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Skater Girl permet avant tout de parler de la condition des femmes en Inde en parlant de la passion du Skate. C'est bien, mais on sent que ce n'est pas nouveau, ni frais. On reste accroché par l'histoire sans forcément s'y complaire.
Un film immersif dans une inde contemporaine ( bien que cela se passe dans un village en zone rurale) qui peine à se défaire de codes sociétaux contraignants, surtout pour les femmes. L'arrivée de Jessica, une indo-britannique venue de Londres pour s'imprégner du passé de son défunt père, chamboule la vie de Prerna, une jeune fille dont le destin semble déjà tout tracé.Beaucoup de positif dans cette histoire, où une lutte pour l'égalité et la liberté s'engage en gardant en filigrane l'esprit de Ghandi. La jeune actrice incarnant le rôle principal joue vraiment très bien, tout comme l'enfant incarnant son petit frère Ankoush. Le skate apparaît comme un objet symbolique d'émancipation et ramène simplement la réalité à des choses quotidiennes toutes simples mais in fine essentielles. Les dialogues sont ramenées à des échanges ordinaires entre personnes et pourtant les enjeux sont immenses. Et c'est là la force de ce film : laisser transparaître un discours juste et bienveillant et refuser tout discours moralisateur explicite. De l’oxygène pour notre cerveau.
Un film touchant et idéal à voir en famille. Une histoire de dépassement de soi très inspirante - le nom de la protagoniste signifie d'ailleurs "inspiration". Le film s'avère assez prévisible, puisqu'il respecte en tous points les codes d'un feel good movie classique, il n'en demeure pas moins attachant et émouvant. Mention spéciale au petit frère de la protagoniste, irrésistible.
FaRem
Comme la majorité des filles de son âge et de sa caste, Prerna est destinée à être mariée assez jeune pour devenir mère et femme au foyer. C'est comme si elle n'avait pas le droit de rêver d'autres choses, donc quand Jessica, une femme d'origine indienne, lui demande ce qu'elle veut faire plus tard, elle ne sait pas quoi répondre. Jessica se prend d'affection pour elle et décide de l'aider tout d'abord au niveau scolaire puis pour sa passion. La présence de Jessica en Inde n'est qu'un prétexte à l'histoire, ce que j'ai trouvé dérangeant surtout quand on voit comment sa propre histoire en rapport avec son père est reléguée au second plan. Le skate aussi peut être vu comme un prétexte même si la découverte de ce sport permet d'aborder d'autres sujets comme le sort des filles en Inde, les inégalités sociales, etc. Si l'on s'attarde même sur cette obsession pour le skate, ça peut sembler un peu absurde, car il y avait surement mieux à faire avec cet argent... Le but est surtout de permettre aux enfants de se découvrir en faisant une activité et la nature de celle-ci n'a finalement pas trop d'importance. "Skater Girl" est un film positif même si l'histoire manque de profondeur. Au final, ça se laisse regarder, mais c'est très cliché et cousu de fil blanc avec une conclusion décevante.
belle surprise. on apprend un peu plus sur les castes et les costumes indiennes à travers un sport qui est méconnu en Inde. malgres cela on reste un peu sur notre fin quand à "l'intrigue " concernant l'une des héroïnes.
eh bah voila, ça c'est un très bon film. histoire de plusieurs filles fortes qui vont se battre en inde, un pays pauvre bourrée de loi d'un autre temps, une j'eune fille d'un pays oxidento (probablement l'Amérique) vient pour les aider. le seul petit défaut serait que l'histoire a un peu de mal a décoller. très bon film.
Un feel-good movie très “plan-plan” sur les désirs d’une jeune fille Hindi de se réaliser en tant que personne individuelle par le biais de la pratique de la planche à roulette, activité évidemment interdite aux filles par l’obscurantisme patriarcal local. On passera les clichés et les facilités scénaristiques comme par exemple le terrain gracieusement offert par une riche autochtone à l’esprit étrangement plus ouvert que ses compatriotes. On se demandera avec quels fonds ces quelques voyageurs étrangers qui prennent en charge de former les enfants du village à cette discipline vont financer leur structure (la piste et les équipements de skate-board). On passe sur les détails avec une célérité qui frise la négligence. A l'exemple Ldu gars qui rameute une bande de potes skate-boarders dont on ne sait ou qui n’ont rien d’autres à faire en Inde que de construire ce terrain, puis aussitôt construit aussitôt partis.
On échappe pas au cliché de la mère soumise aux traditions mais compréhensive.(Il est à noter cependant que ce fardeau extrêmement rigide asséné dès leur plus jeune âge ne semble bizarrement pas avoir de prise sur les enfants) et du père borné par définition, qui change totalement d’attitude lorsque sa fille gagne évidemment la compérition, ce qui me laisse dire que les pères des vaincues ne se seront pas gênés de dire à leur(s) fille(s) que décidément elles avaient bien mieux à faire. On est dans la chronique sociétale mais à des lieues de ce qu'on pu offrir "Salam Bombay" et autres "Parched" mais on le comparera surtout en sa défaveur évidente à "Wadjda" qui lui ne se situe pas en Inde. Pour tout dire, on se rapprocherait bien davantage de l’esprit d’un "Go !" (une histoire australienne de karting pour vous éviter de chercher si vous ne connaissez pas : ) Donc plus proche du spectacle bon enfant familial que du drame social.
