Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un film puissant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Tirailleurs n’est pas une tribune, c’est un tribut à des héros de l’ombre. Il ne répare pas le passé, mais l’oubli. Un mémorial subtil et magnifique.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le film atteint son but, il laisse la gorge sèche et du silence plein le coeur.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un mémorial subtil et magnifique.
Public
par Sarah-Lévy Laithier
Puissant, émouvant, terrible.
L'Obs
par F. F.
Le récit est puissant, les images sont brutales. Mathieu Vadepied, ex-assistant de Raymond Depardon et coréalisateur d’« En thérapie », a eu la bonne idée de donner le rôle principal à Omar Sy, qui apporte une immense dose d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Un film humaniste mais humble, qui cherche à montrer, pas à démontrer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Du bon cinéma utile.
Télé 2 semaines
par S.O.
Une remarquable reconstitution.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
C’est moins une fresque historique que la peinture intime, à hauteur d’hommes, de l’absurdité de la guerre que nous offre l’odyssée héroïque de ce père, servie par l’interprétation puissante d’Omar Sy, dans son rôle le plus émouvant.
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Grâce au réalisme de la reconstitution de la vie au front – décors, costumes, atmosphère, tout est d'une précision remarquable –, le mythe du tirailleur sénégalais venu défendre la France par amour de la patrie en prend pour son grade. Car malgré les atrocités qu'ils affrontent, ces poilus des colonies, réquisitionnés de force, découvrent dans la troupe une société plus égalitaire que celle qu'ils connaissaient.
Voici
par La Rédaction
Une variation filiale autour du devoir de mémoire tout autant qu'une charge antimilitariste qui vise juste.
CNews
par La rédaction
Malgré une mise en scène classique et un traitement des faits académique, «Tirailleurs» filme un Omar Sy plus grave et impliqué que jamais, face au jeune Alassane Diong tout aussi convaincant.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
S'il est un peu trop sage pour être vraiment impressionnant et trop mécanique pour être bouleversant, Tirailleurs reste un regard essentiel sur l'Histoire, un film à la technicité indéniable, et l'un des plus beaux rôles d'Omar Sy.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Tout en cadrages serrés, caméra à l’épaule, le film semble avoir davantage de mal à avancer à mi-parcours. Et la perspective que le Soldat inconnu soit au final un tirailleur sénégalais peut paraître artificielle. Tirailleurs évite en tout cas le manichéisme facile.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C’est bien cette trame intimiste, déchirante et tragique, qui tient le film et qui se révèle doublement intelligente.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Bien sûr, les sirènes du war movie consensuel et TF1-compatible ne tardent pas à sonner, et le film se clôt par une apothéose honorifique de son personnage presque contre-productive. Mais quelque chose s’est joué ici, qui est bel et bien du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Edifiant sur l’utilisation massive de soldats africains pendant la Première Guerre mondiale, le long métrage avec Omar Sy s’essouffle, comme écrasé par les enjeux mis en scène.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Olivier De Bruyn
Malgré ses maladresses, ce film [...] a le mérite d’évoquer son sujet avec modestie, sobriété, et de tirer le meilleur parti de l’engagement de ses acteurs, en premier lieu Omar Sy, impeccable dans le rôle de Bakary.
Première
par Thierry Cheze
Certes l’ambition pédagogique qui sous-tend un tel projet prend parfois le pas sur le cinéma mais sans abimer sa puissance émotionnelle, juste car jamais forcée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
L’enfer des tranchées, saisi du point de vue sénégalais. Un hommage à la fois didactique et émouvant...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Valentin Denis
Éviter les raccourcis historiques ne suffit pas à faire un bon film, d’autant que "Tirailleurs" s’achève sur un twist dont la teneur comique involontaire vient fortement contrecarrer le sérieux mémoriel auquel il prétend.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Problème : le père va se retrouver sous les ordres de son fils, avec lequel il parle peul et wolof. Pas bon pour l'autorité paternelle. C'est à ce moment-là que le film bascule dans un sentimentalisme qui l'éloigne de son sujet principal et le transforme en banal drame familial.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
À tous points de vue respectable, le film dilapide cependant sa puissance en jouant sur deux tableaux en même temps : la radicalité et l’accessibilité.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En dépit d’investissement sans faille des comédiens et particulièrement d’Omar Sy dans un rôle de composition qui lui est peu habituel, le film ne parvient pas à dépasser l’académisme de la mise en scène voire la démagogie du propos.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La relation compliquée entre un père et son fils, deux tirailleurs sénégalais, est censée valoir pour l’ensemble de ces hommes qui pouvaient espérer devenir en combattant, comme le dit l’un d’eux, « non plus des indigènes mais des Français ». Ce resserrement sur l’intime a son efficacité : le fils est propulsé supérieur de son père à la faveur d’un lieutenant blanc dont il accepte à la fois l’alcool, interdit par sa religion, et le plan de bataille foireux.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film, présenté au dernier Festival de Cannes en ouverture de la section Un certain regard, est donc plein d’humanité. On aurait préféré qu’il soit bourré de talent. Nos tirailleurs meurent au champ d’honneur pour la deuxième fois. Rompez !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Un film puissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Tirailleurs n’est pas une tribune, c’est un tribut à des héros de l’ombre. Il ne répare pas le passé, mais l’oubli. Un mémorial subtil et magnifique.
