Après avoir vu ce film sur Netflix, je peux le confirmer le cinéma français ne repose que sur les stéréotypes racistes, la sexualité et de l'humour qui ne fait rire personne. Ce film regorge a tort et à travers tout ce qui est détestable: phrases gênantes/racistes, l'idée du côlon/colonisés etc.. Les seule chose que j'ai aimé c'est le dénouement, l'obstination despoiler: Ousmane a ne pas se fier au premier dénouement de cette affaire qui était trop facile. Cette note je la met parce qu'il a eu Omar Sy sinon j'aurais mis 0
Un film qui dérange une certaine partie des français mais très réaliste sur les blagues que doivent se taper les noir(e)s de manière récurrente. J’ai aimé les plans des courses poursuites et le jeu des acteurs. Divertissant et léger
C’est Louis Leterrier, réalisateur de la série Lupin et de Insaisissables, qu succèede à David Charhon. Le scénario a été écrit par Stéphane Kazandjian (Taxi 5) en collaboration avec Pierre Le Coz et Franck Gastambide.
Bad boys et L’Arme fatale n’ont qu’à bien se tenir, car le duo Omar Sy et Laurent Lafitte est de retour sur Netflix. Ils nous avaient enchantés avec la comédie De l'autre côté du périph où un flic parisien et un autre de banlieue faisaient équipe. Les deux signent leur grand retour 10 ans après. Cette fois, en revanche, ils vont aller du côté de la province pour déjouer un complot. Les éloigner de la région parisienne aurait pu être “casse-gueule”, mais il faut reconnaître que cette touche a eu son effet.
Cette suite ne sera pas au grand niveau de son prédécesseur. En revanche, elle est quand même bonne. On avait peur qu'elle soit catastrophique. En effet, avec Netflix, on n'est jamais à l’abri. On sent que le duo à plaisir à se retrouver. Il faut à peine quelques minutes pour que l’alchimie entre les deux renaisse. Ces retrouvailles font plaisir à voir. Ils vont camper les mêmes mentalités que dans le premier opus et le font toujours à merveille. On sera encore à la limite du racisme pour Monge et Diakhaté à la limite de la légalité. En revanche, cette fois-ci, les positions vont être inversées dans le sens où c’est Diakité qui sera le commissaire brillant et Monge un petit fic raté. Quoi qu'il en soit grâce à ces deux-là, on passe un moment délicieux. Les sketchs sont nombreux. Ils fonctionnent bien et on rigole énormément.
Enfin à un détail près, ce sont les scènes humoristiques qui sont réussies, le reste par contre ce n’est pas terrible du tout. Il y a une volonté de rajouter un côté action, mais ça frappe totalement à côté. L’image est souvent saturée et les effets spéciaux sont très moches à voir. De plus, les tentatives de jeux de lumière artificielle ne sont pas une réussite. Il est dommage d'avoir voulu nous rajouter ce côté-là, car ça met beaucoup de lourdeur au contenu. Dans le premier volet, il y en avait un peu, de plus, ils étaient “nature”, et ça suffisait amplement.
Cela fait tellement plaisir de retrouver ensemble Omar Sy et Laurent Lafitte. Depuis De l'autre côté du périph, ils ont beaucoup évolué. Leur aura est beaucoup plus marquante. Concernant les rôles plus secondaires, le casting aussi très bon. Izïa Higelin et Dimitri Storoge se démarquent en apportant de la vigueur.
J'avais plutôt bien aimé le premier volet, même s'il n'était déjà pas extraordinaire. Mais ici on plonge car ce qui se passe à l'écran est tout simplement inintéressant. La comédie et les blagues ne fonctionnent que très peu et je n'en reviens pas que ça soit Leterrier qui ait réalisé ce film manquant totalement de pêche, ce qui est un comble pour ce réalisateur. Espérons que le Fast X qu'il prépare soit de meilleure facture.
