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    Men
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    Kaja Marie Funk
    Kaja Marie Funk

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juillet 2022
    Très bon film! J'ai adoré la musique et les acteurs. En plus c'est un film d'horreur qui parle de sexisme et les relations entre homme et femme. Le film m'a beaucoup touché.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    536 abonnés 953 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juin 2022
    La difficulté avec un thème aussi prégnant que le rapport homme/femme, à l'heure où les inégalités, injustices ou préjugés sont fréquemment exposés devant tous, c'est de trouver l'angle adéquat pour emporter l'adhésion de son auditoire quelle que soit sa compréhension du problème. Prenons Le Dernier Duel qui décomposait un même évènement selon trois prismes pour nous renvoyer au visage les œillères qu'on se met, filtres bien commodes illustrés par de subtiles dissemblances en fonction de la personne et de l'image qu'elle a d'elle-même. Avec Men, Alex Garland y va de manière à la fois plus directe et allégorique.

    Nous suivons un seul point de vue, un seul personnage par conséquent une seule réalité. Celle de Harper (parfaite Jessie Buckley), dont le trauma passé semble se repercuter directement sur ses perceptions. On pense à un syndrome de Fregoli, cette psychose voyant la victime persuadée d'être la cible d'un individu prenant l'apparence de tout le monde. Mais non, Garland dissipe rapidement le doute : le spectateur n'est pas témoin, il est à la place de Harper. Un peu comme Jordan Peele nous glissait sous la peau de son héros dans Get Out, histoire de rendre perceptibles ces regards pesants ou ces remarques désobligeantes.

    Le diable se cache dans les détails ; en ce qui me concerne, Men fonctionne mieux quand Garland propage le malaise sur de petites choses bien concrètes, un dialogue avec un compagnon, un prêtre ou les clients d'un pub. Pas besoin d'effusion de sang, le simple fait d'être vue et traitée comme un objet négligeable - qu'on peut injurier, rabaisser ou sur lequel faire porter une charge qui n'est pas la sienne - suffit à rendre la condition de Harper irrespirable. Chose accentuée avec la performance multiple de Rory Kinnear, lui permettant de couvrir un large territoire entre excentricités, menace sourde et sauvagerie pure. Garland veut pourtant appuyer d'avantage, au grand malheur du film.

    Un peu à l'instar d'Annihilation, cette nouvelle création tombe dans le symbolisme pompier (la pomme, le cerf mort, le mal enraciné qui se reproduit,...). Trop de confiance en ses moyens ou manque de confiance en son public, le metteur en scène ploie à plusieurs reprises sous la lourdeur d'un dispositif pachydermique. Ce qui était inopportun devient même gênant dans ce final (en forme d'explosion graphique), où l'on asséne une énième métaphore pour une notion déjà flagrante depuis une heure. Nulle remise en cause de l'énoncé, mais les circonvolutions pour l'amener sont plus hasardeuses (et inutiles).
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 août 2022
    Pour récupérer du traumatisme qu'elle vient de subir, une jeune Anglaise, Harper (Jessie Buckley) décide de louer un gîte à la campagne. Elle découvre un splendide manoir dans le Gloucestershire dont Geoffrey (Rory Kinnear) lui fait faire le tour du propriétaire. Mais, bien vite, dans cette immense maison isolée entourée d'une nature menaçante, le malaise s'installe.

    Alex Garland est un sacré homme de cinéma qui, après avoir signé plusieurs scénarios, et non des moindres, de Danny Boyle ("La Plage", "28 jours plus tard", "Sunshine"), est passé derrière la caméra ("Ex Machina", "Annihilation").

    "Men" se présente comme un film d'horreur. Il appartient au sous-genre du folk horror, dont la spécificité est de se dérouler à la campagne et de faire fond sur les mythes et traditions populaires les plus perturbantes. "Midsommar" - mon film préféré en 2019 - en est l'exemple le plus caractéristique et le plus réussi.

    Mais "Men" a un sous-texte que son titre annonce. Il s'agit d'un film sur la masculinité toxique qui empoisonne la vie de Harper. On découvre par bribes le traumatisme qu'elle a subi. On la voit ensuite se heurter aux quelques hommes qu'elle croise, qui ont tous le même visage - celui de l'acteur, remarquable, Rory Kinnear - et la même attitude faussement amicale : l'hôte qui lui fait visiter les lieux, le policier qui recueille son témoignage, le gamin qui l'insulte, le prêtre auprès duquel elle cherche du réconfort....