On échappe pas au cliché de la mère soumise aux traditions mais compréhensive.(Il est à noter cependant que ce fardeau extrêmement rigide asséné dès leur plus jeune âge ne semble bizarrement pas avoir de prise sur les enfants) et du père borné par définition, qui change totalement d’attitude lorsque sa fille gagne évidemment la compérition, ce qui me laisse dire que les pères des vaincues ne se seront pas gênés de dire à leur(s) fille(s) que décidément elles avaient bien mieux à faire. On est dans la chronique sociétale mais à des lieues de ce qu'on pu offrir "Salam Bombay" et autres "Parched" mais on le comparera surtout en sa défaveur évidente à "Wadjda" qui lui ne se situe pas en Inde. Pour tout dire, on se rapprocherait bien davantage de l’esprit d’un "Go !" (une histoire australienne de karting pour vous éviter de chercher si vous ne connaissez pas : ) Donc plus proche du spectacle bon enfant familial que du drame social.
C'est un film bien fait avec plein d'émotions, joie, tristesse. Si le skate sert de base à l'histoire, le film traite avant tout du système de caste et de la place de la femme dans la société indienne. A regarder donc même si vous n'êtes pas fan de sport. La réalisation et simple et efficace et la jeune actrice pour son premier film est vraiment doué. Bien que le réalisateur s'en défende l'histoire fait penser à la réalisation d'un skate park, le Janwaar Castle et à la meilleure skateuse hindoue Asha Gond
Contrairement à l'idee que je mettais faite du film, je ne regrette pas de l'avoir vu. C'est bourré d'émotions, de tristesse, de joie, de crainte, de colère mais aussi de coutumes. La découverte du skateboard dans un pays pauvre comme l'Inde, c'était pas facile à exploiter mais le réalisateur l'a fait. Les acteurs sont tout autant attachants.
Superbe, un vrai voyage.
De belles couleurs, une histoire magique.
Les acteurs sont excellents.
Incroyablement bien filmé.
De belles couleurs, une histoire magique.
Les acteurs sont excellents.
Incroyablement bien filmé.
Très bon feel good movie.
Ce film, sous le fil conducteur du skateboard, nous plonge dans la vie, les coutumes, les règles d'un village du Rajasthan, de la difficulté de rêver pour un enfant pauvre, encore plus pour une jeune femme.
Le film est réalisé en toute simplicité, que ce soit la photographie, le jeu des acteurs, la musique, tout est bien dosé et agréable. En toute simplicité mais sans pour autant faire l'impasse sur ces petits détails qui rendent le film riche et crédible.
Mention spéciale à Rachel sanchiita Gupta qui clairement crève l'écra, pas juste parce qu'elle est superbe mais aussi pour la sincérité de son jeu d'actrice ce qui le rend juste.
Une vraiment très belle surprise. J'ai été attiré pour le sujet Skateboard et force de constater que si ça avait traité d'autre chose je serai vraiment passé à côté d'un très bon moment cinéma.
Ce film, sous le fil conducteur du skateboard, nous plonge dans la vie, les coutumes, les règles d'un village du Rajasthan, de la difficulté de rêver pour un enfant pauvre, encore plus pour une jeune femme.
Le film est réalisé en toute simplicité, que ce soit la photographie, le jeu des acteurs, la musique, tout est bien dosé et agréable. En toute simplicité mais sans pour autant faire l'impasse sur ces petits détails qui rendent le film riche et crédible.
Mention spéciale à Rachel sanchiita Gupta qui clairement crève l'écra, pas juste parce qu'elle est superbe mais aussi pour la sincérité de son jeu d'actrice ce qui le rend juste.
Une vraiment très belle surprise. J'ai été attiré pour le sujet Skateboard et force de constater que si ça avait traité d'autre chose je serai vraiment passé à côté d'un très bon moment cinéma.
Réalisation classique mais bien exécutée et efficace. Un très bon moment. L'empathie pour la jeune fille est là, la photographie très belle.
J'ai vu ce film récemment, je le conseille à tous le monde y compris les non sportifs. C'est un super film, émouvant, ou il y a de l'action, les acteurs jouent super bien, jouent naturellement. L'histoire est maîtrisée. Ça change des films à gros budget hollywoodien, américain. Je préfère ce genre de film au gros film américain ou ça ne joue pas naturellement, ça surjoue. Bref si vous avez du temps, foncez pour voir ce film.
Très agréablement surpris avec cette comédie dramatique sur fond de sport mais pimenté par les codes sociaux avec ses castes, la dureté des plus démunis, les règles face à la modernité, la considération des femmes, les mains tendues, le petit rien qui ensoleille des visages et un sourire, et quel sourire ! de l'actrice principale. Certes quelques scènes maladroites, parfois un peu trop larmoyantes mais l'ensemble est largement réussi. Merci Netflix encore une fois. 4/5 !!!
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