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Le début dans la grande chambre d’hôtel avec des gags sur la climatisation et l’impossibilité d’éteindre ou d’allumer normalement à l’ère du numérique, quand on n’est pas chez soi, est bien dans leur veine comique. Puis ils prennent une route à la fois policière et tendre, qui joue moins sur l’humour pur que sur la tolérance.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les fans retrouveront les facéties et le côté bougon de leurs héros préférés pour cette troisième aventure sur grand écran, les autres peuvent rester hermétiques.
Le scénario ne sait pas choisir son registre, la mise en scène est anonyme, poussive et répétitive. Et la bêtise étant toujours complaisante, il n’y a rien à sauver !
Le Parisien
Le début dans la grande chambre d’hôtel avec des gags sur la climatisation et l’impossibilité d’éteindre ou d’allumer normalement à l’ère du numérique, quand on n’est pas chez soi, est bien dans leur veine comique. Puis ils prennent une route à la fois policière et tendre, qui joue moins sur l’humour pur que sur la tolérance.
Positif
L'humour des Bodin’s s’ancre dans une certaine tradition française du bon sens rural, de la corporalité et de la facile réduction à l’analogie.
Télé Loisirs
Les fans retrouveront les facéties et le côté bougon de leurs héros préférés pour cette troisième aventure sur grand écran, les autres peuvent rester hermétiques.
Les Fiches du Cinéma
Le scénario ne sait pas choisir son registre, la mise en scène est anonyme, poussive et répétitive. Et la bêtise étant toujours complaisante, il n’y a rien à sauver !
Les Inrockuptibles
Le “bon sens” n’est pas mort, ne semble pas près de mourir, tout le monde s’en réclame et les “Bodin’s” sont ses prophètes.