Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Aussi fort que Papicha.
20 Minutes
par Caroline Vié
La sororité est capitale dans ce récit puissant montrant comment un groupe de femmes se soutient pour échapper à des destins difficiles avec autant d’énergie que de créativité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Lyna Khoudri danse avec grâce, subtilité, intensité.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La danse est l'art essentiel à travers lequel s'exprime avec force l'aspiration à la liberté. Lyna Khoudri danse avec grâce, subtilité, intensité.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une traversée solaire et tragique portée par de belles actrices.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Très dur et très doux, réaliste et poétique, « Houria » ne livre pas seulement un portrait de femme mais d’une génération qui essaie d’avancer dans une société qui les veut invisibles et soumises. Lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Sans dégager l'énergie du premier long-métrage de Mounia Meddour, « Houria » reste porté par un regard à la fois ébloui et cruel sur l'Algérie d'aujourd'hui. Mélo baigné de mer, le film laisse une impression brûlante, à la fois douloureuse et généreuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
M. Meddour narre les blessures de l’Algérie à travers le corps dansant de L. Khoudri, dont l'interprétation silencieuse est l’une des plus touchantes à ce jour.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Un portrait intense porté par l’incandescente Lyna Khoudri.
Positif
par Yannick Lemarié
On ne saurait trop insister sur la capacité de Mounia Meddour à mettre ses personnages en mouvement, à organiser leurs déplacements jusqu’à dessiner une chorégraphie où l'intime, l’élémentaire et le social se mêlent.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Le dilemme de l’exil, l’insupportable amnistie qui a suivi la « décennie noire » (1991-2002), « Houria » embrasse la réalité algérienne dans une large complexité, mais toujours avec générosité.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Presque sans parler, Lyna Khoudri irradie l'écran dans une ode poétique à la reconstruction et à la sublimation des corps et des esprits meurtris.
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Khoudri retrouve une rare harmonie qui unifie tous les éléments du film – surtout quand celui-ci intègre la blessure permanente du pays à travers une série de personnages de femmes brisées par la guerre et le terrorisme. (...) Danseuse étoile et star du cinéma se mêlent dans un même et mystérieux talent : n’avoir besoin de rien pour faire briller ce qui les entoure.
CinemaTeaser
par Hugo Boudsocq
Lyna Khoudri déploie à nouveau tout son talent d'actrice.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Elle allie un drame social féministe et sororal à des séquences chorégraphiées en forme de clip musical. Avec ce procédé narratif, la cinéaste cherche le ton juste sans véritablement y parvenir. Le film est un peu bancal. Et pourtant, il conserve un côté attachant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Entre humour moqueur et dénonciation frontale, les hommes en prennent pour leur grade. Et les femmes apportent à cette fiction leur courage et leur détermination.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Si le dénouement du film peut paraître un peu attendu, Lyna Khoudri, mélange de force et de fragilité, y est une nouvelle fois exceptionnelle et nous entraîne avec elle dans un ballet d’émotions.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Estelle Aubin
Sans fausse note, mais sans vraiment retrouver l’énergie sororale et révoltée de Papicha (2019), son premier long Césarisé, Houria peine à sortir des sentiers battus des films sur la reconstruction. Mais trône, au-dessus de la mêlée, l’actrice Lyna Khoudri, sobre et étincelante. Presque thérapeutique.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si Mounia Meddour confirme être l’une des plus importants porte-voix de la cause féminine au Maghreb, son nouveau film a perdu un peu de la faconde du précédent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par E. N.
Cette version algérienne d'En corps souffre d'une certaine mièvrerie mais reste touchante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Jo.
A force de chercher à tout traduire corporellement, la cinéaste finit par ne plus rien articuler, si ce n’est des humeurs vagues qui donnent lieu à des séquences pareilles à des clips musicaux : la joie s’exprime par la danse, la tristesse par la prostration et les larmes. Entre les deux, pas grand-chose, si ce n’est un grand flou politique et artistique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Samuel Douhaire
Malgré l’énergie de Lyna Khoudri, le film est trop démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Le vrai problème de Houria est sa tendance à une joliesse (cette abondance de chorés et cette image dont la colorimétrie ressemble à un filtre Instagram) qui édulcore tous les aspects plus rêches du film. La tragédie qu’il tente de raconter est complètement évacuée par cet embellissement hors sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
Aussi fort que Papicha.
