Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un suspense malin autour d’excellents interprètes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Cruelle et joyeusement iconoclaste, amorale et visuellement superbe, cette comédie de mœurs, qui n'épargne aucun de ses protagonistes, est filmée un peu comme la bande-annonce d'un film à venir : avec rythme, élégance et efficacité.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le syndicat d’initiative risque d’être catastrophé. Le cinéma français, lui, se frotte les mains. Et un auteur, un ! Ça faisait longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par La Rédaction
C'est drôle, vif, cruel, d'un cynisme absolu et doté d'un casting au top.
Marianne
par Natacha Polony
Mascarade n’est pas seulement un film au casting superbe, qui peut défiler sur les plateaux de télé pour la promotion. C’est un film pour les spectateurs. Un film dans lequel le plaisir évident qu’a Nicolas Bedos à réaliser, à filmer ces acteurs, cette lumière, ces plans-là plutôt que d’autres, se transmet à ceux qui suivent cette histoire d’escroquerie, d’amour passionnel, de petites mesquineries et de grandes destructions.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé 2 semaines
par C.C.
Un jeu d’acteurs convaincant pour un jeu de dupes convaincus.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Avec une patte stylée qui fait plaisir à voir et fort d’un carré d’as, Nicolas Bedos orchestre, en démiurge gentiment misanthrope, un brillant thriller.
Télé Loisirs
par Corinne Calmet
On se laisse emporter par ces personnages aussi pathétiques et cruels que touchants. Un jeu d'acteurs convaincants pour un jeu de dupes convaincues.
Voici
par La Rédaction
Un conte (im)moral aussi vénéneux qu'ensoleillé, avec un casting cinq étoiles.
Franceinfo Culture
par Anthony Jammot
Le dernier film de Nicolas Bedos met en scène une pléiade de stars dans une satire rythmée qui vient railler les frasques liées à l'argent et à la luxure de la région niçoise. Un cocktail aussi emballant que déconcertant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par F. F.
Film ambitieux, et trop long. Cette ambiance soigneusement pourrie sur la Côte d’Azur, où se croisent des personnages déplaisants – gigolo et actrice vieillissante, jeune arnaqueuse et bourgeois quinqua –, est réussie : personne n’est innocent, et c’est un joli bal des faux-culs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
D’abord projet de livre abandonné parce que son auteur se perdait, de son propre aveu, «dans les digressions »,Mascarade transformé en scénario pâtit de sa richesse narrative, même s’il parvient à ne pas perdre ses spectateurs en route.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Tout est trop. Aucun espoir pour l’espèce humaine dans cette comédie acerbe, lointaine cousine de la Palme d’or Sans filtre, avec en filigrane une inattendue guerre des sexes et des générations. On se surprend pourtant à suivre avec fascination les errements frénétiques d’un couple de survivants manipulateurs mais perdus pour l’humanité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Alors que ces histoires de jeunes gens prêts à satisfaire les désirs sexuels des puissants pour se vautrer dans le luxe paraissent dépassées, il y a quelque chose de l’ordre du mirage hollywoodien qui nous accroche.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Une mascarade retorse à souhait !
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Comédie sociale, à gauche toute, Mascarade tire les vieilles ficelles d’une situation mélodramatique usée (séduire pour piéger), dans une forme théâtrale au grotesque féroce, hélas distrait par une histoire dans l’histoire (un procès qui n’apporte pas grand-chose, sinon de l’embarras).
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Nicolas Bedos espère, en partie, moquer la superficialité de la bourgeoise Côte d'Azur avec Mascarade. Dommage que son film le soit tout autant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le jeu de massacre social se dilue dans le temps très long de sa narration qui en émousse ses effets.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Tout en prenant plaisir à égratigner un monde de faux semblants dévoyé par l’argent, le cinéaste nous perd dans les multiples rebondissements d’une intrigue un peu vaine et très bavarde, malgré l’opération charme de Marine Vacth et Pierre Niney.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré ses longueurs, ce film au casting de stars compte quelques atouts.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le tout reste distrayant, mais après l'enlevé Monsieur et Madame Adelman et l'émouvant La Belle époque, Nicolas Bedos réussit moins bien son coup.
