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Votre avis sur Mascarade ?
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Clairement pas le genre de film que j'apprécie d'habitude. Tout du moins j'ai été pris dans l'histoire et ai passé un bon moment, le film étant très bien réalisé.
Un film magnifique, entre folie des hommes, pouvoir, argent et vengeance. Bedos nous propose de voir l'envers du décors à travers un duo machiavélique et prêt à tout pour extorquer et vivre de l'argent des riches. Niney admirable, le rôle d'Adjani aurait pu être donner à une autre femme, malheureusement cette actrice à fait son temps. La manigance, les mensonges et l'amour donne un cocktail explosif à ce film. Bravo !
De Nicolas Bedos (2022).
Le film se voudrait en satire sociale dénonçant l'hypocrisie et le cynisme de la bourgoisie et de la haute société. En voulant dénoncer les excès, les vices et les bassesses de cette fange de la société qui de plus se veut et s'estime supérieure !
Certes certaines scènes et situations sont éloquentes. Mais rapidement ça tourne en rond voire à vide. Et malgré un casting de rêve l film peine dans sa démonstration de dénonciation.
Pierre Niney et surtout Isabelle Adjani sont excellents tout comme François Cluzet.
Le film se voudrait en satire sociale dénonçant l'hypocrisie et le cynisme de la bourgoisie et de la haute société. En voulant dénoncer les excès, les vices et les bassesses de cette fange de la société qui de plus se veut et s'estime supérieure !
Certes certaines scènes et situations sont éloquentes. Mais rapidement ça tourne en rond voire à vide. Et malgré un casting de rêve l film peine dans sa démonstration de dénonciation.
Pierre Niney et surtout Isabelle Adjani sont excellents tout comme François Cluzet.
Pas à la hauteur de sa promotion.
Déception. Longueur du film.
Pierre Ninet est le seul à ressortir du lot.
Déception. Longueur du film.
Pierre Ninet est le seul à ressortir du lot.
Comment peut-on mettre 0,5 à ce film sinon d avoir une détestation totale de Nicolas Bedos pour d autres raisons que son métier de scénariste, réalisateur, dialoguiste de cinéma...Franchement, franchement !
Et que dire de la note moyenne qui ressort de la presse...
Je suis à l aise pour en parler par ma neutralité. J ai bien aimé "M er Mme Adelman", j ai trouvé vraiment pas terrible "la belle époque" pourtant encensé.
"Mascarade" est un bon film comme on aimerait en voir plus souvent.
Une bonne dose de suspens dans de beaux décors avec des acteurs et actrices tous bons (ce qui n est pas toujours le cas pour certains) et bien dirigés. Juste les ambiguïtés qu il faut par rapport aux relations hommes femmes, quelques pointes d humour et une phrase culte sur les "très riches...les riches...et les autres..."
Un seul bémol : Nicolas Bedos aurait pu réduire un peu la longueur de son film en supprimant quelques scènes de sexe qui n apportent pas grand-chose à l intrigue.
Et que dire de la note moyenne qui ressort de la presse...
Je suis à l aise pour en parler par ma neutralité. J ai bien aimé "M er Mme Adelman", j ai trouvé vraiment pas terrible "la belle époque" pourtant encensé.
"Mascarade" est un bon film comme on aimerait en voir plus souvent.
Une bonne dose de suspens dans de beaux décors avec des acteurs et actrices tous bons (ce qui n est pas toujours le cas pour certains) et bien dirigés. Juste les ambiguïtés qu il faut par rapport aux relations hommes femmes, quelques pointes d humour et une phrase culte sur les "très riches...les riches...et les autres..."
Un seul bémol : Nicolas Bedos aurait pu réduire un peu la longueur de son film en supprimant quelques scènes de sexe qui n apportent pas grand-chose à l intrigue.
Je n’ai pas aimé ce film trop long qui m’a donné envie de vomir. Les personnages sont antipathiques, le scénario est dominé par le sexe, l'argent et le pouvoir ; le récit est interminable, les personnages sont imbuvables et la vulgarité de bout en bout, ennuyeux au possible ! Je regrettais de ne pas pouvoir appuyer sur le bouton « avance rapide » !
