Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Il est impossible de ne pas aimer les personnages de ce récit à la fois léger et grave, qui place le cinéma au-dessus de tout, comme porte de salut pour ne pas désespérer, comme grande évasion à l’horreur et au tragique les plus absolus.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il est impossible de ne pas aimer les personnages de ce récit à la fois léger et grave (...).
Le Parisien
par La Rédaction
Entre comédie dramatique et romantique, épisode historique, ce film est porté par un Simon Abkarian généreux et touchant en colosse aux pieds d’argile que soutient une jolie distribution. Une ode à l’amour, au cinéma et à cette part de rêve qu’il peut instiller en chacun.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Portée par l’impérial Simon Abkarian, cette comédie initiatique aux accents de tragédie mémorielle est traversée par la mélancolie et rend un hommage vibrant au septième art, ainsi qu’à tous les cinéphiles anonymes qui préfèrent vivre leur existence par procuration dans les salles obscures que d’affronter les démons de la réalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier De Bruyn
Un peu naïve et trop classique, cette romance historique, qui rappelle le Traveling avant de Jean-Charles Tachella (1987) se laisse tout de même voir avec un plaisir coupable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
La Voix du Nord
par Christophe Caron
L’épopée historique, la douce fantaisie, le mélo contrarié… Ça faisait sans doute beaucoup pour ce film de Nicolas Steil adapté d’un roman d’Henri Roanne qu’on aurait tellement voulu adorer, mais qui manque soit d’un grain de folie plus affirmé, soit d’une plus forte intensité dramatique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un film aux dialogues peu inspirés et à la mise en scène maladroite, porté néanmoins par une belle distribution.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un mélo un peu trop appuyé pour séduire totalement.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Mais, malgré un casting chevronné, on se pince parfois devant tant de maladresses de jeu. Seul Simon Abkarian, alias Saül, trouve toujours le ton juste, entre charisme pur et talent sûr.
Télérama
par Samuel Douhaire
Simon Abkarian ne ménage pas ses efforts pour incarner ce personnage aussi grande gueule qu’attachant. Mais que de maladresses dans le scénario de cette fable sur le devoir de mémoire, et que de naïveté dans l’ode aux pouvoirs réparateurs du cinéma…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Au fil de ces allers-retours entre présent et passé, cinéma et « réel », le film accumule les invraisemblances et les effets démonstratifs. Lesquels, abandonnés à une mise en scène compassée, donnent le sentiment que tout ce qui se joue, ici, est faux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Mais l’enthousiasme de Steil à raconter cette histoire se retourne contre lui : son film finit par étouffer de ces clins d’œil cinéphile, de ses déclarations d’amour exaltées au cinéma qui ne laissent jamais la place au spectateur de s’emparer de ce récit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Il est impossible de ne pas aimer les personnages de ce récit à la fois léger et grave, qui place le cinéma au-dessus de tout, comme porte de salut pour ne pas désespérer, comme grande évasion à l’horreur et au tragique les plus absolus.
Le Dauphiné Libéré
Il est impossible de ne pas aimer les personnages de ce récit à la fois léger et grave (...).
Le Parisien
Entre comédie dramatique et romantique, épisode historique, ce film est porté par un Simon Abkarian généreux et touchant en colosse aux pieds d’argile que soutient une jolie distribution. Une ode à l’amour, au cinéma et à cette part de rêve qu’il peut instiller en chacun.
L'Obs
Portée par l’impérial Simon Abkarian, cette comédie initiatique aux accents de tragédie mémorielle est traversée par la mélancolie et rend un hommage vibrant au septième art, ainsi qu’à tous les cinéphiles anonymes qui préfèrent vivre leur existence par procuration dans les salles obscures que d’affronter les démons de la réalité.
Le Figaro
Un peu naïve et trop classique, cette romance historique, qui rappelle le Traveling avant de Jean-Charles Tachella (1987) se laisse tout de même voir avec un plaisir coupable.
La Voix du Nord
L’épopée historique, la douce fantaisie, le mélo contrarié… Ça faisait sans doute beaucoup pour ce film de Nicolas Steil adapté d’un roman d’Henri Roanne qu’on aurait tellement voulu adorer, mais qui manque soit d’un grain de folie plus affirmé, soit d’une plus forte intensité dramatique.
Les Fiches du Cinéma
Un film aux dialogues peu inspirés et à la mise en scène maladroite, porté néanmoins par une belle distribution.
Ouest France
Un mélo un peu trop appuyé pour séduire totalement.
Télé 7 Jours
Mais, malgré un casting chevronné, on se pince parfois devant tant de maladresses de jeu. Seul Simon Abkarian, alias Saül, trouve toujours le ton juste, entre charisme pur et talent sûr.
Télérama
Simon Abkarian ne ménage pas ses efforts pour incarner ce personnage aussi grande gueule qu’attachant. Mais que de maladresses dans le scénario de cette fable sur le devoir de mémoire, et que de naïveté dans l’ode aux pouvoirs réparateurs du cinéma…
Le Monde
Au fil de ces allers-retours entre présent et passé, cinéma et « réel », le film accumule les invraisemblances et les effets démonstratifs. Lesquels, abandonnés à une mise en scène compassée, donnent le sentiment que tout ce qui se joue, ici, est faux.
Première
Mais l’enthousiasme de Steil à raconter cette histoire se retourne contre lui : son film finit par étouffer de ces clins d’œil cinéphile, de ses déclarations d’amour exaltées au cinéma qui ne laissent jamais la place au spectateur de s’emparer de ce récit.