Première
par Gaël Golhen
Certains segments sont parfaitement ouvragés et le casting chromé impressionne. Pourtant, sans colonne vertébrale, avec ses dialogues outranciers et ses rebondissements forcés, Bedos finit par laisser son spectateur en plan avec ses personnages un peu moches, un peu lâches et globalement repoussants.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Après le flamboyant La Belle époque, Nicolas Bedos s’égare dans un conte baroque dont l’intérêt se butte à des personnages caricaturaux et une intrigue cousue de fil blanc.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Tout en s’ébattant dans le marigot faisandé de la Côte, Bedos moque la vanité friquée des « femmes refaites », mais livre un cliché risible de la pauvreté (un appartement au papier peint pelé), à tel point qu’on eût préféré une franche embrassade du faux et du clinquant. Pour un À propos de Nice version 2022, on repassera.
Le Parisien
par La Rédaction
Dans cet océan d’ennui (2h14 !), les hommes sont tous des « porcs », des « enculés », volages et violents. « Mascarade » nous gratifie par ailleurs de séquences d’une vulgarité inouïe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Long et bavard, le quatrième film de Nicolas Bedos, dans lequel il étrille sans nuances les nantis de la Côte d’Azur, brille autant par ses décors ensoleillés et son casting bling-bling que par son absence de sentiments et la vacuité de son propos.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Il faut le dire et le redire tant le film semble se croire conscient, subtil, ambigu, critique du pouvoir de l’argent, limite féministe ; il n’est pourtant qu’étalage de moyens, signes extérieurs de richesses, femmes faussement rebelles bien qu’idéalement dociles, parées à sucer et réclamant qu’on les cogne. La voilà, la mascarade.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Nicolas Bedos rumine son nihilisme à deux balles et tourne en ridicule ses acteurs, sur fond d’arnaques sur la Côte d’Azur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
[Un] interminable jeu de massacre mâtiné de film noir.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Casting luxueux et intrigue maléfique se déployant sur la Côte d’Azur. À éviter.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Marie Sauvion
Coups bas, mensonges, et grosses ficelles mènent le bal dans le quatrième long métrage de Nicolas Bedos, aussi pathétique que son microcosme bling-bling.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Un suspense malin autour d’excellents interprètes.
CNews
Cruelle et joyeusement iconoclaste, amorale et visuellement superbe, cette comédie de mœurs, qui n'épargne aucun de ses protagonistes, est filmée un peu comme la bande-annonce d'un film à venir : avec rythme, élégance et efficacité.
Le Figaro
Le syndicat d’initiative risque d’être catastrophé. Le cinéma français, lui, se frotte les mains. Et un auteur, un ! Ça faisait longtemps.
Le Point
C'est drôle, vif, cruel, d'un cynisme absolu et doté d'un casting au top.
Marianne
Mascarade n’est pas seulement un film au casting superbe, qui peut défiler sur les plateaux de télé pour la promotion. C’est un film pour les spectateurs. Un film dans lequel le plaisir évident qu’a Nicolas Bedos à réaliser, à filmer ces acteurs, cette lumière, ces plans-là plutôt que d’autres, se transmet à ceux qui suivent cette histoire d’escroquerie, d’amour passionnel, de petites mesquineries et de grandes destructions.
Télé 2 semaines
Un jeu d’acteurs convaincant pour un jeu de dupes convaincus.
Télé 7 Jours
Avec une patte stylée qui fait plaisir à voir et fort d’un carré d’as, Nicolas Bedos orchestre, en démiurge gentiment misanthrope, un brillant thriller.
Télé Loisirs
On se laisse emporter par ces personnages aussi pathétiques et cruels que touchants. Un jeu d'acteurs convaincants pour un jeu de dupes convaincues.
Voici
Un conte (im)moral aussi vénéneux qu'ensoleillé, avec un casting cinq étoiles.
Franceinfo Culture
Le dernier film de Nicolas Bedos met en scène une pléiade de stars dans une satire rythmée qui vient railler les frasques liées à l'argent et à la luxure de la région niçoise. Un cocktail aussi emballant que déconcertant.
L'Obs
Film ambitieux, et trop long. Cette ambiance soigneusement pourrie sur la Côte d’Azur, où se croisent des personnages déplaisants – gigolo et actrice vieillissante, jeune arnaqueuse et bourgeois quinqua –, est réussie : personne n’est innocent, et c’est un joli bal des faux-culs.