L’avantage de cette suite, qui ne propose rien de plus exaltant que son prédécesseur, est quelle est réalisée par Louis Leterrier. Son savoir-faire hausse légèrement le niveau du film car il ne faut malheureusement pas compter sur une intrigue basique pour maintenir l’intérêt éveillé.
Les fils de Clovis. Adore ce que tu as brûlé, brûle ce que tu as adoré. Passons l'histoire bancale, retenons le franc parler et l'alchimie du duo comique. Eric Zemmour a aimé.
Dans la continuité du premier film, ce long-métrage réunit un cocktail policier/action/comédie. Ce n'est très clairement pas du grand cinéma car le scénario est basique ainsi que sa mise en scène. Le casting tient la route et c'est plutôt sympa de voir les deux acteurs principaux qui forment un bon duo dans leur rôle respectif.
Dix ans près De L'Autre Côté Du Périph, le duo Omar Sy - Laurent Lafitte reprend du service. Toujours aussi efficace, la complicité entre eux fonctionne bien. Ousmane est cette fois-ci plus gradé que François, lequel fait figure de cancre, fainéant, provocateur et poltron (toute ressemblance avec un personnage réel qui aurait tout ou partie de ces qualités serait purement fortuite). Le décalage de grade occasionne quelques joutes verbales amusantes. L'action est permanente, et on ne s'ennuie pas. Les plans sont superbes, avec des plongées dans l'action, des poursuites et des plans larges en pleine montagne d'une grande qualité. Côté script, quelques bonnes répliques sortent du lot : "On cherche La Poukie, il est où ? Il est dans le sas.", "C'est pas que des fachos fâchés." En revanche côté musique et ambiance générale, on se retrouve dans une sorte d'imitation de L'Arme Fatale ou de Mission Impossible. Enfin la milice d'extrême droite guidée par le maire du coin vire trop dans la caricature pour faire passer un quelconque message. Au final, résultat mitigé.
Bien en dessous de "De l'autre coté du périph". Là ou le premier volet était certes assez cliché mais fonctionnait bien (deux acteurs principaux au top et quelques bons gags, avec un buddy movie assez classique mais bien ficelé) ce deuxième volet est finalement assez vulgaire, inutilement gore, pas très drôle et l'histoire est cousu de fil banc et finalement assez quelconque...Raté
Comment de bons acteurs comme Laurent Lafitte, Omar Sy et Izïa Higelin sont-ils allés se perdre dans ce film où les images secouées ou prises par drones semblent être la principale motivation du réalisateur ? Le caméraman est pris de Parkinson, le monteur a décidé de ne pas dépasser des plans de quelques secondes, la mise en scène enchaîne les clichés, le scénario les invraisemblances et l’accessoiriste oublie qu’un pantalon sale ne peut pas être propre dans la même scène. Et quel intérêt de rajouter du gore ? spoiler: Tête coupée qui roule et corps coupé en deux . La saveur et l’élégance du premier opus a disparu dans une mélasse sans saveur.
Une comédie, avec beaucoup de clichés et d'eniemes instants comiques vus et revus... La réalisation est dynamique et le duo entraînant ! Un film pas forcément à voir, mais pas à éviter non plus.
C’est vraiment un plaisir coupable, c’est même honteux d’apprécier un tel film tant le scénario est indigent. Mais c’est tellement bien fait : une réalisation aux petits oignons de Louis Leterrier, aguerri à l’art du blockbuster made in USA, et une interprétation d’un duo d’enfer complété par quelques seconds rôles plus vrais que nature. Côté scénario, cela rappelle les films américains manichéens des années 90’ (type « Road House » ou « Cavale sans issue ») où tout le monde était à la solde du Nabab local, mâtiné du contexte politique actuel français de montée des extrêmes. Par rapport au premier volet (« de l’autre côté du périph »), sorti il y a 10 ans, cette suite change totalement de catégorie, très proche du buddy movie américain.