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Roublard, le réalisateur a en prime un atout irréfutable : Nicole Kidman, aussi évidente, aussi de fragilité déterminée en "cadeau" paré de toutes les vertus qu'en Virginia Woolf dans "The Hours".
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Pour incarner l'énigme de Grace, Nicole Kidman ne peut donc pas compter sur le contraste de sa présence face aux autres. Elle fait bien mieux que cela : prosaïque et abstraite, tendre et statuaire, tout le temps captivante, retrouvant incidemment l'opacité de Deneuve chez Buñuel. Elle fait même oublier (n'était-ce pas le but ?) l'expérience formelle du film et permet à tout le monde, spectateur compris, de tenir la distance risquée des trois heures de turpitudes stylisées.
Ce surplus de réalité cruelle affiché à la façon des publicités Benetton n'est pas pour nous rassurer sur les mobiles latents d'une entreprise, certes ambitieuse, qu'on ne peut s'empêcher de trouver frelatée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Echos
Roublard, le réalisateur a en prime un atout irréfutable : Nicole Kidman, aussi évidente, aussi de fragilité déterminée en "cadeau" paré de toutes les vertus qu'en Virginia Woolf dans "The Hours".
Les Inrockuptibles
Lars von Trier réussit un coup de maître avec Dogville, film expérimental passionnant au sommet duquel trône la reine Kidman.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Nicole Kidman est une fois de plus magnifique et fascinante.
Le Parisien
Lâcheté, totalitarisme, perversité et cruauté sont les mamelles de cette oeuvre choc (...).
TéléCinéObs
(...) pendant dix minutes on pense qu'on va avoir du mal, puis la magie opère et c'est extraordinaire. Nicole Kidman est sublime.
Télérama
Pour incarner l'énigme de Grace, Nicole Kidman ne peut donc pas compter sur le contraste de sa présence face aux autres. Elle fait bien mieux que cela : prosaïque et abstraite, tendre et statuaire, tout le temps captivante, retrouvant incidemment l'opacité de Deneuve chez Buñuel. Elle fait même oublier (n'était-ce pas le but ?) l'expérience formelle du film et permet à tout le monde, spectateur compris, de tenir la distance risquée des trois heures de turpitudes stylisées.
Zurban
Il manque à Dogville une vision du monde à la hauteur de sa vigueur formelle pour être une grande oeuvre.
L'Humanité
Ce surplus de réalité cruelle affiché à la façon des publicités Benetton n'est pas pour nous rassurer sur les mobiles latents d'une entreprise, certes ambitieuse, qu'on ne peut s'empêcher de trouver frelatée.