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iceman7582
Une comédie gentillette, mais sans plus. Pourtant le casting est vraiment alléchant et chacun joue bien, le scénario plaisant jusqu'au bout. Mais c'est trop lent dans l'ensemble, on s'ennuie par moment et c'est bien dommage.
Les acteurs sont irréprochables (même si j'ai du mal avec Isabelle Adjani) et c'est joliment filmé, mais une vision de la société d'un autre temps, des personnages tous imbuvables et une longueur excessive font que l'on a du mal à apprécier ce film...
Un très bon moment de cinéma : les acteurs, tous excellents, les décors, le déroulement à 100 à l'heure que je n'ai pas vu passer, le twist final qui donne envie de revoir le film. J'ai adoré ! et mention spéciale à Marine Vacht, qui rayonne et fait bénéficier tous les autres de sa lumière.
Film inspiré de moments vécus par le réalisateur ! C’est sûr, comparé à ma vie, celle de Nicolas Bedos est plus palpitante et mérite d’en faire un film.
Pour autant je ne l’envie pas.
Il a réuni une belle brochette d’acteurs (trices) pour mener à bien sa « Mascarade ».
Le procès semble être la colonne vertébrale de ce récit aux flash-back à tiroir.
Une colonne vertébrale discrète qui supporte un récit dense et fluide. Ce qui est une bonne note.
L’autre bonne note : la présence de Marine Vacth dont le jeu m’a paru mature et crédible.
Si la mise en scène n’a rien d’extraordinaire, il reste que « Mascarade » est un film de facture élégante.
Je n’ai pas trouvé le temps long car je me suis laissé emporté par cette intrigue qui … m’intriguait, même si je ne suis pas convaincu par la conclusion que j’ai trouvée limite confuse.
Cependant, ce ballet de dupes me laisse froid et me suis aperçu que ce petit monde entre-soi me laisse indifférent ; je me moque éperdument de leur vie.
Le monde que nous brosse Nicolas Bedos m’est antipathique. Il n’y a pas un seul personnage qui m’a séduit ou touché.
Encore moins, les scènes d’amour pratiquement habillées. Un détail me direz-vous.
Pas vraiment.
Nicolas Bedos n’est pas Paul Verhoeven et son actrice Marine Vacth n’est pas Sharon Stone. Par conséquent, « Mascarade » n’est pas « Basic instinct ».
Normal me direz-vous, Nicolas Bedos n’a jamais voulu faire du « Basic Instinct » et « Mascarade » ne veut en aucun cas faire référence à « Basic Instinct ».
Allez savoir pourquoi, moi, il me vient en tête « Basic Instinct » !
Pour la qualité des lieux, de la photo, d’une intrigue hitchcockienne, son glamour glacé ?
Il me semble que l’atmosphère du film aurait mérité des scènes plus crues pour se conjuguer aux dialogues féroces et cash du film. Selon moi, l’ambiance se prêtait à une dimension érotique. La nudité fulgurante ou suggestive de Marine Vacth dans « Mascarade » aurait été justifiée si les scènes de sexe étaient déshabillées. Or, les scènes de sexe étaient vêtues !
Mon cheval de bataille dans un film, c’est la direction d’acteurs.
Autre maniaquerie : les scènes d’amour.
Je n’ai jamais cru aux films (et aux séries) où les scènes de sexe sont habillées. Soit la caméra serre le plan, soit on ne montre rien du tout et ça ne me dérange pas dans les deux cas.
Mais la protagoniste qui sort du lit avec un drap autour du corps après une nuit d’amour, ou garde son soutien-gorge dans ses ébats sexuels, je n’y ai jamais cru.
Et là, Nicolas Bedos nous gratifie de quelques plans de peignoir où on devine la poitrine de Margot, nudité suggestive qui pour le coup me paraît gratuite comme la scène d’introduction où elle sort poitrine dénudée de la salle de bain.
Bref, cette pudeur des scènes d’amour contraste avec la férocité des dialogues.
Enfin, j’oserai écrire que le propos final de Nicolas Bedos serait un hommage à la femme, à toutes les femmes de tous âges qui veulent s’affranchir de la domination parfois violente des hommes.
Margot n’a qu’un désir : vivre seule avec ses enfants sans homme pour l’entourer.
« Mascarade » serait-il un film féministe ?
Porterait-il une revendication féministe ?
Une leçon ? Le pouvoir aux femmes de disposer de leur corps et par voie de conséquence de disposer de l’homme… à leur convenance…
Pour autant je ne l’envie pas.
Il a réuni une belle brochette d’acteurs (trices) pour mener à bien sa « Mascarade ».
Le procès semble être la colonne vertébrale de ce récit aux flash-back à tiroir.
Une colonne vertébrale discrète qui supporte un récit dense et fluide. Ce qui est une bonne note.