    "Men" culmine dans un final d'apocalypse. Les avis en sortant de la salle sont divisés : certains rient aux éclats devant ce grand n'importe quoi, d'autres en sont durablement traumatisés. Aucun ne l'oubliera en tout cas.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    69 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 mars 2023
    Jessie Buckley est tellement douée qu'elle arrive même à rendre tolérables les discours rances sur la masculinité toxique? Dans le genre, on a bien compris le message féministe de Garland qui envoie le folk-horror dans l'époque post #MeToo avec force symbolismes et fantasmagories. Après le formidable "Ex Machina" en 2014, Garland semble avoir décidé de rendre son oeuvre abstraite, de travailler sur la peur de la perte d'intégrité mentale, sur le danger et la menace, imperceptibles ou métaphoriques, bref de proposer des films oniriques et hallucinatoires qui perdent volontiers pied avec la réalité. Avec "Men", cette abstraction de son cinéma, teintée de folk-body-horror 2.0, puis mêlée à un discours qui a fini par devenir malsain et contreproductif... rendent son film parfaitement indigeste et assez pénible. Et là, même Jessie Buckley n'y pourra rien!
    GDidées
    GDidées

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2022
    Découverte d'une magnifique actrice: Jessie Buckley; son jeu est irréprochable et elle joue avec une tel intensité! (une anthologie ces scènes avec son mari!). Flash-back très bien intégrés. Et enfin un film intelligent et subtil sur le pouvoir de nuisance de certains hommes, sur ces relations homme/femme toxiques.
    Critique rédigé par un homme.
    GDidées.
    CedricD
    CedricD

    40 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2022
    Un condensé des hommes toxiques que l'on croise quotidiennement dans nos vies. Un film flippant mais précurseur d'un renouveau dans le cinéma de genre. Une scène finale bluffante et monstrueuse !
    volkmer clement
    volkmer clement

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juin 2022
    J'ai jamais autant pete des barres de ma vie, pourtant c'est pas un film humour a la base...........
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 janvier 2023
    Harper, jeune femme traumatisée par la mort brutale de son mari violent et malade, part se ressourcer au fin fond de la campagne britannique. Elle fait alors la rencontre de plusieurs hommes étranges. Son séjour vire, lentement mais sûrement, dans le registre de l’inquiétant et du délire.

    Amis du cinéma métaphorique capillotracté, bonsoir! Ce « Men », thriller psychologique signé Alex Garland, esprit à l’origine du sensationnel « Ex-Machina », saura vous abreuver de symboles jusqu’à plus soif.

    Dans une mise en scène très « naïve », le réalisateur britannique démontre une nouvelle fois son talent dans le maniement de l’image. L’isolement, la solitude sont grandioses. L’horreur, dans un écrin de verdure et de lumières bibliques, est puissante. La photographie, aux symétries épurées et kubrickesque est léchée. La bande son, toute de voix dissonantes, est glaciale. Le jeu entre montage et effet sonore est soigné, à la limite de l’obsessionnel. On retrouve un peu de Hitchcock dans ses thématiques de la femme névrosée, malmenée, esseulée.
    Vous l’aurez compris, « Men » est un très bel objet cinématographique.

    Mais voilà que le fond nous laisse un peu plus pantois. Dans une ambiance dérangeante, parfois bien barrée (un peu trop vous dites?), Garland traite des longues étapes qui s’imposent à la guérison d’un psychisme éclaté par le trauma. Dans des basculements inattendus et audacieux (un peu trop aussi, hein?), il figure l’auto-engendrement d’une masculinité toxique et meurtrière. Pour enfoncer le clou, il dépose le message, à coup de grosses godasses boueuses, du sacrifice des femmes sur l’hôtel de l’hétérosexualité et de leur soumission psychologique au patriarcat (y en a un peu plus, je vous le mets quand même?).
    Vous l’aurez compris, « Men » traite de thématiques essentielles et vivifiantes, mais malheureusement sans la retenue, la finesse et les détours qui auraient été ici les bienvenus.

