Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
C’est en moins de deux heures qu’Alex Garland fait converger la démarche politique, l’écriture érudite, et la mise en scène précise pour capter la triste vérité de l’ultra-moderne solitude au féminin. Complètement bluffant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’audace formelle de Men par un auteur d’une grande créativité accouche du premier film d’horreur féministe. Un grand film.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Men ne doit pas juste à la solide performance de ses interprètes, Rory Kinnear qui se démultiplie, et Jessie Buckley qui parcourt idéalement tout un registre d’émotions, le chagrin, l’angoisse, la culpabilité, la peur et la terreur.
Mad Movies
par Laurent Duroche
Truffé d'énigmatiques chausse-trappes, "Men" secoue à la fois les neurones et l'estomac dans un crescendo de terreur surréaliste qui explose lors d'un final aussi grotesque que fascinant, sommet de body horror révulsante pour lequel Garland a puisé son inspiration dans l'anime "L'Attaque des titans".
Voici
par Daniel Blois
Dérangeant et fascinant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Une atmosphère malaisante se dégage de cet excellent thriller dans lequel une jeune veuve est perscutée par des inconnus au fond de la campagne anglaise.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Chloé Ronchin
Provoquant et terrifiant, «Men» est une œuvre féministe bien orchestrée où la figure de Sheela-Na-Gig côtoie celle de l’homme vert, et qui donnera lieu à de vifs débats, tant le pari est osé, et les interprétations multiples.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ecran Large
par Antoine Desrues
Men est bien plus que le film d'horreur aux accents féministes auquel on pourrait le réduire. Alex Garland perfectionne son approche du fantastique pour délivrer un récit puissamment dérangeant et vertigineux, dans lequel on a hâte de replonger pour en détricoter les multiples pistes de réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Men esquisse avec subtilité le portrait d’une héroïne en deuil, tourmentée et confrontée à la culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Philippe Guedj
Un message féministe traverse l'intrigue, mais Garland refuse de livrer les clés d'un film aux mystères fascinants jusqu'à la fin, aussi folle qu'effrayante.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Alex Garland flirte avec l’horreur païenne dans ce troublant et labyrinthique thriller psychologique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Moins intéressant que ses précédents et lesté par l’emploi du même acteur pour plusieurs rôles, le film horrifique d’Alex Garland explore néanmoins avec talent les obsessions et terreurs du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Aussi audacieux que flippant.
Première
par Frédéric Foubert
Men est une fable sur la guérison et le retour à la vie, un écho aux préoccupations féministes de l’époque, un commentaire sur la masculinité toxique – question très contemporaine que l’auteur fond dans une atmosphère d’angoisse immémoriale, convoquant pour se faire des mythes locaux, des symboles anciens de fertilité et de renaissance et les codes de la folk-horror.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
À la fois requiem funèbre et fantasmagorique, Men est surtout le récit de la libération du corps féminin dans un monde régi par un monstre aux milles visages : le male gaze. Nous voici devant le vrai film d’horreur post-MeToo.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Après avoir assisté au suicide de son compagnon, Harper (Jessie Buckley) quitte Londres le temps d’un long week-end de décompression. En la suivant, Alex Garland lance la piste d’un suspense psychologique marqué par l’exorcisme de la culpabilité de l’héroïne. Pourtant, malgré la lourdeur programmatique de son titre, l’usage que Men fait du cinéma de genre échappe un peu aux carcans de l’allégorie.
Le Parisien
par La Rédaction
Très intéressant dans sa première partie, « Men », signé de l’écrivain et réalisateur Alex Garland, tourne ensuite au film d’horreur qui multiplie trop les références à David Cronenberg et Dario Argento, et développe des théories fumeuses sur les rapports entre les hommes et les femmes (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Critikat.com
par Corentin Lê
Le film se noie dans un pesant programme métaphorique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Ecran Fantastique
par Théodore Anglio-Longre
Dans sa dernière partie, Men délaisse la subtilité qui faisait sa force pour plonger dans un médiocre symbolisme, prônant un brumeux discours féministe. Garland se montre alors complaisant, s’appuyant uniquement sur le gore et les scènes-choc, un dénouement paresseux qui gâche toutes les belles promesses du film.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Malgré l’indéniable talent de Garland pour mettre en place un climat d’angoisse et pour figurer des images effarantes, et malgré sa volonté manifeste de mettre en scène la masculinité toxique, la littéralité de l’entreprise, couplée au gloubi-boulga spirituel de son exécution, déçoit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Frédéric Mercier
On souhaite à Alex Garland à l’avenir de trouver un scénariste lui permettant de faire vivre ses créatures dans un environnement un peu plus intéressant et moins opportuniste que cette entreprise pas convaincante car artificielle sur la toxicité masculine.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
L’angoisse ne prend jamais. On devrait trembler, on ne retient qu’un rire embarrassé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Tous les hommes du village (pasteur, patron de pub, policier) ont le même visage. Ils sont tous libidineux ou malveillants. La charge est lourde (le mâle toxique est partout) et vire au grand guignol.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
D'abord séduisant avec son atmosphère très travaillée, le film bascule dans un délire mystico-gore diffcile à suivre… et à supporter pour les âmes sensibles.
