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    Mascarade
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    3,5
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    Belghali P.
    Belghali P.

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 novembre 2022
    Pathétique et vulgaire
    C'est peu près tout ce que l'on peut , seule Isabelle Adjani tient son rôle , dans cet te désillusion, dans cette Nicolas Bedos Story( qui n'intéresse que lui,), heureux Guy Bedos de ne pas avoir vu ce naufrage , lui,qui était si subtile !
    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2022
    Pour son troisième long métrage, Nicolas Bedos pose ses valises sur la "Riviera". La qualité d'écriture est toujours présente avec un duo Marine Vacth/Pierre Niney qui va essayer d'intégrer le gratin de la bourgeoisie azuréenne par des moyens discutables. Le film est souvent confus, un peu en dessous des deux premiers, mais le cinéaste et écrivain raté (comme il l'avoue lui-même) parvient néanmoins à retranscrire l'aspect superficiel de ce monde du paraître, notamment à travers le personnage d'Isabelle Adjani. IL peut se dégager un certain malaise devant ce gigolo et cette mante religieuse attirant les hommes pour faire partie du gotha, mais cette oeuvre, bien que superficielle, montre comment le statut social ouvre les portes d'une reconnaissance, aussi futile soit-elle. Marine Vacth, quant à elle illumine le film par son jeu et sa beauté.
    Ismael
    Ismael

    81 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 novembre 2022
    Ces derniers jours, le nouveau film de Nicolas Bedos a tellement été descendu en flèche par nos amis les critiques pro, que celà en suscitait presque de la compassion, ou du moins de la curiosité. C'est même, à vrai dire, la raison qui m'a poussé à le voir, son synopsis lui n'ayant rien de spécialement original ou d'alléchant. Verdict, si Mascarade est effectivement un mauvais film ce n'est pas tellement à mon sens pour les raisons mises en avant dans les médias. Sa "méchanceté" et sa "vulgarité", maintes fois montrées du doigt ne m'ont pas franchement sautées aux yeux. Et après tout être méchant et vulgaire celà peut constituer un style cinématographique comme un autre.
    Non le problème du film c'est surtout qu'il est trés long et trés...ennuyeux. Mais soyons plus précis et plus explicite.

    A une époque ou un nombre sans cesse plus important de films -notamment français- se donnent pour objectif de refléter une certaine réalité sociale, on navigue ici totalement à contre-courant de la tendance avec au contraire l'impression d'être complètement en dehors du réel. Ou du moins du réel tel que que 99% d'entre nous, le connaissent .
    Dépourvu de cet ancrage dans le quotidien des gens, Mascarade est donc en vérité un film de pur cinéma, une sorte d' "hommage au film noir", comme on en a déjà vu des centaines d'autres. Mais bon pourquoi pas après tout.
    Le souci c'est que dans son hommage, Nicolas Bedos, ne semble vraiment pas s'être foulé, malgré les moyens importants (et pas seulement humains) qu'il avait à sa disposition. Ce qu'on voit à l'écran pendant 2h15 ce sont les mêmes mondanités sur la Côte d'Azur, les mêmes histoires de vamps, d'escroqueries, d'adultère et de chantage qu'on a déjà vus (ou lus ou entendus) mille fois ailleurs et en mieux. Le tout qui se termine évidemment en règlement de comptes sanglant. Nicolas Bedos ne privilégie aucun angle, aucun ton particulier dans son récit et semble au contraire prendre plaisir à patauger dans les longueurs et les clichés tout en faisant durer son film le plus longtemps possible. Au final, on a l'impression d'être quelque-part entre Hitchcock et Santa Barbara C'est décousu, (volontairement) désordonné, désinvolte et surtout interminable, le tout semblant être étiré à l’extrême.