    Dans le registre de l’allégorie du trauma et de la dépression au féminin on lui préférera un bon « Midsommar », « Barbarian », « Watcher » ou « Mother ».
    Audrey L
    Audrey L

    647 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juin 2022
    On est ressorti de Men avec une irrépressible envie de discuter de ce qu'on pense avoir extirpé de ces scènes hallucinatoires aussi fascinantes que dérangeantes. On s'est tant pris au jeu du décryptage des symboles qu'on n'a pas vraiment vu tous les "mécanismes" tant décriés par ceux de la critique qui n'ont pas aimé, jugeant le film boursouflé par sa partie technique : pour notre part, on n'a pas remarqué que spoiler: l'ensemble des hommes était joué par un unique acteur grimé (Rory Kinnear, brillant),
    on était trop occupé à réfléchir justement à ce qu'ils représentent pour cette femme allergique aux hommes après un lourd passif, aux messages qu'ils véhiculent : de l'hôte qui ne le fait pas exprès avec sa galanterie excessive, à l'ignoble curé qui ne voit pas le mal à battre sa femme et a des gestes de pervers sexuel... On monte crescendo en envie de retourner des meubles, tandis que Jessie Buckley, comme toujours viscérale, s'enfonce dans le cauchemar machiste, jusqu'au final où l'on aborde un virage à 180° avec un body horror cathartique (toute la violence et la douleur de la procréation infligée au centuple aux hommes) contre-nature et jusqu'au-boutiste spoiler: (l'accouchement par le dos ou la bouche...il fait chaud, non ?),
    donc forcément réussi. Si l'on veut bien se laisser couler dans ce délire horrifique bien monté, en essayant de ne pas se braquer sur sa forme (évidemment clinquante, ne seraient-ce que les scènes de cauchemars bordéliques), Men déploie avec intensité son intrigue terrifiante sur l'oppression masculine définitivement plus proche d'une vraie envie artistique que d'un opportunisme post-MeToo facile (le principal risque de pareil scénario aujourd'hui). La photographie nous a aussi tapé dans l’œil, avec son jardin filmé large pour profiter de son potentiel inquiétant (la lumière qui saute, un personnage louche qui disparaît, et voilà une scène d'angoisse à l'ancienne, terriblement efficace), les paysages verdoyants, l'homme-chêne dans la fumée éclairée... L'allégorie du jardin d'Eden (où la femme est fautive) est assurée par le pommier, tandis que l'homme-chêne signifie plutôt le côté immuable (le chêne étant le symbole de la solidité, de l'inflexibilité) de cette nature dominante (évidemment il ne faut pas tomber dans le piège de la généralisation, il s'agit bien de la représentation de la masculinité toxique au profit de l'horreur du film). Men nous a tiré de force, sans ménagement, dans son engagement féministe décuplé par le genre horrifique. Beaucoup détesteront, et on les comprendra, mais on aimé se faire malmener, surtout si c'est pour se rincer l'oeil sur une belle photo, vivre le cauchemar avec la talentueuse Jessie Buckley, et jouer sur des peurs viscérales (les femmes battues, le harcèlement, l'accouchement douloureux) qui font mal, très mal.
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    162 abonnés 1 538 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2022
    Sortie il y a plusieurs semaines, j'y vais sans grande attente surtout que je n'ai vu aucune bande-annonce, ni lu aucun résumé. Et bien franchement, c'est une bonne surprise car le film est très bien avec plusieurs interprétations possibles.

    Tout d'abord, la réalisation est fortement qualitative et on ressent beaucoup d'émotions rien qu'avec les ambiances posées. Par la musique et le cadrage, j'ai ressenti comme le personnage principal. Au début du film, la maison paraît vraiment comme un lieu sûr car il y a un certain naturalisme, par contre la forêt a l'air plus dangereuse avec les échos (dans un premier temps onirique puis menaçant) et les angles de vue. En bref, le traitement du son est très propre et les effets spéciaux sont vraiment pas mal, bien qu’un peu gore.

    Le scénario est classique pour un film d’horreur, cela reste très intéressant et plus que prenant ; mais les propos sont vraiment importants comme les violences conjugales ou autres sujets en rapport avec la religion. L’horreur est très efficace et les hommes menaçants ont tous un caractère et un design différent. Rien à voir mais le personnage de la meilleure amie ne sert strictement à rien et le final du film est un peu déguelasse en terme de body horror (attention aux âmes sensibles). Selon moi, les différents hommes représentent chacun soit un vice de son mari défunt, ou soit les vices de l’Homme en règle générale.

    Pour conclure, je conseille ce film pour tout le monde car il ne fait pas trop peur, il joue surtout sur le malaise et l'oppression ; par contre, je précise une nouvelle fois que le final dégoute un peu quand même.
    Tiphaine R
    Tiphaine R

    11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 juillet 2022
    Après avoir officié en tant que scénariste pour Danny Boyle notamment (28 jours plus tard et Sunshine), Alex Garland se lance dans la réalisation avec les deux opus science-fictionnels Ex machina (2014) et Annihilation (2017) qui précèdent Men, présenté à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes.