Gênant, embarrassant. Bedos nous prouve tout simplement qu'il n'est pas auteur et qu'une des seules choses qui ne s'achète pas est sûrement le génie.
Le film repose en partie sur un procédé: feindre la complexité afin de mieux paraitre complexe, subtil et intelligent.
Celui-ci se perd tout simplement dans ses rebondissements incohérents sans le moindre sens, des transitions plus que douteuses et une narration décousue frôlant la vacuité.
Une mise en abyme dans une mise en abyme permettant tout simplement à Bedos d'extérioriser ses frustrations, son mal être et ses peines dans un abime de narcississime.
Un théâtre d'ombre à demi-éclairé projetant sur nos écrans son propre sexe afin de nous biffler tant on a l'impression qu'il se fout de nous.Scénario mal ficelé et non abouti, le réalisateur se perd lui-même dans son propre film...
On ressort avec un certain goût amer tout en restant sur notre faim spoiler: (tant la fin est grotesque)
. L'acting est à l'image du scénario, surjoué et parfois creux.
Dommage tant le potentiel était grand, l'emballage était attrayant...
Le film repose en partie sur un procédé: feindre la complexité afin de mieux paraitre complexe, subtil et intelligent.
Celui-ci se perd tout simplement dans ses rebondissements incohérents sans le moindre sens, des transitions plus que douteuses et une narration décousue frôlant la vacuité.
Une mise en abyme dans une mise en abyme permettant tout simplement à Bedos d'extérioriser ses frustrations, son mal être et ses peines dans un abime de narcississime.
Un théâtre d'ombre à demi-éclairé projetant sur nos écrans son propre sexe afin de nous biffler tant on a l'impression qu'il se fout de nous.Scénario mal ficelé et non abouti, le réalisateur se perd lui-même dans son propre film...
On ressort avec un certain goût amer tout en restant sur notre faim spoiler: (tant la fin est grotesque)
. L'acting est à l'image du scénario, surjoué et parfois creux.
Dommage tant le potentiel était grand, l'emballage était attrayant...
Jouer la mascarade implique de créer du lien, une relation, de s'attacher émotionnellement... Ou pas ! Les personnages apprennent à se connaître, se comprendre parfois. Et s'il était possible de pardonner celui ou celle qui nous a trompé ? Car celui qui joue à la mascarade n'a pas pris ce chemin par hasard... Tout comme être victime, peut relever d'un jeu de dupes envers soi-même.
Il reste encore un quart d'heure. Si j'avais été seul ça ferait déjà 1h30 que je serais dehors. Surjoué, long et chiant
Grandiose ! Nicolas Bedos nous surprendera toujours par ses film qui montent en puissance tout en tenant en haleine ses spectateurs. Le casting est puissant, les décors sont grands, immense et splendides. La manipulation, la trahison,... sont traités de manière autant suptiles que concrètes ce qui rend la réalisation fortement originale. J'adore et j'ai fort hâte de découvrir le prochain film de Nicolas Bedos que nous avons ou suivre via les réseaux et qui semble fou. Je pense que nous serons toujours surpris par ce réalisateur et de façon très positive.
Magnifique film français de Nicolas Bedos, on ressort de la séance avec une grande remise en question sur la valeur de l'amour de l'argent et sur les trahisons. Ce film met parfaitement en avant les personnages qui sont juste époustouflants . Je recommande a 100%. Merci pour ce moment.
Merci à Nicolas Bedos et à toute l'équipe d'acteurs remarquables, qui nous ont permis de passer un excellent moment en leur compagnie. Durant le film, On ne s'ennuie pas une seule seconde, qui mieux qu' Isabelle ADJANI pouvait tenir ce rôle, d'actrice complètement déchantée, elle crève l'écran par sa beauté, et son jeu d'actrice. Pierre NINEY usant de son charme, et, dont le talent de comédien incarne à la perfection ce rôle de séducteur arnaqueur follement amoureux de la délicieuse et excellente actrice Marine VACTH, prête à tous les sacrifices pour sortir de son environnement miséreux, y compris vendre ses charmes à des messieurs plus âgés, crédules, en utilisant tous les artifices et les mensonges possibles. Machiavéliques tous les 2 pour séduire lui, Isabelle ADJANI, et elle, François CLUSET, amoureux sur le retour, qui finit par se laisser séduire par une très jolie jeune femme de l'âge de sa fille. A VOIR sans retenue....Les autres acteurs sont aussi de très belle facture.