    Mascarade souffre aussi, fait assez rare pour un film français, d'un léger problème d'interprétation. Si François Cluzet et Marine Vacth s'en sortent bien, Isabelle Adjani semble bien fade dans son rôle fort caricatural. Mais le vrai problème c'est le personnage masculin principal et son interprète Pierre Niney. Autant ce dernier avait été excellent il n'y a pas si longtemps en lobbyiste sans scrupules dans le film Goliath. Autant il n'est pas crédible en aventurier arnaqueur. Il a quelque-chose de trop raffiné, de trop éduqué, je ne sais pas exactement mais ça sent l'erreur de casting.

    Bref si on résume, Mascarade n'a absolument rien du cinéma outrancier ou scandaleux, que certains médias dénoncent. C'est juste un petit film (paradoxalement très long) assez mal fichu et peu inspiré, comme il en sort toutes les semaines. Seuls les noms prestigieux sur son affiche font qu'on s’intéresse à lui, alors que porté par des inconnus il serait déjà parti par la trappe aux oubliettes.
    Claude WOLFS
    Claude WOLFS

    45 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 novembre 2022
    Un film de Bobo fait par un bobo qui est censé dénoncé le cynisme des ultras riches de la côte d'azur, au travers l'histoire d'un couple d'arnaqueurs (Ou pseudo couple), couple de gigolo spoliant l'argent de ces désœuvrés de la vie à travers des sentiments factuels et du sexe. La cupidité annonçant les dégâts perso à venir, le cynisme roi, des scènes de sexe longues, prétentieuses et ennuyeuses a souhait....bref pas grand-chose pour nous retenir de partir avant la fin. Même Mme Adjani en fait de trop dans son rôle d'actrice au passé ...passé dans les oubliettes.... tout comme les autres membres de ce quatuor perdu dans ce scenario brouillon . Apres le ratage d'OSS voilà le deuxième de suite....bientôt un troisième????...si vous avez du temps à perdre.
    Herve B.
    Herve B.

    14 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2022
    Pas mal un peu trop de scènes de cul le début est lent et lourd par contre les acteurs sont top les images de Nice très belles
    Armandy M.
    Armandy M.

    9 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 octobre 2022
    Je vais commencer par vous dire que je déteste Nicolas Bedos ! Ne me demandez pas pourquoi j'ai oublié , mais je ne l'aime pas !
    J'ai donc été voir son film en avant première avec l'envie de ne pas l'aimer !

    Le problème c'est que j'ai adoré le film , bien filmé , dialogue intéressant , jeux d'acteur incroyable !!!
    Alors une seule chose à vous dire : Foncez voir ce film c'est plus que bon !

    Je n'aime toujours pas Bedos , mais c'est un putain de bon réalisateur !!!
    Encore un film comme cela et je vais devoir changer d'avis sur lui
    Emanuel D.
    Emanuel D.

    3 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 novembre 2022
    quelle daube ! c'est vraiment pas terrible ! et surtout c'est d'une longueur inutile et c'est écrit avec les pieds. À éviter..
    Brig35
    Brig35

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 novembre 2022
    Un casting de qualité mais les acteurs surjouent leur rôle...çà en devient rasoir. C'est brouillon et très long, très très long, excessivement long...à voir tous les téléphones s'allumer et s'éteindre, je n'étais pas la seule à attendre avec impatience la fin du film.
    Critique Facile
    Critique Facile

    94 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2022
    https://leschroniquesdecliffhanger.com/2022/11/03/mascarade-critique/

    Passions, crimes, trahisons… Après Monsieur et Mme Adelman et La Belle Époque, Nicolas Bedos tourne en dérision le monde cruel de l’argent roi et nous livre une nouvelle fresque sentimentale. L’envie de faire ce film vient « de mes cauchemars dans mes rapports aux autres » selon son créateur, Nicolas Bedos. S’il existait comme un incontestable vent romanesque poétique dans Monsieur et Madame Adelman (2016) et La belle époque (2019), le sujet attaqué par le cinéaste cette fois ci sur le papier, prête moins à la rêverie nostalgique, à l’échappée mélancolique.