Femme Actuelle
Le film atteint son but, il laisse la gorge sèche et du silence plein le coeur.
Le Dauphiné Libéré
Un mémorial subtil et magnifique.
Public
Puissant, émouvant, terrible.
L'Obs
Le récit est puissant, les images sont brutales. Mathieu Vadepied, ex-assistant de Raymond Depardon et coréalisateur d’« En thérapie », a eu la bonne idée de donner le rôle principal à Omar Sy, qui apporte une immense dose d’émotion.
Le Parisien
Un film humaniste mais humble, qui cherche à montrer, pas à démontrer.
Ouest France
Du bon cinéma utile.
Télé 2 semaines
Une remarquable reconstitution.
Télé 7 Jours
C’est moins une fresque historique que la peinture intime, à hauteur d’hommes, de l’absurdité de la guerre que nous offre l’odyssée héroïque de ce père, servie par l’interprétation puissante d’Omar Sy, dans son rôle le plus émouvant.
Télé Loisirs
Grâce au réalisme de la reconstitution de la vie au front – décors, costumes, atmosphère, tout est d'une précision remarquable –, le mythe du tirailleur sénégalais venu défendre la France par amour de la patrie en prend pour son grade. Car malgré les atrocités qu'ils affrontent, ces poilus des colonies, réquisitionnés de force, découvrent dans la troupe une société plus égalitaire que celle qu'ils connaissaient.
Voici
Une variation filiale autour du devoir de mémoire tout autant qu'une charge antimilitariste qui vise juste.
CNews
Malgré une mise en scène classique et un traitement des faits académique, «Tirailleurs» filme un Omar Sy plus grave et impliqué que jamais, face au jeune Alassane Diong tout aussi convaincant.
Ecran Large
S'il est un peu trop sage pour être vraiment impressionnant et trop mécanique pour être bouleversant, Tirailleurs reste un regard essentiel sur l'Histoire, un film à la technicité indéniable, et l'un des plus beaux rôles d'Omar Sy.
La Voix du Nord
Tout en cadrages serrés, caméra à l’épaule, le film semble avoir davantage de mal à avancer à mi-parcours. Et la perspective que le Soldat inconnu soit au final un tirailleur sénégalais peut paraître artificielle. Tirailleurs évite en tout cas le manichéisme facile.
Le Monde
C’est bien cette trame intimiste, déchirante et tragique, qui tient le film et qui se révèle doublement intelligente.
Les Inrockuptibles
Bien sûr, les sirènes du war movie consensuel et TF1-compatible ne tardent pas à sonner, et le film se clôt par une apothéose honorifique de son personnage presque contre-productive. Mais quelque chose s’est joué ici, qui est bel et bien du cinéma.
Libération
Edifiant sur l’utilisation massive de soldats africains pendant la Première Guerre mondiale, le long métrage avec Omar Sy s’essouffle, comme écrasé par les enjeux mis en scène.
Positif
Malgré ses maladresses, ce film [...] a le mérite d’évoquer son sujet avec modestie, sobriété, et de tirer le meilleur parti de l’engagement de ses acteurs, en premier lieu Omar Sy, impeccable dans le rôle de Bakary.
Première
Certes l’ambition pédagogique qui sous-tend un tel projet prend parfois le pas sur le cinéma mais sans abimer sa puissance émotionnelle, juste car jamais forcée.
Télérama
L’enfer des tranchées, saisi du point de vue sénégalais. Un hommage à la fois didactique et émouvant...
Critikat.com
Éviter les raccourcis historiques ne suffit pas à faire un bon film, d’autant que "Tirailleurs" s’achève sur un twist dont la teneur comique involontaire vient fortement contrecarrer le sérieux mémoriel auquel il prétend.
Le Point
Problème : le père va se retrouver sous les ordres de son fils, avec lequel il parle peul et wolof. Pas bon pour l'autorité paternelle. C'est à ce moment-là que le film bascule dans un sentimentalisme qui l'éloigne de son sujet principal et le transforme en banal drame familial.
Les Fiches du Cinéma
À tous points de vue respectable, le film dilapide cependant sa puissance en jouant sur deux tableaux en même temps : la radicalité et l’accessibilité.
aVoir-aLire.com
En dépit d’investissement sans faille des comédiens et particulièrement d’Omar Sy dans un rôle de composition qui lui est peu habituel, le film ne parvient pas à dépasser l’académisme de la mise en scène voire la démagogie du propos.
Cahiers du Cinéma
La relation compliquée entre un père et son fils, deux tirailleurs sénégalais, est censée valoir pour l’ensemble de ces hommes qui pouvaient espérer devenir en combattant, comme le dit l’un d’eux, « non plus des indigènes mais des Français ». Ce resserrement sur l’intime a son efficacité : le fils est propulsé supérieur de son père à la faveur d’un lieutenant blanc dont il accepte à la fois l’alcool, interdit par sa religion, et le plan de bataille foireux.
Le Figaro
Le film, présenté au dernier Festival de Cannes en ouverture de la section Un certain regard, est donc plein d’humanité. On aurait préféré qu’il soit bourré de talent. Nos tirailleurs meurent au champ d’honneur pour la deuxième fois. Rompez !