20 Minutes
La sororité est capitale dans ce récit puissant montrant comment un groupe de femmes se soutient pour échapper à des destins difficiles avec autant d’énergie que de créativité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Lyna Khoudri danse avec grâce, subtilité, intensité.
Le Dauphiné Libéré
La danse est l'art essentiel à travers lequel s'exprime avec force l'aspiration à la liberté. Lyna Khoudri danse avec grâce, subtilité, intensité.
Le Journal du Dimanche
Une traversée solaire et tragique portée par de belles actrices.
Le Parisien
Très dur et très doux, réaliste et poétique, « Houria » ne livre pas seulement un portrait de femme mais d’une génération qui essaie d’avancer dans une société qui les veut invisibles et soumises. Lumineux.
Les Echos
Sans dégager l'énergie du premier long-métrage de Mounia Meddour, « Houria » reste porté par un regard à la fois ébloui et cruel sur l'Algérie d'aujourd'hui. Mélo baigné de mer, le film laisse une impression brûlante, à la fois douloureuse et généreuse.
Les Fiches du Cinéma
M. Meddour narre les blessures de l’Algérie à travers le corps dansant de L. Khoudri, dont l'interprétation silencieuse est l’une des plus touchantes à ce jour.
Marie Claire
Un portrait intense porté par l’incandescente Lyna Khoudri.
Positif
On ne saurait trop insister sur la capacité de Mounia Meddour à mettre ses personnages en mouvement, à organiser leurs déplacements jusqu’à dessiner une chorégraphie où l'intime, l’élémentaire et le social se mêlent.
Sud Ouest
Le dilemme de l’exil, l’insupportable amnistie qui a suivi la « décennie noire » (1991-2002), « Houria » embrasse la réalité algérienne dans une large complexité, mais toujours avec générosité.
Télé Loisirs
Presque sans parler, Lyna Khoudri irradie l'écran dans une ode poétique à la reconstruction et à la sublimation des corps et des esprits meurtris.
Cahiers du Cinéma
Khoudri retrouve une rare harmonie qui unifie tous les éléments du film – surtout quand celui-ci intègre la blessure permanente du pays à travers une série de personnages de femmes brisées par la guerre et le terrorisme. (...) Danseuse étoile et star du cinéma se mêlent dans un même et mystérieux talent : n’avoir besoin de rien pour faire briller ce qui les entoure.
CinemaTeaser
Lyna Khoudri déploie à nouveau tout son talent d'actrice.
L'Humanité
Elle allie un drame social féministe et sororal à des séquences chorégraphiées en forme de clip musical. Avec ce procédé narratif, la cinéaste cherche le ton juste sans véritablement y parvenir. Le film est un peu bancal. Et pourtant, il conserve un côté attachant.
L'Obs
Entre humour moqueur et dénonciation frontale, les hommes en prennent pour leur grade. Et les femmes apportent à cette fiction leur courage et leur détermination.
La Croix
Si le dénouement du film peut paraître un peu attendu, Lyna Khoudri, mélange de force et de fragilité, y est une nouvelle fois exceptionnelle et nous entraîne avec elle dans un ballet d’émotions.
Première
Sans fausse note, mais sans vraiment retrouver l’énergie sororale et révoltée de Papicha (2019), son premier long Césarisé, Houria peine à sortir des sentiers battus des films sur la reconstruction. Mais trône, au-dessus de la mêlée, l’actrice Lyna Khoudri, sobre et étincelante. Presque thérapeutique.
aVoir-aLire.com
Si Mounia Meddour confirme être l’une des plus importants porte-voix de la cause féminine au Maghreb, son nouveau film a perdu un peu de la faconde du précédent.
Le Figaro
Cette version algérienne d'En corps souffre d'une certaine mièvrerie mais reste touchante.
Le Monde
A force de chercher à tout traduire corporellement, la cinéaste finit par ne plus rien articuler, si ce n’est des humeurs vagues qui donnent lieu à des séquences pareilles à des clips musicaux : la joie s’exprime par la danse, la tristesse par la prostration et les larmes. Entre les deux, pas grand-chose, si ce n’est un grand flou politique et artistique.
Télérama
Malgré l’énergie de Lyna Khoudri, le film est trop démonstratif.
Les Inrockuptibles
Le vrai problème de Houria est sa tendance à une joliesse (cette abondance de chorés et cette image dont la colorimétrie ressemble à un filtre Instagram) qui édulcore tous les aspects plus rêches du film. La tragédie qu’il tente de raconter est complètement évacuée par cet embellissement hors sujet.