    La façon de filmer l’amour et le temps de Nicolas Bedos est dans Mascarade toute aussi vertigineuse que dans ses deux premiers films, avec cette caméra tournoyante qui virevolte de plus belle. Il est comme insolent de talent et il y a quelque chose qui ressemble de plus en plus à une pure patte Nicolas Bedos, un regard acerbe mais récréatif.

    Mascarade est ne invitation réflexive totalement contemporaine, pour un cinéaste qui s’il n’aime pas son époque, la dissèque avec jubilation un coup au délicat scalpel, puis dans la minute suivante à la tronçonneuse qui tache. Mascarade, c’est très puissant esthétiquement, il existe comme une couleur, Nicolas Bedos en met partout, avec un enchainement endiablé de vignettes, parfois toutes aussi délirantes les unes que les autres, un foisonnement foutraque et intense.

    On rit beaucoup dans Mascarade, car les répliques sont cinglantes, c’est une folie enivrante, avec comme une forme de comique haletant. On est comme pris à la gorge, mais c’est finalement une caresse. Car ce filmeur de l’amour à tous les temps, mixe les genres avec délice pour faire passer son message d’universalité de la passion.

    le réalisateur fait bruler la bobine d’un esthétisme de l’image et du verbe. Ça va vite et on ne s’ennuie jamais. Nicolas Bedos nous refile sa peur de l’ennui. Ça rebondit, change de décennie, ça filme à 200 à l’heure puis ça ralentit, mais ce n’est que du cinéma donc tout va bien.

    Au final, Mascarade est une folle farandole où un cinéaste irrévérencieux avec ses contemporains leur déclare pourtant un amour vachard, qui semble réciproque tant la grande salle de cinéma était quasi pleine et clairement conquise. Il n’y a plus qu’à se laisser séduire, ça tombe bien c’est l’objet du film.
    tisma
    tisma

    292 abonnés 1 968 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2022
    Une comédie, un thriller, un drame rondement mené ? En tout cas un divertissement qui joue de l'apparence, du paraître, pour mener des coups bas, des manipulations. Une jolie fable bien menée avec de belles mises en scènes et des acteurs convaincants !
    REINE LC
    REINE LC

    6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 octobre 2022
    Vu hier soir en avant-première. Excellent film. Quel rythme ! bon scénario original, une brochette d'acteurs savoureux qui nous emmènent dans une mascarade réjouissante.
    Nathalie C.
    Nathalie C.

    4 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    Un vrai bon film, comme on aimerait en voir plus souvent. Bravo Nicolas Bedos, dont j'étais déjà une vraie fan, pour ce troisième film très réussi. Pierre Niney, Marina Vacth, Isabelle Adjani, François Cluzet et les autres, comme dirait Sautet... sont fantastiques de justesse, de drôlerie et de beauté. Tout est beau dans ce film, la mer, le soleil, Nice, la côte d'azur ! Et le scénario étonnant et envoûtant. Que dire de plus ??? un excellent moment et une furieuse envie de retourner le voir une seconde fois (par peur d'avoir manqué un petit quelque chose au milieu de toute cette agitation...)
    Michel06
    Michel06

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 octobre 2022
    J’ai eu de la chance de visionner deux fois Mascarade et cela avec beaucoup d’enthousiasme, ce film tout en subtilité partage drame, humour, action. Les acteurs sont tous au top, mais je suis vraiment impressionné par la prestation d’Isabelle Adjani.
    (Film en avant première de Nice Festival CinéRoman octobre 2022)
    Bernard F
    Bernard F

