Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierig Leray
[...] une simplicité à tomber, un au revoir fait de jeux et de mots, de querelles enfantines, d’oublis, beaucoup, et du désir impérieux d’un départ en toute dignité. Il y a ici un sentiment merveilleux d’apaisement, de grâce, un au revoir humble et discret [...] qui impose un fichu respect.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Finalisé par les enfants de la réalisatrice, ce film est un miracle de poésie tragicomique et offre à Agnès Jaoui l’un de ses plus beaux rôles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
par Isabelle Danel
Dernier long-métrage de Sophie Fillières, cet hymne à la vie, ce coq-à-l’âne joyeux est aussi le portrait de nos peurs, de nos manques et de ce qu’il faut faire pour que la joie demeure.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper Hadjian
Frappant contrepoint aux précédentes œuvres de Sophie Fillières, où l’angoisse était si habilement contournée par les personnages qu’ils avaient moins l’air d’en souffrir que d’en jouer, Ma vie ma gueule pratique le comique du désespoir. La drôlerie ici procède de l’expression frontale d’une noirceur, la première n’annulant pas la seconde.
Critikat.com
par Marin Gérard
La part funèbre du film, qui ressemble à une tournée d'adieux, est contrebalancée par la drôlerie caractéristique de Fillières.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Tout l’esprit Filières est là : l’humour tragicomique, la loufoquerie tendre, la mélancolie existentielle.
Franceinfo Culture
par Ariane Combes-Savary
Fantasque et maladroit, "Ma vie ma gueule" bouleverse et surprend par sa lumière.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Isabelle Danel
D’ailleurs, répondant au téléphone, Barbie commet un mensonge qu’elle s’emploie aussitôt à rendre vrai. En quelques minutes, le personnage est posé, il ne cessera de rebondir, de convoquer le passé pour mieux accepter le présent. Et trouver comment partir sans pleurer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Agnès Jaoui est parfaite dans cette comédie drôle, fine et bouleversante, œuvre posthume de Sophie Fillières disparue peu après la fin du tournage.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une comédie vitale fragile et téméraire, portée par l’irrésistible Agnès Jaoui.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film tout en pudeur et en délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
S'il y est question d'une dépression, l'autoportrait, qui n'élude pas la gravité du sujet, n'est en rien désespéré ou désespérant : se greffent à sa mélancolie un humour et une poésie qu'incarne une Agnès Jaoui remarquable de justesse.
Le Monde
par Ma. Mt
Tout du long, Ma vie ma gueule fait ainsi cohabiter une inexpugnable drôlerie avec l’idée persistante de la mort.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film testament très drôle, émouvant et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Autoportrait à la fois frontal et cartoonesque, ce film posthume de Sophie Fillières invente (régulièrement avec grâce) un langage ironique, touchant et singulier pour raconter la difficulté de se synchroniser avec le réel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Anne Diatkine
La magie du film, c’est évidemment qu’Agnès Jaoui complètement à son aise dans l’univers de Sophie Fillières qu’elle ne connaissait pourtant pas, prenne les traits de la cinéaste en dépit de leur absence de ressemblance [...]. Mais aussi et surtout que chaque spectatrice, spectateur, puisse opérer cette transmutation, accepte de devenir cette Barberie Bichette, ce personnage abrupt et défiltré [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Avec un humour absurde, Agnès Jaoui [...] déambule un peu sèchement au pays de la presque soixantaine, avant de nous arracher des larmes drôlement tristes, de celles qui aident à vivre.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Agnès Le Morvan
Un moment de poésie.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Sophie Fillières filme avec simplicité, droiture. Elle se promène avec grâce entre gravité et fantaisie. Les dialogues sonnent juste. Les titres enfantins qu’elle a donnés aux trois parties du récit, des onomatopées, disent son goût pour la légèreté, malgré tout.
Transfuge
par Séverine Danflous
Sophie Fillières avec son art du jeu de mots, des quiproquos, son élégance des situations loufoques nous offre un conte généreux et décalé.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
L’ultime film de Sophie Fillières, disparue en juillet 2023, évoque la dépression avec une rare acuité, mêlant légèreté et mélancolie.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le récit flotte un peu, certaines scènes (notamment dans la partie centrale) sont trop étirées, mais le subtil jeu sur les mots de Sophie Fillières, son goût du non-sens très parlant sont bien présents, et souvent irrésistibles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une œuvre qui sonne comme un clap joyeux de fin.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Agnès Jaoui incarne une héroïne farfelue dans le film posthume de Sophie Fillières. Sa prestation compense en partie les faiblesses de cette fiction extravagante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Thierry Chèze
Rare sont les films capables de parler de dépression avec autant d’acuité, de légèreté et de profondeur. On en ressort le sourire aux lèvres et des larmes au coin des yeux mais aussi la certitude qu’Agnès Jaoui, sublime dans le rôle central, ferait une non moins sublime du César de la meilleure actrice en février prochain
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par M.L.
La toujours magistrale Agnès Jaoui est l'atout de cette histoire personnelle et poignante mais paradoxalement un peu prévisible dans son côté loufoque.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ma vie, ma gueule tisse un (auto) portrait douloureux d’une femme dépressive, dans l’incapacité de s’écouter, de connaître ses désirs, de renouer avec ses élans vitaux. Le film juxtapose des vignettes, tantôt charmantes, tantôt pesantes, le plus souvent décousues, dont la confusion rend peut-être compte avec habileté de celle qui agite son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Culturopoing.com
[...] une simplicité à tomber, un au revoir fait de jeux et de mots, de querelles enfantines, d’oublis, beaucoup, et du désir impérieux d’un départ en toute dignité. Il y a ici un sentiment merveilleux d’apaisement, de grâce, un au revoir humble et discret [...] qui impose un fichu respect.
