Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Le « vivre ensemble » est plus qu’un concept humaniste, une nécessité humaine. Sur l’Adamant ne prétend pas que c’est facile, à travers l’expérience unique de cette unité psychiatrique avec vue sur Seine, il dit juste que c’est possible.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Sophie Joubert
Troublant parce qu’il interroge la frontière entre la maladie et une apparente normalité, le film ne prétend pas à l’universalité ou l’exemplarité. Utopie en actes, l’expérience de « l’Adamant » reste circonscrite à ce bâtiment flottant qui reste à quai. Elle n’en est pas moins passionnante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par La Rédaction
La grande beauté de « Sur l’Adamant » est ne pas remonter le fil, ne pas chercher l’endroit où il s’est brisé, ne pas décortiquer ses personnages, mais les laisser se déplier, livrer une série de portraits fragiles et magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Nicolas Philibert, fidèle à lui-même, met en scène avec tendresse des protagonistes singuliers et arpente une nouvelle fois des territoires thématiques qui le passionnent : le langage, l'écoute, l'échange… Un film magistral.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Ours d’or mérité à la dernière Berlinale, ce documentaire en forme de laissez-passer dans un centre thérapeutique flottant pose sur ses sujets un regard d’une grande intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Cheze
Un documentaire passionnant.
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Contre la crainte ou la curiosité qu’inspirent ces gueules parfois cassées, l’opération consiste à rapprocher l’altérité à travers la délicate simplicité d’un regard coulé dans la temporalité quotidienne, qui accueille ses expressions sans pointer la différence.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le documentaire de Nicolas Philibert met en lumière une expérience à part, mais il montre aussi qu’une autre psychiatrie est possible, où le soin apparaît comme une absolument formidable altérité.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Edifiant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Approche patiente, science aiguisée du montage…, Nicolas Philibert écoute, et signe un documentaire à la fois politique et chaleureux sur une psychiatrie menée autrement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un film lumineux et bouleversant couronné par un Ours d’or à Berlin.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un documentaire qui, sans suivre de schéma préétabli, nous bouleverse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
On n’est pas près d’oublier ces visages, ces vies à la dérive, flottant comme des petites choses fragiles ballottées par des flots incertains, des fétus de paille prêts à être engloutis par des tempêtes sous leur crâne.
Le Figaro
par Françoise Dargent
Un documentaire lumineux, récompensé par un ours d’or à Berlin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec bienveillance, le film capte la douceur et la nécessité de cet espace unique où l'humanité et la dignité sont la base, les normes d'une société violente un tant soit peu transcendées.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sur L’Adamant est ainsi une belle fantaisie, où Nicolas Philibert a délibérément maintenu la souffrance à la lisière, au profit de l’humain partage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Les « fous » de l'Adamant sont autant d'artistes en puissance, influencés par Jim Morrison, Vincent Van Gogh ou François Truffaut à égale mesure. Nicolas Philibert accompagne leurs moments d'angoisse autant que leurs fous rires, scrute les soignants autant que les patients. Son cinéma à hauteur d'homme est aussi militant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Le cinéaste de l’invisible se questionne ici, avec humanisme, sur la capacité réelle de notre société à aider efficacement les plus faibles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
L’Adamant, repaire d’artistes, vivier de solitudes explosives. Sorte de refuge idéal, d’arche de Noé au cœur de la ville violente, l’Adamant est une bonne nouvelle et l’on comprend que le jury du dernier festival de Berlin ait tenu à la célébrer en remettant l’Ours d’or à Philibert.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Le documentariste se rapproche d'un Depardon, avec une galerie de portraits tendre, passionnante et qui ne juge pas.
Première
par Thierry Chèze
109 minutes intenses menées avec une grande maîtrise, sans précipitation, en prenant le temps de laisser longuement la parole à chacun. Toute l’humanité de son regard, de son talent de confesseur jamais intrusif nous saute à la figure. Impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un film doux, humain, à juste distance.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par M.L.
Tendre et captivant.
Télérama
par François Ekchajzer
Le cinéaste a une façon d’être avec l’autre qui n’appartient qu’à lui, un rapport à autrui pour ainsi dire « de plain-pied ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Tout simplement, une immersion tout en amour dans l’univers bancal et poétique de la maladie psychiatrique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Valentin Denis
Filmer la « folie » dans un espace globalement apaisé conduit à ne pas la montrer comme une simple privation (de rationalité, de sérotonine, de sociabilité), mais au contraire comme une autre expérience du monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Le « vivre ensemble » est plus qu’un concept humaniste, une nécessité humaine. Sur l’Adamant ne prétend pas que c’est facile, à travers l’expérience unique de cette unité psychiatrique avec vue sur Seine, il dit juste que c’est possible.