    26 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 novembre 2022
    Trop long, trop haché et parfois, on ne sait plus trop où on en est tellement il y a tous ces petits flashs back. Adjani égale à elle-même dans le rôle d'une artiste exubérante sur le retour. Mais cela traîne en longueur. Le film aurait pu raconter la même chose avec une demi-heure de moins, si bien qu'on finit par se lasser et on a hâte que cela se termine. Un film qu'on ne va pas voir deux fois.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2022
    Se retrouve comme fil d’Ariane dans le petit cinéma de Nicolas Bedos la thématique du faux-semblant et de l’imposture, appliquée dans Mascarade, de loin son meilleur film, aux codes du polar et de la comédie de mœurs. Soit une défilade de personnages qui, chacun à sa manière, remettent en question leur identité ou jouent avec cette dernière de manière consciente ou non, voulue ou non : un gigolo s’improvise auteur et devient l’amant d’une belle et farouche séductrice, jusqu’à se substituer au père absent ; une actrice cultive sa gloire passée qu’elle échoue en partie à actualiser – preuve à l’appui, personne ne semble la reconnaître lorsqu’elle s’aventure dehors – et s’entoure d’écrans et d’images susceptibles de la rajeunir le temps d’une projection ; un promoteur immobilier marié tombe sous le charme d’une Anglaise expatriée en France et redécouvre la jouissance d’aimer, etc. Tous, parce qu’ils sont acteurs et qu’ils essaient de maîtriser le désir de l’autre pour parvenir à leurs fins, se font manipulateurs et manipulés, selon la dynamique arroseur-arrosé bien connue.

    La clausule pousse ce jeu dans ses retranchements en additionnant les retournements de situation tout à la fois grotesques, maladroits et faciles, à la limite de la misogynie quand il s’agit de peindre la femme fatale et ses regards brûlants en direction de son associée, suivant la confusion que l’indépendance est synonyme, pour la gent féminine, d’exploitation du masculin. En dépit de cette provocation polémique qui oppose une fois encore Bedos à son temps – puisque Margot est à l’origine des coups reçus, qu’elle joue avec l’image de la femme battue, exigeant de son amant une violence qu’il lui refuse pourtant –, le long métrage surprend par une densité narrative toujours compréhensible, fort de personnages bien écrits et bien interprétés. Nicolas Bedos aime ses actrices et ses acteurs, les filme magnifiquement, et compose une œuvre dans laquelle la mise en abyme est constante : il suffit de voir le montage parallèle entre les demandes officielles ou les repas en famille tantôt strictement théâtraux (devant public) tantôt théâtraux par l’interprétation de rôles définis (dans l’espace privé), pour saisir l’envie du réalisateur d’incarner à l’image la duplicité thématique. Le plan sur l’actrice se regardant dans la glace et y percevant, comme par enchantement, une salle comble n’est pas sans rappeler l’obsession du paraître qui anime la marquise de Merteuil dans le roman de Laclos ou, plus précisément encore, dans l’adaptation cinématographique qu’en a faite Stephen Frears (Dangerous Liaisons, 1988).

    À la différence près que la déchéance publique mute ici en déchéance privée, inscrite dans l’espace de l’appartement ou de la maison qui reflètent des intériorités meurtries, spectrales et absentes à elles-mêmes : la villa de Martha ressemble à un manoir hanté que n’éclaire aucune lumière naturelle, le studio délabré dans lequel vivent Margot et sa fille révèlent l’état transitoire d’un duo mystérieux dont la vie est sujette à fictions, la maison bourgeoise de Simon évolue en appartement luxueux, ouvert aux corruptions d’abord refusées. Cette topographie symbolique se retrouve dans le cadre géographique : la Côte-d’Azur est choisie pour sa valeur de boule à facettes, de kaléidoscope réfléchissant des paraîtres dépourvus de vérité et de profondeur qui cachent, autant que possible, la très grande violence et verbale et physique. En cela, Mascarade va plus loin dans la noirceur tonale qui caractérise nombre d’œuvres européennes et américaines réalisées sous le soleil du Sud de la France telles que To Catch a Thief (Alfred Hitchcock, 1955), Bedtime Story (Ralph Levy, 1964) et ses réadaptations ultérieures (Dirty Rotten Scoundrels réalisé par Frank Oz en 1988 et The Hustle par Chris Addison en 2019), Mélodie en sous-sol (Henri Verneuil, 1963) ou encore Just a Gigolo (Olivier Baroux, 2019). À voir.
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