Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Le film est traversé d’un bain d’euphorie qui ravive un esprit contestataire, par le biais d’une écriture ciselée, loin de l’enchaînement de sketches qui fait l’apanage du marché cinématographique actuel. Chaque scène fait l’effet d’une passerelle vers la suivante ou à la précédente. Le fantastique est au service de la tendresse, quand le comique est multifacette.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Bancal, délirant, flirtant assez habilement avec le fantastique, Tout fout le camp plonge le spectateur dans un état d’euphorie et d’hébétude tels qu’il finit par lui faire accepter à peu près n’importe quoi.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Comédie absurde, film de zombie, réflexion politique et drame mélancolique, Tout fout le camp va parfois dans trop de directions, trop vite et avec trop d'entrain. Mais le film réalisé par Sébastien Betbeder reste une comédie à la folie douce pleine de générosité, de sincérité et d'originalité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par X. L.
Si parfois cela tourne en rond, on trace la route avec plaisir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par É.S.
Tout fout le camp tient ses promesses. Foutraque et potache.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
Sébastien Betbeder signe un road-movie sombre et fantasque, illuminé par la présence de Jonathan Capdevielle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Betbeder brosse le portrait mélancolique de personnages paumés, en quête de maturité et de lien. Tendre, le résultat manque toutefois d’ampleur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jérémie Couston
Mais il y a aussi dans ce patchwork picard et picaresque une tentative de dire la confusion d’une génération désespérée par la politique de Macron, considéré à son tour comme « usé » et originaire d’Amiens, ce qui est tout sauf un hasard.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Philippe Fauvel
Dans cette mosaïque de séquences humoristiques bancales, reflets de la lose des personnages, âmes joliment candides bien que résistantes et solitaires, [...] la douce folie se perd un peu dans une maladroite déclaration d’amitié pour ses personnages [...]. Mais l’essentiel est sans doute de toujours ressusciter.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Chaque nouveau film de Sébastien Betbeder ( 2 Automnes, 3 Hivers , Debout sur la montagne …) occasionne une fuite, un décrochage, une sortie de route, ici littérale. Tout fout le camp reconduit ce motif pour entraîner son duo de paumés sur des routes brumeuses de campagne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
Sébastien Betbeder avait déjà signé Le Voyage au Groenland en 2016. Il retrouve ici cette faculté à faire éclore des bons sentiments à partir d’un sol en friche. C’est coloré, un rien abscons, toujours tendre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Le film est traversé d’un bain d’euphorie qui ravive un esprit contestataire, par le biais d’une écriture ciselée, loin de l’enchaînement de sketches qui fait l’apanage du marché cinématographique actuel. Chaque scène fait l’effet d’une passerelle vers la suivante ou à la précédente. Le fantastique est au service de la tendresse, quand le comique est multifacette.
Libération
Bancal, délirant, flirtant assez habilement avec le fantastique, Tout fout le camp plonge le spectateur dans un état d’euphorie et d’hébétude tels qu’il finit par lui faire accepter à peu près n’importe quoi.
Ecran Large
Comédie absurde, film de zombie, réflexion politique et drame mélancolique, Tout fout le camp va parfois dans trop de directions, trop vite et avec trop d'entrain. Mais le film réalisé par Sébastien Betbeder reste une comédie à la folie douce pleine de générosité, de sincérité et d'originalité.
L'Obs
Si parfois cela tourne en rond, on trace la route avec plaisir.
Le Figaro
Tout fout le camp tient ses promesses. Foutraque et potache.
Le Monde
Sébastien Betbeder signe un road-movie sombre et fantasque, illuminé par la présence de Jonathan Capdevielle.
Les Fiches du Cinéma
Betbeder brosse le portrait mélancolique de personnages paumés, en quête de maturité et de lien. Tendre, le résultat manque toutefois d’ampleur.
Télérama
Mais il y a aussi dans ce patchwork picard et picaresque une tentative de dire la confusion d’une génération désespérée par la politique de Macron, considéré à son tour comme « usé » et originaire d’Amiens, ce qui est tout sauf un hasard.
Cahiers du Cinéma
Dans cette mosaïque de séquences humoristiques bancales, reflets de la lose des personnages, âmes joliment candides bien que résistantes et solitaires, [...] la douce folie se perd un peu dans une maladroite déclaration d’amitié pour ses personnages [...]. Mais l’essentiel est sans doute de toujours ressusciter.
Les Inrockuptibles
Chaque nouveau film de Sébastien Betbeder ( 2 Automnes, 3 Hivers , Debout sur la montagne …) occasionne une fuite, un décrochage, une sortie de route, ici littérale. Tout fout le camp reconduit ce motif pour entraîner son duo de paumés sur des routes brumeuses de campagne.
Première
Sébastien Betbeder avait déjà signé Le Voyage au Groenland en 2016. Il retrouve ici cette faculté à faire éclore des bons sentiments à partir d’un sol en friche. C’est coloré, un rien abscons, toujours tendre.