Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Très dense, Being the Ricardos multiplie les pistes, superpose les histoires, les personnages et les thématiques et pourrait donner parfois l’impression d’un trop-plein s’il n’était pas aussi maîtrisé, aussi virtuose dans sa capacité à faire monde.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Antoine Desrues
Face à des blockbusters fainéants et autres séries bâclées, Aaron Sorkin est là pour nous ramener à une certaine exigence de cinéma. Aussi bien écrit qu'interprété, Being the Ricardos est un bijou d'orfèvrerie, qui transcende son statut de biopic pour raconter tout un monde. Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Constance Jamet
Si les références nous échappent parfois, cette leçon d’histoire cathodique reste passionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sorkin livre une oeuvre brillante, dont les artifices suscitent plus la réflexion que l'émotion.
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Cinéaste toujours en devenir, d’un classicisme absolu, Aaron Sorkin se met à la hauteur de son héroïne et livre son meilleur film, d’une modestie exemplaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Léo Soesanto
Sorkin, pour une fois pas tenté de singer Scorsese (voir le Grand Jeu), fait ce qu’il fait le mieux : filmer la parole. [...] La névrose et le stress pour accoucher d’un rire, la dynamique militaire de troupe, c’est tout l’intérêt du film – parfaitement convoyé par une Nicole Kidman-Lucille Ball toujours tendue comme un arc face à son dandinant mari (Javier Bardem).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Dans ce film biographique passionnant, Aaron Sorkin, roi du dialogue percutant, dépeint les coulisses féroces d'une série américaine très populaire en mêlant l'intime et le processus créatif.
Télérama
par Pierre Langlais
Un projet qui concentre tout ce qui fait le style et le brio d’Aaron Sorkin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Louis Seguin
Ce feuilletage narratif pourrait faire craindre que le film étouffe sous sa propre virtuosité. Mais Sorkin fait intelligemment converger les détours de son récit vers ce qui est à la fois leur origine et leur horizon : la personne de Lucille Ball.
Critikat.com
par Timothée Gérardin
Par ce portrait, et par les échos qu’il y trouve sur sa propre situation de réalisateur encore débutant, Sorkin fait de ce film de prime abord un peu brouillon un objet digne d’intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par Renaud Baronian
La biographie filmée de Lucille Ball, comédienne américaine fameuse dans les années 1950 et inconnue chez nous, sent un peu trop le film qui cherche à obtenir des récompenses, notamment pour Nicole Kidman dans le rôle principal.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Pongiste surdoué du dialogue, le talent d'Aaron Sorkin vire trop vite à la démonstration tant « Being the Ricardos » effectue des loopings narratifs et autres flash-back de contorsionnistes superflus. Ce projet reste surtout passionnant du point de vue des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Condenser trois faits réels accentue la force de ce film touchant et brillamment caustique, qui se faufile dans les coulisses de la série.
Positif
par Christian Viviani
Vain, inabouti, brouillon, négligeant le potentiel du sujet : presque rien n’est tiré de l’accusation d’appartenir au parti communiste, ce qui, pourtant, était loin d’être une mince affaire.
CinemaTeaser
Très dense, Being the Ricardos multiplie les pistes, superpose les histoires, les personnages et les thématiques et pourrait donner parfois l’impression d’un trop-plein s’il n’était pas aussi maîtrisé, aussi virtuose dans sa capacité à faire monde.
Ecran Large
Face à des blockbusters fainéants et autres séries bâclées, Aaron Sorkin est là pour nous ramener à une certaine exigence de cinéma. Aussi bien écrit qu'interprété, Being the Ricardos est un bijou d'orfèvrerie, qui transcende son statut de biopic pour raconter tout un monde. Fascinant.
Le Figaro
Si les références nous échappent parfois, cette leçon d’histoire cathodique reste passionnante.
Le Monde
Sorkin livre une oeuvre brillante, dont les artifices suscitent plus la réflexion que l'émotion.
Les Inrockuptibles
Cinéaste toujours en devenir, d’un classicisme absolu, Aaron Sorkin se met à la hauteur de son héroïne et livre son meilleur film, d’une modestie exemplaire.
Libération
Sorkin, pour une fois pas tenté de singer Scorsese (voir le Grand Jeu), fait ce qu’il fait le mieux : filmer la parole. [...] La névrose et le stress pour accoucher d’un rire, la dynamique militaire de troupe, c’est tout l’intérêt du film – parfaitement convoyé par une Nicole Kidman-Lucille Ball toujours tendue comme un arc face à son dandinant mari (Javier Bardem).
Télé Loisirs
Dans ce film biographique passionnant, Aaron Sorkin, roi du dialogue percutant, dépeint les coulisses féroces d'une série américaine très populaire en mêlant l'intime et le processus créatif.
Télérama
Un projet qui concentre tout ce qui fait le style et le brio d’Aaron Sorkin.
Cahiers du Cinéma
Ce feuilletage narratif pourrait faire craindre que le film étouffe sous sa propre virtuosité. Mais Sorkin fait intelligemment converger les détours de son récit vers ce qui est à la fois leur origine et leur horizon : la personne de Lucille Ball.
Critikat.com
Par ce portrait, et par les échos qu’il y trouve sur sa propre situation de réalisateur encore débutant, Sorkin fait de ce film de prime abord un peu brouillon un objet digne d’intérêt.
Le Parisien
La biographie filmée de Lucille Ball, comédienne américaine fameuse dans les années 1950 et inconnue chez nous, sent un peu trop le film qui cherche à obtenir des récompenses, notamment pour Nicole Kidman dans le rôle principal.
Les Echos
Pongiste surdoué du dialogue, le talent d'Aaron Sorkin vire trop vite à la démonstration tant « Being the Ricardos » effectue des loopings narratifs et autres flash-back de contorsionnistes superflus. Ce projet reste surtout passionnant du point de vue des comédiens.
Télé 7 Jours
Condenser trois faits réels accentue la force de ce film touchant et brillamment caustique, qui se faufile dans les coulisses de la série.
Positif
Vain, inabouti, brouillon, négligeant le potentiel du sujet : presque rien n’est tiré de l’accusation d’appartenir au parti communiste, ce qui, pourtant, était loin d’être une mince affaire.