L’autre bonne note : la présence de Marine Vacth dont le jeu m’a paru mature et crédible.
Si la mise en scène n’a rien d’extraordinaire, il reste que « Mascarade » est un film de facture élégante.
Je n’ai pas trouvé le temps long car je me suis laissé emporté par cette intrigue qui … m’intriguait, même si je ne suis pas convaincu par la conclusion que j’ai trouvée limite confuse.
Cependant, ce ballet de dupes me laisse froid et me suis aperçu que ce petit monde entre-soi me laisse indifférent ; je me moque éperdument de leur vie.
Le monde que nous brosse Nicolas Bedos m’est antipathique. Il n’y a pas un seul personnage qui m’a séduit ou touché.
Encore moins, les scènes d’amour pratiquement habillées. Un détail me direz-vous.
Pas vraiment.
Nicolas Bedos n’est pas Paul Verhoeven et son actrice Marine Vacth n’est pas Sharon Stone. Par conséquent, « Mascarade » n’est pas « Basic instinct ».
Normal me direz-vous, Nicolas Bedos n’a jamais voulu faire du « Basic Instinct » et « Mascarade » ne veut en aucun cas faire référence à « Basic Instinct ».
Allez savoir pourquoi, moi, il me vient en tête « Basic Instinct » !
Pour la qualité des lieux, de la photo, d’une intrigue hitchcockienne, son glamour glacé ?
Il me semble que l’atmosphère du film aurait mérité des scènes plus crues pour se conjuguer aux dialogues féroces et cash du film. Selon moi, l’ambiance se prêtait à une dimension érotique. La nudité fulgurante ou suggestive de Marine Vacth dans « Mascarade » aurait été justifiée si les scènes de sexe étaient déshabillées. Or, les scènes de sexe étaient vêtues !
Mon cheval de bataille dans un film, c’est la direction d’acteurs.
Autre maniaquerie : les scènes d’amour.
Je n’ai jamais cru aux films (et aux séries) où les scènes de sexe sont habillées. Soit la caméra serre le plan, soit on ne montre rien du tout et ça ne me dérange pas dans les deux cas.
Mais la protagoniste qui sort du lit avec un drap autour du corps après une nuit d’amour, ou garde son soutien-gorge dans ses ébats sexuels, je n’y ai jamais cru.
Et là, Nicolas Bedos nous gratifie de quelques plans de peignoir où on devine la poitrine de Margot, nudité suggestive qui pour le coup me paraît gratuite comme la scène d’introduction où elle sort poitrine dénudée de la salle de bain.
Bref, cette pudeur des scènes d’amour contraste avec la férocité des dialogues.
Enfin, j’oserai écrire que le propos final de Nicolas Bedos serait un hommage à la femme, à toutes les femmes de tous âges qui veulent s’affranchir de la domination parfois violente des hommes.
Margot n’a qu’un désir : vivre seule avec ses enfants sans homme pour l’entourer.
« Mascarade » serait-il un film féministe ?
Porterait-il une revendication féministe ?
Une leçon ? Le pouvoir aux femmes de disposer de leur corps et par voie de conséquence de disposer de l’homme… à leur convenance…
Mascarade est une belle découverte. Je ne suis pas forcément fan de la structure narrative du film, qui met énormément de temps à démarrer à mon humble avis et dans lequel j'ai trouvé un petit ventre mou. Mais le dénouement, les retournements de situation et cette peinture de la bourgeoisie de la Côte d'Azur, qui s'ennuie tellement à s'en créer des problèmes artificiels, est assez passionnante. Les acteurs sont excellents et l'ambiance générale du film également. Un film qui se laisse découvrir avec plaisir, je recommande !
Des acteurs qui jouent avec brio, une histoire malsaine, Nicolas Bedos signe une comédie dramatique étonnante qui ne cesse de tenir le spectateur en haleine. L'immoralité de ce film peut en déranger plus d'un mais elle met scène de manière assumée la cruauté humaine. Certains passages sont parfois caricaturaux cependant le film demeure très bon. L'enquête reste un peu trop balayé de façon grossière enlevant du réalisme à l'œuvre.
Le film est à la hauteur du talent de Bedos: Très Médiocre
Un scenario tiré par les cheveux, les personnages sont d'une caricature à la limite de la vulgarité…
Ce qui sauve le film c'est un super décors et une distribution de grand talent (Bedos peut les remercier...)
Un scenario tiré par les cheveux, les personnages sont d'une caricature à la limite de la vulgarité…
Ce qui sauve le film c'est un super décors et une distribution de grand talent (Bedos peut les remercier...)