Les Inrockuptibles
Finalisé par les enfants de la réalisatrice, ce film est un miracle de poésie tragicomique et offre à Agnès Jaoui l’un de ses plus beaux rôles.
Bande à part
Dernier long-métrage de Sophie Fillières, cet hymne à la vie, ce coq-à-l’âne joyeux est aussi le portrait de nos peurs, de nos manques et de ce qu’il faut faire pour que la joie demeure.
Cahiers du Cinéma
Frappant contrepoint aux précédentes œuvres de Sophie Fillières, où l’angoisse était si habilement contournée par les personnages qu’ils avaient moins l’air d’en souffrir que d’en jouer, Ma vie ma gueule pratique le comique du désespoir. La drôlerie ici procède de l’expression frontale d’une noirceur, la première n’annulant pas la seconde.
Critikat.com
La part funèbre du film, qui ressemble à une tournée d'adieux, est contrebalancée par la drôlerie caractéristique de Fillières.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Tout l’esprit Filières est là : l’humour tragicomique, la loufoquerie tendre, la mélancolie existentielle.
Franceinfo Culture
Fantasque et maladroit, "Ma vie ma gueule" bouleverse et surprend par sa lumière.
L'Obs
D’ailleurs, répondant au téléphone, Barbie commet un mensonge qu’elle s’emploie aussitôt à rendre vrai. En quelques minutes, le personnage est posé, il ne cessera de rebondir, de convoquer le passé pour mieux accepter le présent. Et trouver comment partir sans pleurer.
La Voix du Nord
Agnès Jaoui est parfaite dans cette comédie drôle, fine et bouleversante, œuvre posthume de Sophie Fillières disparue peu après la fin du tournage.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie vitale fragile et téméraire, portée par l’irrésistible Agnès Jaoui.
Le Figaro
Un film tout en pudeur et en délicatesse.
Le Journal du Dimanche
S'il y est question d'une dépression, l'autoportrait, qui n'élude pas la gravité du sujet, n'est en rien désespéré ou désespérant : se greffent à sa mélancolie un humour et une poésie qu'incarne une Agnès Jaoui remarquable de justesse.
Le Monde
Tout du long, Ma vie ma gueule fait ainsi cohabiter une inexpugnable drôlerie avec l’idée persistante de la mort.
Le Parisien
Un film testament très drôle, émouvant et magnifique.
Les Fiches du Cinéma
Autoportrait à la fois frontal et cartoonesque, ce film posthume de Sophie Fillières invente (régulièrement avec grâce) un langage ironique, touchant et singulier pour raconter la difficulté de se synchroniser avec le réel.
Libération
La magie du film, c’est évidemment qu’Agnès Jaoui complètement à son aise dans l’univers de Sophie Fillières qu’elle ne connaissait pourtant pas, prenne les traits de la cinéaste en dépit de leur absence de ressemblance [...]. Mais aussi et surtout que chaque spectatrice, spectateur, puisse opérer cette transmutation, accepte de devenir cette Barberie Bichette, ce personnage abrupt et défiltré [...].
Marie Claire
Avec un humour absurde, Agnès Jaoui [...] déambule un peu sèchement au pays de la presque soixantaine, avant de nous arracher des larmes drôlement tristes, de celles qui aident à vivre.
Ouest France
Un moment de poésie.
Sud Ouest
Sophie Fillières filme avec simplicité, droiture. Elle se promène avec grâce entre gravité et fantaisie. Les dialogues sonnent juste. Les titres enfantins qu’elle a donnés aux trois parties du récit, des onomatopées, disent son goût pour la légèreté, malgré tout.
Transfuge
Sophie Fillières avec son art du jeu de mots, des quiproquos, son élégance des situations loufoques nous offre un conte généreux et décalé.
Télé 7 Jours
L’ultime film de Sophie Fillières, disparue en juillet 2023, évoque la dépression avec une rare acuité, mêlant légèreté et mélancolie.
Télérama
Le récit flotte un peu, certaines scènes (notamment dans la partie centrale) sont trop étirées, mais le subtil jeu sur les mots de Sophie Fillières, son goût du non-sens très parlant sont bien présents, et souvent irrésistibles.
aVoir-aLire.com
Une œuvre qui sonne comme un clap joyeux de fin.
Les Echos
Agnès Jaoui incarne une héroïne farfelue dans le film posthume de Sophie Fillières. Sa prestation compense en partie les faiblesses de cette fiction extravagante.
Première
Rare sont les films capables de parler de dépression avec autant d’acuité, de légèreté et de profondeur. On en ressort le sourire aux lèvres et des larmes au coin des yeux mais aussi la certitude qu’Agnès Jaoui, sublime dans le rôle central, ferait une non moins sublime du César de la meilleure actrice en février prochain
Télé 2 semaines
La toujours magistrale Agnès Jaoui est l'atout de cette histoire personnelle et poignante mais paradoxalement un peu prévisible dans son côté loufoque.
La Croix
Ma vie, ma gueule tisse un (auto) portrait douloureux d’une femme dépressive, dans l’incapacité de s’écouter, de connaître ses désirs, de renouer avec ses élans vitaux. Le film juxtapose des vignettes, tantôt charmantes, tantôt pesantes, le plus souvent décousues, dont la confusion rend peut-être compte avec habileté de celle qui agite son héroïne.