Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
« The Sparks Brothers », comme toujours chez Edgar Wright, trouve dans le post-modernisme une joie et une résilience plus qu’une malice ou une amertume. Impossible alors, à la fin de la séance, de ne pas vouloir écouter tout Sparks en boucle. Puis de tout transmettre à nos proches à notre tour.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Journal du Dimanche
par L.P.
Avec un luxe d'archives et une mise en scène inventive, le film raconte l'histoire de deux orphelins californiens que la musique et le cinéma ont soudés à jamais.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Hugo Cassavetti
Le groupe Sparks, dans la lumière avec le film Annette, sujet d’un documentaire exceptionnel. À leur image…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Antoine Desrues
Pour sa première incursion dans le documentaire, Edgar Wright signe avec The Sparks Brothers une oeuvre à l'évidente générosité. Tout en s'adaptant à l'univers des frères Mael, le cinéaste n'en oublie jamais son propre style, dont la dimension pop et ludique emporte tout sur son passage. C'est fun, c'est rythmé, et on ressort de la salle le sourire aux lèvres.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Edgar Wright (« Baby Driver ») leur rend un bel hommage. Fan tendance geek, il exagère l’impact du groupe, qui, à le croire, fut précurseur de toutes les tendances, mais encapsule l’attachante alchimie des deux frères.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Si le documentaire s’adresse un peu aux initiés, son énergie phénoménale et l’humour irrésistible des deux frères, ainsi que leur génie à traverser les modes et rester des icônes pendant un demi-siècle, convainquent totalement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Alors que sort enfin Annette, écrit et mis en musique par eux, Edgar Wright revient sur l’étonnamment longue carrière des Sparks, leur impact sur la pop, leur excentricité. Le résultat est réjouissant mais demeure, sur un tel sujet, un brin traditionnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Les deux membres du plus inclassable des groupes de rock sont les héros de ce documentaire à l’image de leur carrière : décalé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Christophe Conte
D’une bienveillance non coupable (comment ne pas aimer follement ces deux types, hilarants jusqu’au twist post-générique), The Sparks Brothers prend le par(t)i de passionner les novices en égrenant toute leur discographie, soit 25 albums, et en démontrant avec conviction que la pop est peut-être passée à côté de son incarnation absolue. Ce que les convaincus savent depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Closer
par La Rédaction
Que l'on soit fan ou pas, leur anticonformisme se révèle irrésistible.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Cinq décennies de pop passionnante résumées en 2h20 qui, à trop vouloir respecter la chronologie et multiplier les intervenants, finissent par lasser.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
A chaque spectateurs de The Sparks Brothers de composer le portrait des frères Mael à partir de cet enchaînement étourdissant de clips, d'extraits de concerts, d'émissions de télévision, qui n'apportent qu'une certitude - les fils de Meyer et Miriam ne sont pas des garçons comme les autres.
Positif
par Yann Tobin
Les extraits de concerts ou de clips sont trop courts pour donner une vraie idée de leur éclectisme, et les intervenants beaucoup trop nombreux (80 interviews en 2 h 15 !), mêlant collaborateurs, fans anonymes ou illustres.
Première
par Frédéric Foubert
C’est très plaisant à regarder, grâce à la classe et à l’humour des frangins. Mais l’un des groupes les plus extravagants et iconoclastes du dernier demi-siècle méritait clairement un écrin plus sophistiqué.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
« The Sparks Brothers », comme toujours chez Edgar Wright, trouve dans le post-modernisme une joie et une résilience plus qu’une malice ou une amertume. Impossible alors, à la fin de la séance, de ne pas vouloir écouter tout Sparks en boucle. Puis de tout transmettre à nos proches à notre tour.
Le Journal du Dimanche
Avec un luxe d'archives et une mise en scène inventive, le film raconte l'histoire de deux orphelins californiens que la musique et le cinéma ont soudés à jamais.
Télérama
Le groupe Sparks, dans la lumière avec le film Annette, sujet d’un documentaire exceptionnel. À leur image…
Ecran Large
Pour sa première incursion dans le documentaire, Edgar Wright signe avec The Sparks Brothers une oeuvre à l'évidente générosité. Tout en s'adaptant à l'univers des frères Mael, le cinéaste n'en oublie jamais son propre style, dont la dimension pop et ludique emporte tout sur son passage. C'est fun, c'est rythmé, et on ressort de la salle le sourire aux lèvres.
L'Obs
Edgar Wright (« Baby Driver ») leur rend un bel hommage. Fan tendance geek, il exagère l’impact du groupe, qui, à le croire, fut précurseur de toutes les tendances, mais encapsule l’attachante alchimie des deux frères.
Le Parisien
Si le documentaire s’adresse un peu aux initiés, son énergie phénoménale et l’humour irrésistible des deux frères, ainsi que leur génie à traverser les modes et rester des icônes pendant un demi-siècle, convainquent totalement.
Les Fiches du Cinéma
Alors que sort enfin Annette, écrit et mis en musique par eux, Edgar Wright revient sur l’étonnamment longue carrière des Sparks, leur impact sur la pop, leur excentricité. Le résultat est réjouissant mais demeure, sur un tel sujet, un brin traditionnel.
Les Inrockuptibles
Les deux membres du plus inclassable des groupes de rock sont les héros de ce documentaire à l’image de leur carrière : décalé.
Libération
D’une bienveillance non coupable (comment ne pas aimer follement ces deux types, hilarants jusqu’au twist post-générique), The Sparks Brothers prend le par(t)i de passionner les novices en égrenant toute leur discographie, soit 25 albums, et en démontrant avec conviction que la pop est peut-être passée à côté de son incarnation absolue. Ce que les convaincus savent depuis longtemps.
Closer
Que l'on soit fan ou pas, leur anticonformisme se révèle irrésistible.
Le Figaro
Cinq décennies de pop passionnante résumées en 2h20 qui, à trop vouloir respecter la chronologie et multiplier les intervenants, finissent par lasser.
Le Monde
A chaque spectateurs de The Sparks Brothers de composer le portrait des frères Mael à partir de cet enchaînement étourdissant de clips, d'extraits de concerts, d'émissions de télévision, qui n'apportent qu'une certitude - les fils de Meyer et Miriam ne sont pas des garçons comme les autres.
Positif
Les extraits de concerts ou de clips sont trop courts pour donner une vraie idée de leur éclectisme, et les intervenants beaucoup trop nombreux (80 interviews en 2 h 15 !), mêlant collaborateurs, fans anonymes ou illustres.
Première
C’est très plaisant à regarder, grâce à la classe et à l’humour des frangins. Mais l’un des groupes les plus extravagants et iconoclastes du dernier demi-siècle méritait clairement un écrin plus sophistiqué.