    Hantée par la disparition de son mari, Harper (Jessie Buckley) décide de s'offrir une parenthèse dans une maison néogothique isolée en pleine campagne anglaise. Le décor est planté et les codes de la folk horror vont se déployer crescendo à travers une symbolique judéo-chrétienne assumée, parfois un peu trop appuyée.

    Harper - une nouvelle Eve incarnant le péché originel - rencontre une multitude de personnages masculins dans le village voisin. Du pasteur au barman en passant par le sale gosse et le policeman, tous ont un comportement plus ou moins toxique qui fait monter graduellement un sentiment d'oppression jusqu'au final horrifique surprenant.

    Parabole inventive des violences patriarcales, Men impressionne par ses audaces visuelles, soutenues par une musique sacrée médiévale revisitée par le duo Ben Salisbury et Geoff Barrow (ex-batteur de Portishead).

    Mes autres critiques ici :
    https://cinebulles.blogspot.com/
    BzurgLand
    BzurgLand

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2023
    Alex Garland fait des films sur la transformation. Son travail est hybride sur les genres. On peut y voir des femmes froides comme des robots, des femmes de guerre armées jusqu'aux dents, des "hommes" qui accouchent péniblement d'eux-même.
    Garland accouche sans doute de lui-même à chaque film. Bien évidemment les fans de genres cinématographiques hurlent. Ils demandent juste des émotions fortes, pas une création artistique.
    Ils veulent du sang rouge et de l'épouvante blanche alors qu'il ajoute des arbres d'un vert sublime, des fleurs bleues roi et des fruits comme parties prenantes de l'hybridation jusqu'au petit-déjeuner.
    À mon sens, c'est à chaque fois absolument sublime au point que je me demande comment il a pu perdre son temps avec Dany Boyle, à chaque fois malaisant et aveugle - ce qui est toujours gênant pour un réalisateur.
    S'il y a un propos dans ses films, Alex Garland y met au contraire d'abord un oeil et nous l'offre superbement à chaque fois.
    Et son oeil ne se cantonne pas à simplement montrer, il invente, il crée, il hybride, il oblige.
    Alex Garland se trouve-t-il au fond de l'oeil de ce faon mort dans lequel la caméra nous oblige à plonger (puis ressortir) ? Je le crois.
    Il oblige à regarder sans militantisme. Dans la chair. À chaque fois.
    N'est-ce pas là le rôle de tout créateur de génie ?
    Pour moi, Garland annonce son oeuvre dans Ex Machina et campe un travail très novateur. Et ça se confirme désormais.
    Personnellement, je suis subjugué par ce qu'il offre.
    Doit-on parler de génie ?
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    232 abonnés 1 013 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juillet 2022
    Un thriller exaltant qui raconte le calvaire d’une femme battue en quête de reconstruction. Pour cela elle décide de s’isoler dans une maison de campagne mais va se retrouver au cœur d’une traque. Un film de psychose déroutant aux images somptueuses. On se retrouve happé par l’histoire. Magnifique.
    selenie
    selenie

    6 344 abonnés 6 208 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juin 2022
    Le sujet est affirmé d'entrer, les violences conjugales, sujet ô combien d'actualité ! Même si d'emblée on s'étonne que la victime déclare qu'un seul coup de trop a été asséner alors qu'un homme violent de façon récurrente et habituelle aurait eu une portée plus pregnante et probante. Très vite, les habitants du village semblent tous plus ou moins bizarres, certains menaçants, d'autres moins, tous sont une facette de la virilité et/ou du machisme, symbole du patriarcat, le propriétaire, le policier, le barman, le sale garnement et même un prêtre... Et oui n'oublions pas le poids de la religion dans la soumission de la femme ! D'autant plus pernicieux que les cauchemars et souvenirs douloureux de Harper se mêle à des visions d'un mysticisme païen. Tout s'imbrique, les agressions plus ou moins directes aux souvenirs en passant par une nature luxuriante et foisonnante de toute beauté jusqu'à cette ultime partie où la fécondité s'impose de façon frontale, où le sang renvoie à la féminité dans une séquence qui frôle le grotesque. Un film à ne pas conseiller aux âmes sensibles, mais un film à voir.
    Site : Selenie
    Adrien Renault
    Adrien Renault

    10 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 juillet 2022
    Par pitié n'allez pas voir ce film. Au delà d'une histoire incompréhensible, le film base son déroulement sur des scènes choquantes et vraiment sales. J'ai failli vomir dans la salle tellement c'était beaucoup trop pourtant j'en ai vu d'autres de ce genre.
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