La Croix
D’abord projet de livre abandonné parce que son auteur se perdait, de son propre aveu, «dans les digressions »,Mascarade transformé en scénario pâtit de sa richesse narrative, même s’il parvient à ne pas perdre ses spectateurs en route.
La Voix du Nord
Tout est trop. Aucun espoir pour l’espèce humaine dans cette comédie acerbe, lointaine cousine de la Palme d’or Sans filtre, avec en filigrane une inattendue guerre des sexes et des générations. On se surprend pourtant à suivre avec fascination les errements frénétiques d’un couple de survivants manipulateurs mais perdus pour l’humanité.
Le Monde
Alors que ces histoires de jeunes gens prêts à satisfaire les désirs sexuels des puissants pour se vautrer dans le luxe paraissent dépassées, il y a quelque chose de l’ordre du mirage hollywoodien qui nous accroche.
Rolling Stone
Une mascarade retorse à souhait !
Dernières Nouvelles d'Alsace
Comédie sociale, à gauche toute, Mascarade tire les vieilles ficelles d’une situation mélodramatique usée (séduire pour piéger), dans une forme théâtrale au grotesque féroce, hélas distrait par une histoire dans l’histoire (un procès qui n’apporte pas grand-chose, sinon de l’embarras).
Ecran Large
Nicolas Bedos espère, en partie, moquer la superficialité de la bourgeoise Côte d'Azur avec Mascarade. Dommage que son film le soit tout autant.
Le Dauphiné Libéré
Le jeu de massacre social se dilue dans le temps très long de sa narration qui en émousse ses effets.
Le Journal du Dimanche
Tout en prenant plaisir à égratigner un monde de faux semblants dévoyé par l’argent, le cinéaste nous perd dans les multiples rebondissements d’une intrigue un peu vaine et très bavarde, malgré l’opération charme de Marine Vacth et Pierre Niney.
Les Echos
Malgré ses longueurs, ce film au casting de stars compte quelques atouts.
Ouest France
Le tout reste distrayant, mais après l'enlevé Monsieur et Madame Adelman et l'émouvant La Belle époque, Nicolas Bedos réussit moins bien son coup.
Première
Certains segments sont parfaitement ouvragés et le casting chromé impressionne. Pourtant, sans colonne vertébrale, avec ses dialogues outranciers et ses rebondissements forcés, Bedos finit par laisser son spectateur en plan avec ses personnages un peu moches, un peu lâches et globalement repoussants.
aVoir-aLire.com
Après le flamboyant La Belle époque, Nicolas Bedos s’égare dans un conte baroque dont l’intérêt se butte à des personnages caricaturaux et une intrigue cousue de fil blanc.
Cahiers du Cinéma
Tout en s’ébattant dans le marigot faisandé de la Côte, Bedos moque la vanité friquée des « femmes refaites », mais livre un cliché risible de la pauvreté (un appartement au papier peint pelé), à tel point qu’on eût préféré une franche embrassade du faux et du clinquant. Pour un À propos de Nice version 2022, on repassera.
Le Parisien
Dans cet océan d’ennui (2h14 !), les hommes sont tous des « porcs », des « enculés », volages et violents. « Mascarade » nous gratifie par ailleurs de séquences d’une vulgarité inouïe.
Les Fiches du Cinéma
Long et bavard, le quatrième film de Nicolas Bedos, dans lequel il étrille sans nuances les nantis de la Côte d’Azur, brille autant par ses décors ensoleillés et son casting bling-bling que par son absence de sentiments et la vacuité de son propos.
Les Inrockuptibles
Il faut le dire et le redire tant le film semble se croire conscient, subtil, ambigu, critique du pouvoir de l’argent, limite féministe ; il n’est pourtant qu’étalage de moyens, signes extérieurs de richesses, femmes faussement rebelles bien qu’idéalement dociles, parées à sucer et réclamant qu’on les cogne. La voilà, la mascarade.
Libération
Nicolas Bedos rumine son nihilisme à deux balles et tourne en ridicule ses acteurs, sur fond d’arnaques sur la Côte d’Azur.
Positif
[Un] interminable jeu de massacre mâtiné de film noir.
Sud Ouest
Casting luxueux et intrigue maléfique se déployant sur la Côte d’Azur. À éviter.
Télérama
Coups bas, mensonges, et grosses ficelles mènent le bal dans le quatrième long métrage de Nicolas Bedos, aussi pathétique que son microcosme bling-bling.