrage perturbant.
Positif
Dans ses deux courts métrages réalisés pendant ses études à l’Insas [...], Léopold Legrand s’était déjà frotté aux questions de filiation, de maternité, d’abandon. [...] Le premier long métrage de Legrand prolonge ces tentatives d’approcher l’intimité du désir maternel, la solitude profonde du manque, la générosité du don et les tiraillements intrinsèques.
Télé 7 Jours
Avec délicatesse, le film aborde le désir viscéral de maternité, la justice et la morale. Sans jamais juger ses personnages.
Télérama
Un thriller social porté par un quatuor virtuose.
aVoir-aLire.com
Un scénario plein de tact et un quatuor d’acteurs épatant pour traiter sans heurt ce que le Code civil qualifie de trafic d’êtres humains et que d’autres définiront comme un geste d’amour.
La Croix
Le film aurait pu être lourdement démonstratif, voire caricatural dans l’opposition entre ces deux mondes, les bobos d’un côté et les Gitans de l’autre. Mais il parvient à se maintenir sur une fragile ligne de crête, grâce à la fois à une mise en scène tout en tension et à un quatuor de comédiens tous excellents.
Paris Match
Un sujet ardu et courageux traité avec intelligence et finesse dans ce premier film au scénario étonnamment maîtrisé et sans pathos.
Première
Toujours rapide et efficace dans son exécution, ce Sixième enfant, avance jusqu’au bout sans se retourner. Une audace payante qui nous délivre in fine d’une morale sentencieuse. Une excellente surprise en somme.
Sud Ouest
Adapté du roman d’Alain Jaspard, « Pleurer des rivières », ce premier long-métrage de Léopold Legrand a raflé quatre Valois au Festival du film d’Angoulême, dont celui du public.
Le Monde
Le spectateur est embarqué dans une histoire a priori invraisemblable, mais qui finit par prendre forme, à partir du moment où les deux personnages féminins font alliance : l’une ne veut plus d’enfant, l’autre ne pense qu’à cela. Deux femmes et un couffin, en version « fait divers ». Le film gagne en folie, laisse planer le doute, jusqu’à la dernière image.
Les Fiches du Cinéma
Malgré ses interprétations convaincantes et ses enjeux complexes, ce drame social est progressivement rattrapé par le déroulement improbable de son scénario.