Note moyenne
3,3
14 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le Point
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MCinéma.com
(...) un film réaliste saisissant devant lequel on ne peut que s'incliner.
L'Obs
« Rédemption » manie spectacle et grands sentiments avec beaucoup d'élégance et de subtilité. Décors somptueux, interprètes épatants, ce western a le souffle des grands mélos qu'on aime.
Le Monde
(...) un film classique et vigoureux (...)
Repérages
A tort ou à raison, la réputation de Michael Winterbottom est désormais acquise : un technicien inégal, dont la production va du fort honorable au franchement médiocre. Rédemption appartient plutôt à la bonne veine (...)
Fluctuat.net
Cette comédie dramatique repose essentiellement sur un scénario bien écrit, de grands espaces pittoresques et des costumes soignés. Vous l'aurez compris, le côté très visuel des films d'époque a été respecté mais le genre déjà maintes fois exploité ne trouve pas en cette oeuvre un digne représentant de son évolution (...)
L'Express
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Le Journal du Dimanche
La satire est savoureuse, malgré un scénario cousu de fil blanc, quelques longueurs et une fausse pudeur énervante.
Première
On ne s'embête pas dans ce western enneigé, entre les remords du héros, la légende des pionniers, et les filles brûlantes d'amour.Cela fera huit films en six ans pour Winterbottom. C'est trop et trop vite, avec une débauche de flash-backs qui auraient gagné à rester dans la poudreuse.
Studio Magazine
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Télérama
On croise de belles idées de cinéma (...). On constate aussi que certains coups de force lyriques déséquilibrent l'intrigue plus qu'ils ne l'enrichissent. Mais Winterbottom ne se cantonne jamais dans les références ou la révérence aux grands « anciens » du western.
Ciné Live
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Libération
Le film ne semble porté par aucune nécessité personnelle. Formaliste un peu précieux, Winterbottom joue avec ses focales, passe sans rime ni raison du net au flou et ne parvient jamais à habiter son film.
Urbuz
(...) Winterbottom (...) se contente d'illustrer platement son sujet, peinant à trouver une veine épique que les grandioses paysages hivernaux viennent quelques fois procurer.