Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
BIBA
par Samuel Loutaty
Un film tempétueux et charnel sur l'amour et le désir.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une marée des sentiments, lente, invisible mais inlassable.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Servi par l’interprétation épatante des deux principaux protagonistes, La Passagère ne s’égare pas dans une vision romanesque de l’adultère et ne s’éblouit pas non plus du plaisir transgressif de la relation entre une femme mûre et un jeune homme.
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Tout est écrit mais rien n’est attendu. « La Passagère » plaît par ce canevas venu du fond des âges dans un décor et avec des personnages qui surprennent à chaque instant, jusqu’au final.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ce n’est pas “l’histoire” ou le sujet du film d’Héloïse Pelloquet qui importent ici, qui enthousiasment. C’est, eh oui, encore une fois, sa mise en scène, et surtout la manière dont est filmée son actrice principale. Car on a rarement vu une comédienne, pourtant célèbre, filmée avec autant d’attention, de tendresse, de volonté de la montrer dans toute la splendeur de son âge.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Aux antipodes du parisianisme souvent de mise dans le cinéma hexagonal, ce coup d’essai filmé au plus près des éléments naturels et du monde du travail en mer étonne et convainc grâce à sa simplicité et à sa sensualité.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Un superbe portrait de femme libre merveilleusement campée par Cécile de France.
Paris Match
par Pierrick Geais
Une histoire d'amour sans artifice, comme le cinéma français sait si bien les filmer.
Positif
par Dominique Martinez
La trame est prévisible, celle d’un drame rural ou d’une fiction TV moralisatrice, mais son traitement mérite le détour : la description d’un métier et des contraintes sociales d’un environnement paraissent justes et crédibles. La direction d’acteurs s’attache aux nuances des visages, à la précision des gestes, à l’élan des corps [...].
Transfuge
par Serge Kaganski
Si le schéma narratif est connu, Héloïse Pelloquet le nourrit avec justesse et finesse : la montée progressive du désir, les hésitations, le regard désapprobateur de l’entourage...
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On croit savoir où nous emmène le récit, or ce film solaire – souvent galvaudé, l’adjectif est ici absolument mérité – va à contre-courant d’une classique histoire d’adultère.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un vrai désir de cinéma.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le scénario, relativement ténu, ne réserve guère de surprises dans la narration d’un adultère somme toute banal, malgré les différences d’âge et de milieu de Chiara et Maxence.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Cécile de France est très convaincante, comme toujours.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Autour d'un scénario balisé, Héloïse Pelloquet propose une mise en scène haletante centrée sur la présente bouleversante de Cécile de France déjouant les clichés de la femme adultère languissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Même si « La Passagère » n'est pas dépourvu de redondances scénaristiques, son énergie, sa sincérité et son attachement viscéral à des protagonistes qui travaillent au plus près de l'océan méritent que l'on oublie ses maladresses.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Didier Péron
Le film cependant ne convainc qu’à moitié quand bien même son récit est séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Un premier long métrage emballant jusque dans son épilogue tout sauf convenu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par P.C.
Même si la passion naissante entre Chiara (Cécile de France) et Maxence (Félix Lefebvre) est mise en scène avec délicatesse et sans caricature, [...] l'on peine à croire à cette idylle.
Télé Loisirs
par P.C.
Même si la passion naissante entre Chiara (Cécile de France) et Maxence (Félix Lefebvre) est mise en scène avec délicatesse, le couple n'arrive pas à atteindre la fièvre sensuelle qu'on attendait, et l'on peine à croire à cette idylle.
Télérama
par Guillemette Odicino
La belle singularité de ce premier long métrage repose sur une manière délicate d’aborder l’adultère, et de faire d’une femme de 40 ans passés une vraie figure de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le premier long métrage d’Héloïse Pelloquet est une romance agréable, qui utilise avec bonheur le décor naturel vendéen, avec une solide interprétation de Cécile de France et Félix Lefebvre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Eva Markovits
“Si la force du film consiste à s’intéresser au corps d’une femme mûre (Cécile de France), à sa jouissance, donner à voir cette émancipation et le mélange des classes par le seul prisme de la rencontre charnelle et du qu’en‑dira-t‑on qui en résulte, obligeant les amants à fuir, réduit finalement la trajectoire de Chiara à une imposition plutôt qu’à une réelle libération.
Le Monde
par Murielle Joudet
La Passagère pèche sur deux tableaux : celui, bien connu, qui consiste à opter pour un naturalisme par défaut, une caméra portée qui règle à elle seule toutes les questions de mise en scène ; puis, un problème concomitant d’incarnation, puisque les acteurs se débattent à l’intérieur d’un scénario mécanique et d’un film uniquement centré sur son sujet – sans pour autant parvenir à faire sentir la violence du dilemme qui s’impose à Chiara ni la brûlure de la honte sociale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
BIBA
Un film tempétueux et charnel sur l'amour et le désir.