L'affiche résume assez bien ce "Mascarade" : au-dessus, 2 personnes que le poids de l'âge et de l'argent ont flétrit ; et en dessous 2 jeunes gens à la moralité malmenée par la vie qui tentent d'accéder aux privilèges de ceux qui ne l'ont pas forcément mérité. Ce film reflète donc un affrontement générationnel et de classe qui est assez bien retranscrit dans ce qui est plutôt un thriller dramatique. Pierre Niney, Marine Vacth et surtout Isabelle Adjani portent le récit, secondé par de bons seconds rôles, une belle photographie et les superbes paysages de la Côte d'Azur. On regrettera certaines longueurs, incohérences et complications scénaristiques qui alourdissent inutilement le film. Cela reste néanmoins très bien pour une œuvre française.
Il m’arrive très rarement d’accélérer le défilement or « Mascarade » s’y prête :
scènes attendues, par exemple au restaurant la querelle de couple pour s’affranchir de la note , intrigue et rebondissement prévisibles, dont l’épilogue…Surf sur Mee too…
Dommage car le cadre et le casting caracolent sur les crêtes !
scènes attendues, par exemple au restaurant la querelle de couple pour s’affranchir de la note , intrigue et rebondissement prévisibles, dont l’épilogue…Surf sur Mee too…
Dommage car le cadre et le casting caracolent sur les crêtes !
Film interminable, vulgaire et caricatural (oh les méchants riches, oh le gentil Pierre Niney sans le sou) - rien n'est crédible, et le réaliteur ne trouve aucun autre moyen que de multiplier les scènes de sexe pour sortir les spectateurs de l'ennui
Tous les personnages sont minables, à tel point que cela rend le film pénible à regarder
Tous les personnages sont minables, à tel point que cela rend le film pénible à regarder
Les relations homme/femme dans ce film sont très Française ainsi que les relations entre classe, entre riches et/ou célébrés... normales c'est un film français... Nous avons aimé l'enchevêtrement des personnalités qui ont tous selon l'expression américaine :" a chip on their shoulder ".. Pas trouvé de longueur, ni que les retours en arrière étaient difficiles à suivre... on comprend la fin Si l'on se souvient de certains indices donnés par les personnages. Bref vaut la peine..
Un délice ! L'enchevêtrement des multiples thèmes abordés est extrêmement bien réalisé. Entre amour, passion, trahison, arnaque et j'en passe, on est très captivé par la trame et malgré quelques scènes un peu longues il difficile de ne pas rester focus sur l'enjeu de l'histoire.
Le jeu d'acteur en général quant à lui est juste sublime. Pierre Niney est vraiment un ovni dans le cinéma français moderne.
C'est définitivement un film que je vais revoir en soirée, accompagné ou même tout seul !
Le jeu d'acteur en général quant à lui est juste sublime. Pierre Niney est vraiment un ovni dans le cinéma français moderne.
C'est définitivement un film que je vais revoir en soirée, accompagné ou même tout seul !
Nul Et confus, å eviter, dans un decor des riches, sans aporter "sunny French Rivera for shady people" nul
Charges pachydermique et convenue contre les riches de la côte d'azur. Bedos découvre que l'oisiveté, qui caractérise la jet-set, est la mère de tout les vices, tout en faisant semblant d'ignorer que le monde du cinéma et le show biz en font partie intégrante puisqu'ils en sont les éléments les plus emblématiques. Pour achever l'ignominie, le seul personnage à peu près honnête : un patron de l'immobilier honnête (rassurez vous, ça n'existe pas dans la vrai vie) qui refuse de voler ses clients et qui finira par se corrompre pour répondre à l'appel de sa queue. Bénéficiant d'un casting superlatif (Isabelle Adjani, Pierre Niney, François Cluzet, Marine Vacth plus volcanique que jamais, Emmanuelle Devos, Charles Berling et la géniale Laura Morante) et d'une pellicule travaillée de Laurent Tanguy, l'ensemble peine à convaincre, coincé dans un récit où alterne vulgarité, redondance pesante et rebondissements forcés. Le rythme semble décousu et à, force de trop en mettre (c'est assez vulgaire comme jeu de mot, mais ça convient à ce film), indigeste.
Un film qui laisse un sentiment mitigé…
La mise en scène est assez réussie et le film se regarde avec intérêt et sans ennui, mais malheureusement la fin est plutôt décevante et tirée par les cheveux,.
Du coup, au final ca se regarde mais ce n’est pas au niveau des précédents films de nicolas bedos ´mr et mme adelman’ et ´la belle époque’ qui m’avaient beaucoup plu.
La mise en scène est assez réussie et le film se regarde avec intérêt et sans ennui, mais malheureusement la fin est plutôt décevante et tirée par les cheveux,.
Du coup, au final ca se regarde mais ce n’est pas au niveau des précédents films de nicolas bedos ´mr et mme adelman’ et ´la belle époque’ qui m’avaient beaucoup plu.
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