très bon film avec des rebondissements inattendus
excellents acteurs qui jouent des double et triple jeux avec Pierre Niney , toujours genial
beauté des images et des decors;
un style Chabrol en plus lumineux
allez y
excellents acteurs qui jouent des double et triple jeux avec Pierre Niney , toujours genial
beauté des images et des decors;
un style Chabrol en plus lumineux
allez y
Chic et toc, à l’image de ce que le réalisateur prétend dénoncer : personnages factices, monde de faux semblants au décor de carte postale. Difficile d’aimer un film dont aucun personnage n’échappe à la médiocrité. En outre, beaucoup trop long pour un scénario minimaliste et redondant. Des scènes d’une vulgarité inutile. Marine Vatch est excellente et on aimerait la revoir dans un film avec davantage de profondeur.
Avec un tel titre, on crée de l’envie, surtout quand on a apprécié La Belle Epoque, le dernier film de Nicolas Bedos. Les acteurs, bien choisis, participent à cette envie.
Mais il en va du cinéma comme de la musique classique. La différence entre un compositeur de génie et un compositeur laborieux, entre Mozart et Wagner, entre Kubrick et un apprenti réalisateur, est celle qui existe entre du papier à musique et du papier brouillon. Bedos entasse les scènes, les rajoutent les unes aux autres avec des effets de style qui souvent ne prennent pas, comme une mayonnaise qui n'aurait pas monté. Bedos veut faire du Sans Filtre mais la différence de classe dans l’approche, dans la finesse de réalisation, dans l’humour, dans la dimension allégorique est patente.
Les acteurs sont pourtant biens, notamment Marie Vacth, mais je les trouve au final un peu perdus dans cet opéra mal structuré, mal ficelé et sans âme. Cluzet notamment ne donne pas l’impression d’y croire plus que ça. Il est meilleur quand il tourne avec la bande à Canet. Et puis Daniel Auteuil aurait apporté plus d’épaisseur à ce rôle. En revanche, j’ai beaucoup aimé Isabelle Adjani, très fine et juste dans son interprétation. On sent qu’elle a pris plaisir à jouer ce rôle qui nécessite une bonne dose d’autodérision et donc d’intelligence.
Le dénouement est décevant, plat et bâclé. C’est bien dommage car il y a des moments parfois magiques, souvent, comme par hasard, en présence d’Adjani, à la fois pathétique et resplendissante.
Mais il en va du cinéma comme de la musique classique. La différence entre un compositeur de génie et un compositeur laborieux, entre Mozart et Wagner, entre Kubrick et un apprenti réalisateur, est celle qui existe entre du papier à musique et du papier brouillon. Bedos entasse les scènes, les rajoutent les unes aux autres avec des effets de style qui souvent ne prennent pas, comme une mayonnaise qui n'aurait pas monté. Bedos veut faire du Sans Filtre mais la différence de classe dans l’approche, dans la finesse de réalisation, dans l’humour, dans la dimension allégorique est patente.
Les acteurs sont pourtant biens, notamment Marie Vacth, mais je les trouve au final un peu perdus dans cet opéra mal structuré, mal ficelé et sans âme. Cluzet notamment ne donne pas l’impression d’y croire plus que ça. Il est meilleur quand il tourne avec la bande à Canet. Et puis Daniel Auteuil aurait apporté plus d’épaisseur à ce rôle. En revanche, j’ai beaucoup aimé Isabelle Adjani, très fine et juste dans son interprétation. On sent qu’elle a pris plaisir à jouer ce rôle qui nécessite une bonne dose d’autodérision et donc d’intelligence.
Le dénouement est décevant, plat et bâclé. C’est bien dommage car il y a des moments parfois magiques, souvent, comme par hasard, en présence d’Adjani, à la fois pathétique et resplendissante.
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