L'Humanité
Troublant parce qu’il interroge la frontière entre la maladie et une apparente normalité, le film ne prétend pas à l’universalité ou l’exemplarité. Utopie en actes, l’expérience de « l’Adamant » reste circonscrite à ce bâtiment flottant qui reste à quai. Elle n’en est pas moins passionnante.
Le Parisien
La grande beauté de « Sur l’Adamant » est ne pas remonter le fil, ne pas chercher l’endroit où il s’est brisé, ne pas décortiquer ses personnages, mais les laisser se déplier, livrer une série de portraits fragiles et magnifiques.
Les Echos
Nicolas Philibert, fidèle à lui-même, met en scène avec tendresse des protagonistes singuliers et arpente une nouvelle fois des territoires thématiques qui le passionnent : le langage, l'écoute, l'échange… Un film magistral.
Les Inrockuptibles
Ours d’or mérité à la dernière Berlinale, ce documentaire en forme de laissez-passer dans un centre thérapeutique flottant pose sur ses sujets un regard d’une grande intelligence.
Ouest France
Un documentaire passionnant.
Cahiers du Cinéma
Contre la crainte ou la curiosité qu’inspirent ces gueules parfois cassées, l’opération consiste à rapprocher l’altérité à travers la délicate simplicité d’un regard coulé dans la temporalité quotidienne, qui accueille ses expressions sans pointer la différence.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le documentaire de Nicolas Philibert met en lumière une expérience à part, mais il montre aussi qu’une autre psychiatrie est possible, où le soin apparaît comme une absolument formidable altérité.
Franceinfo Culture
Edifiant.
L'Obs
Approche patiente, science aiguisée du montage…, Nicolas Philibert écoute, et signe un documentaire à la fois politique et chaleureux sur une psychiatrie menée autrement.
La Croix
Un film lumineux et bouleversant couronné par un Ours d’or à Berlin.
La Voix du Nord
Un documentaire qui, sans suivre de schéma préétabli, nous bouleverse.
Le Dauphiné Libéré
On n’est pas près d’oublier ces visages, ces vies à la dérive, flottant comme des petites choses fragiles ballottées par des flots incertains, des fétus de paille prêts à être engloutis par des tempêtes sous leur crâne.
Le Figaro
Un documentaire lumineux, récompensé par un ours d’or à Berlin.
Le Journal du Dimanche
Avec bienveillance, le film capte la douceur et la nécessité de cet espace unique où l'humanité et la dignité sont la base, les normes d'une société violente un tant soit peu transcendées.
Le Monde
Sur L’Adamant est ainsi une belle fantaisie, où Nicolas Philibert a délibérément maintenu la souffrance à la lisière, au profit de l’humain partage.
Le Point
Les « fous » de l'Adamant sont autant d'artistes en puissance, influencés par Jim Morrison, Vincent Van Gogh ou François Truffaut à égale mesure. Nicolas Philibert accompagne leurs moments d'angoisse autant que leurs fous rires, scrute les soignants autant que les patients. Son cinéma à hauteur d'homme est aussi militant.
Les Fiches du Cinéma
Le cinéaste de l’invisible se questionne ici, avec humanisme, sur la capacité réelle de notre société à aider efficacement les plus faibles.
Libération
L’Adamant, repaire d’artistes, vivier de solitudes explosives. Sorte de refuge idéal, d’arche de Noé au cœur de la ville violente, l’Adamant est une bonne nouvelle et l’on comprend que le jury du dernier festival de Berlin ait tenu à la célébrer en remettant l’Ours d’or à Philibert.
Paris Match
Le documentariste se rapproche d'un Depardon, avec une galerie de portraits tendre, passionnante et qui ne juge pas.
Première
109 minutes intenses menées avec une grande maîtrise, sans précipitation, en prenant le temps de laisser longuement la parole à chacun. Toute l’humanité de son regard, de son talent de confesseur jamais intrusif nous saute à la figure. Impressionnant.
Sud Ouest
Un film doux, humain, à juste distance.
Télé 2 semaines
Tendre et captivant.
Télérama
Le cinéaste a une façon d’être avec l’autre qui n’appartient qu’à lui, un rapport à autrui pour ainsi dire « de plain-pied ».
aVoir-aLire.com
Tout simplement, une immersion tout en amour dans l’univers bancal et poétique de la maladie psychiatrique.
Critikat.com
Filmer la « folie » dans un espace globalement apaisé conduit à ne pas la montrer comme une simple privation (de rationalité, de sérotonine, de sociabilité), mais au contraire comme une autre expérience du monde.