CinemaTeaser
C’est en moins de deux heures qu’Alex Garland fait converger la démarche politique, l’écriture érudite, et la mise en scène précise pour capter la triste vérité de l’ultra-moderne solitude au féminin. Complètement bluffant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’audace formelle de Men par un auteur d’une grande créativité accouche du premier film d’horreur féministe. Un grand film.
Le Dauphiné Libéré
Men ne doit pas juste à la solide performance de ses interprètes, Rory Kinnear qui se démultiplie, et Jessie Buckley qui parcourt idéalement tout un registre d’émotions, le chagrin, l’angoisse, la culpabilité, la peur et la terreur.
Mad Movies
Truffé d'énigmatiques chausse-trappes, "Men" secoue à la fois les neurones et l'estomac dans un crescendo de terreur surréaliste qui explose lors d'un final aussi grotesque que fascinant, sommet de body horror révulsante pour lequel Garland a puisé son inspiration dans l'anime "L'Attaque des titans".
Voici
Dérangeant et fascinant.
20 Minutes
Une atmosphère malaisante se dégage de cet excellent thriller dans lequel une jeune veuve est perscutée par des inconnus au fond de la campagne anglaise.
CNews
Provoquant et terrifiant, «Men» est une œuvre féministe bien orchestrée où la figure de Sheela-Na-Gig côtoie celle de l’homme vert, et qui donnera lieu à de vifs débats, tant le pari est osé, et les interprétations multiples.
Ecran Large
Men est bien plus que le film d'horreur aux accents féministes auquel on pourrait le réduire. Alex Garland perfectionne son approche du fantastique pour délivrer un récit puissamment dérangeant et vertigineux, dans lequel on a hâte de replonger pour en détricoter les multiples pistes de réflexion.
Le Journal du Dimanche
Men esquisse avec subtilité le portrait d’une héroïne en deuil, tourmentée et confrontée à la culpabilité.
Le Point
Un message féministe traverse l'intrigue, mais Garland refuse de livrer les clés d'un film aux mystères fascinants jusqu'à la fin, aussi folle qu'effrayante.
Les Fiches du Cinéma
Alex Garland flirte avec l’horreur païenne dans ce troublant et labyrinthique thriller psychologique.
Libération
Moins intéressant que ses précédents et lesté par l’emploi du même acteur pour plusieurs rôles, le film horrifique d’Alex Garland explore néanmoins avec talent les obsessions et terreurs du cinéaste.
Ouest France
Aussi audacieux que flippant.
Première
Men est une fable sur la guérison et le retour à la vie, un écho aux préoccupations féministes de l’époque, un commentaire sur la masculinité toxique – question très contemporaine que l’auteur fond dans une atmosphère d’angoisse immémoriale, convoquant pour se faire des mythes locaux, des symboles anciens de fertilité et de renaissance et les codes de la folk-horror.
aVoir-aLire.com
À la fois requiem funèbre et fantasmagorique, Men est surtout le récit de la libération du corps féminin dans un monde régi par un monstre aux milles visages : le male gaze. Nous voici devant le vrai film d’horreur post-MeToo.
Cahiers du Cinéma
Après avoir assisté au suicide de son compagnon, Harper (Jessie Buckley) quitte Londres le temps d’un long week-end de décompression. En la suivant, Alex Garland lance la piste d’un suspense psychologique marqué par l’exorcisme de la culpabilité de l’héroïne. Pourtant, malgré la lourdeur programmatique de son titre, l’usage que Men fait du cinéma de genre échappe un peu aux carcans de l’allégorie.
Le Parisien
Très intéressant dans sa première partie, « Men », signé de l’écrivain et réalisateur Alex Garland, tourne ensuite au film d’horreur qui multiplie trop les références à David Cronenberg et Dario Argento, et développe des théories fumeuses sur les rapports entre les hommes et les femmes (...).
Critikat.com
Le film se noie dans un pesant programme métaphorique.
L'Ecran Fantastique
Dans sa dernière partie, Men délaisse la subtilité qui faisait sa force pour plonger dans un médiocre symbolisme, prônant un brumeux discours féministe. Garland se montre alors complaisant, s’appuyant uniquement sur le gore et les scènes-choc, un dénouement paresseux qui gâche toutes les belles promesses du film.
Les Inrockuptibles
Malgré l’indéniable talent de Garland pour mettre en place un climat d’angoisse et pour figurer des images effarantes, et malgré sa volonté manifeste de mettre en scène la masculinité toxique, la littéralité de l’entreprise, couplée au gloubi-boulga spirituel de son exécution, déçoit.
Positif
On souhaite à Alex Garland à l’avenir de trouver un scénariste lui permettant de faire vivre ses créatures dans un environnement un peu plus intéressant et moins opportuniste que cette entreprise pas convaincante car artificielle sur la toxicité masculine.
L'Obs
L’angoisse ne prend jamais. On devrait trembler, on ne retient qu’un rire embarrassé.
Le Figaro
Tous les hommes du village (pasteur, patron de pub, policier) ont le même visage. Ils sont tous libidineux ou malveillants. La charge est lourde (le mâle toxique est partout) et vire au grand guignol.
Télé Loisirs
D'abord séduisant avec son atmosphère très travaillée, le film bascule dans un délire mystico-gore diffcile à suivre… et à supporter pour les âmes sensibles.