Franceinfo Culture
Une marée des sentiments, lente, invisible mais inlassable.
Le Dauphiné Libéré
Servi par l’interprétation épatante des deux principaux protagonistes, La Passagère ne s’égare pas dans une vision romanesque de l’adultère et ne s’éblouit pas non plus du plaisir transgressif de la relation entre une femme mûre et un jeune homme.
Le Parisien
Tout est écrit mais rien n’est attendu. « La Passagère » plaît par ce canevas venu du fond des âges dans un décor et avec des personnages qui surprennent à chaque instant, jusqu’au final.
Les Inrockuptibles
Ce n’est pas “l’histoire” ou le sujet du film d’Héloïse Pelloquet qui importent ici, qui enthousiasment. C’est, eh oui, encore une fois, sa mise en scène, et surtout la manière dont est filmée son actrice principale. Car on a rarement vu une comédienne, pourtant célèbre, filmée avec autant d’attention, de tendresse, de volonté de la montrer dans toute la splendeur de son âge.
Marianne
Aux antipodes du parisianisme souvent de mise dans le cinéma hexagonal, ce coup d’essai filmé au plus près des éléments naturels et du monde du travail en mer étonne et convainc grâce à sa simplicité et à sa sensualité.
Ouest France
Un superbe portrait de femme libre merveilleusement campée par Cécile de France.
Paris Match
Une histoire d'amour sans artifice, comme le cinéma français sait si bien les filmer.
Positif
La trame est prévisible, celle d’un drame rural ou d’une fiction TV moralisatrice, mais son traitement mérite le détour : la description d’un métier et des contraintes sociales d’un environnement paraissent justes et crédibles. La direction d’acteurs s’attache aux nuances des visages, à la précision des gestes, à l’élan des corps [...].
Transfuge
Si le schéma narratif est connu, Héloïse Pelloquet le nourrit avec justesse et finesse : la montée progressive du désir, les hésitations, le regard désapprobateur de l’entourage...
Télé 7 Jours
On croit savoir où nous emmène le récit, or ce film solaire – souvent galvaudé, l’adjectif est ici absolument mérité – va à contre-courant d’une classique histoire d’adultère.
L'Obs
Un vrai désir de cinéma.
La Croix
Le scénario, relativement ténu, ne réserve guère de surprises dans la narration d’un adultère somme toute banal, malgré les différences d’âge et de milieu de Chiara et Maxence.
Le Figaro
Cécile de France est très convaincante, comme toujours.
Le Journal du Dimanche
Autour d'un scénario balisé, Héloïse Pelloquet propose une mise en scène haletante centrée sur la présente bouleversante de Cécile de France déjouant les clichés de la femme adultère languissante.
Les Echos
Même si « La Passagère » n'est pas dépourvu de redondances scénaristiques, son énergie, sa sincérité et son attachement viscéral à des protagonistes qui travaillent au plus près de l'océan méritent que l'on oublie ses maladresses.
Libération
Le film cependant ne convainc qu’à moitié quand bien même son récit est séduisant.
Première
Un premier long métrage emballant jusque dans son épilogue tout sauf convenu.
Télé 2 semaines
Même si la passion naissante entre Chiara (Cécile de France) et Maxence (Félix Lefebvre) est mise en scène avec délicatesse et sans caricature, [...] l'on peine à croire à cette idylle.
Télé Loisirs
Même si la passion naissante entre Chiara (Cécile de France) et Maxence (Félix Lefebvre) est mise en scène avec délicatesse, le couple n'arrive pas à atteindre la fièvre sensuelle qu'on attendait, et l'on peine à croire à cette idylle.
Télérama
La belle singularité de ce premier long métrage repose sur une manière délicate d’aborder l’adultère, et de faire d’une femme de 40 ans passés une vraie figure de liberté.
aVoir-aLire.com
Le premier long métrage d’Héloïse Pelloquet est une romance agréable, qui utilise avec bonheur le décor naturel vendéen, avec une solide interprétation de Cécile de France et Félix Lefebvre.
Cahiers du Cinéma
“Si la force du film consiste à s’intéresser au corps d’une femme mûre (Cécile de France), à sa jouissance, donner à voir cette émancipation et le mélange des classes par le seul prisme de la rencontre charnelle et du qu’en‑dira-t‑on qui en résulte, obligeant les amants à fuir, réduit finalement la trajectoire de Chiara à une imposition plutôt qu’à une réelle libération.
Le Monde
La Passagère pèche sur deux tableaux : celui, bien connu, qui consiste à opter pour un naturalisme par défaut, une caméra portée qui règle à elle seule toutes les questions de mise en scène ; puis, un problème concomitant d’incarnation, puisque les acteurs se débattent à l’intérieur d’un scénario mécanique et d’un film uniquement centré sur son sujet – sans pour autant parvenir à faire sentir la violence du dilemme qui s’impose à Chiara ni la brûlure de la honte sociale.