Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le troisième film de Jérémie Guez, décidément prolifique, est le plus réussi dans ce qu’il crée d’intimité entre les personnages et les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par François Forestier
Jérémie Guez, auteur de romans bien noirs (« les Ames sous les néons »), est un cinéaste de la vitesse : pas de digressions, juste les faits et l’action. Son film précédent, « Sons of Philadelphia », donnait le la. Ici, nul ne peut échapper au destin. Noir et bien serré.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Déployant une atmosphère un brin rétro qui évoque les modèles du genre, le film navigue habilement entre violence et romantisme, servi par une mise en scène soignée mais sans fioritures, et des acteurs charismatiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Ouvertement influencé par la trilogie Pusher et piochant à l’occasion, plus involontairement mais avec un certain bonheur, chez le James Gray des débuts ou le Ferrara des bonnes heures, Kanun trace à l’arrivée une route qui n’appartient vraiment qu’à lui. Glaciale et goudronnée, tout en ombres, néons et visages anguleux, étrange théâtre plus mélancolique que menaçant, où tout le monde – Albanais, Tchétchènes, Marocains, Turcs – grandit, vit, s’aime et périt dans le sang.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
Sur cette trame de polar urbain et nerveux, Jérémie Guez réalise une bande assez solide, qui témoigne d’une bonne assimilation des œuvres de Ringo Lam et de Johnnie To.
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Kanun, la loi du sang n'a peut-être pas l'ampleur de la grande fresque romanesque rêvée par son réalisateur, mais c'est tout de même un bon petit thriller très correctement conçu et filmé. Mention spéciale à l'admirable casting du film.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par La Rédaction
Avec son cadre qui bouge et ses couleurs métalliques, « Kanun » a un côté expérimental. Il distille une atmosphère très noire, portée par de vraies gueules de gangsters. Et au milieu de toute cette cruauté, il fait jaillir un romantisme très sensuel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Frédéric Strauss
Un étonnant mélange de cinéma d’atmosphère sophistiqué et de cinoche viril à l’ancienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Jérémie Guez livre un polar à l’esthétique très travaillée, sous l’influence évidente du cinéma de Nicolas Winding Refn. Hélas, le scénario enchaîne les actions prévisibles, pour composer in fine un film à l’intérêt limité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Ce qui pêche dans cet exercice de style trop sérieux, qui voit des hommes s’affronter et une histoire de vengeance menacer le héros, c’est précisément la proximité aveugle avec laquelle le réalisateur filme cet univers décharné, avec la croyance solide en l’importance d’enjeux virils qui, avouons-le, nous paraissent bien petits, risibles et désuets.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un thriller aux rebondissements trop attendus.
Première
par Sylvestre Picard
On sent que l'objectif est de faire une grande tragédie dans un micro-décor, mais il n'y a même pas assez de nerf pour satisfaire les accros du thriller post-Nicolas Winding Refn - clairement, Pusher est le modèle inaccessible de ce Kanun malheureusement pas très « gang », comme disent les jeunes.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
Le troisième film de Jérémie Guez, décidément prolifique, est le plus réussi dans ce qu’il crée d’intimité entre les personnages et les spectateurs.
L'Obs
Jérémie Guez, auteur de romans bien noirs (« les Ames sous les néons »), est un cinéaste de la vitesse : pas de digressions, juste les faits et l’action. Son film précédent, « Sons of Philadelphia », donnait le la. Ici, nul ne peut échapper au destin. Noir et bien serré.
Le Journal du Dimanche
Déployant une atmosphère un brin rétro qui évoque les modèles du genre, le film navigue habilement entre violence et romantisme, servi par une mise en scène soignée mais sans fioritures, et des acteurs charismatiques.
Libération
Ouvertement influencé par la trilogie Pusher et piochant à l’occasion, plus involontairement mais avec un certain bonheur, chez le James Gray des débuts ou le Ferrara des bonnes heures, Kanun trace à l’arrivée une route qui n’appartient vraiment qu’à lui. Glaciale et goudronnée, tout en ombres, néons et visages anguleux, étrange théâtre plus mélancolique que menaçant, où tout le monde – Albanais, Tchétchènes, Marocains, Turcs – grandit, vit, s’aime et périt dans le sang.
Positif
Sur cette trame de polar urbain et nerveux, Jérémie Guez réalise une bande assez solide, qui témoigne d’une bonne assimilation des œuvres de Ringo Lam et de Johnnie To.
Ecran Large
Kanun, la loi du sang n'a peut-être pas l'ampleur de la grande fresque romanesque rêvée par son réalisateur, mais c'est tout de même un bon petit thriller très correctement conçu et filmé. Mention spéciale à l'admirable casting du film.
Le Parisien
Avec son cadre qui bouge et ses couleurs métalliques, « Kanun » a un côté expérimental. Il distille une atmosphère très noire, portée par de vraies gueules de gangsters. Et au milieu de toute cette cruauté, il fait jaillir un romantisme très sensuel.
Télérama
Un étonnant mélange de cinéma d’atmosphère sophistiqué et de cinoche viril à l’ancienne.
Les Fiches du Cinéma
Jérémie Guez livre un polar à l’esthétique très travaillée, sous l’influence évidente du cinéma de Nicolas Winding Refn. Hélas, le scénario enchaîne les actions prévisibles, pour composer in fine un film à l’intérêt limité.
Les Inrockuptibles
Ce qui pêche dans cet exercice de style trop sérieux, qui voit des hommes s’affronter et une histoire de vengeance menacer le héros, c’est précisément la proximité aveugle avec laquelle le réalisateur filme cet univers décharné, avec la croyance solide en l’importance d’enjeux virils qui, avouons-le, nous paraissent bien petits, risibles et désuets.
Ouest France
Un thriller aux rebondissements trop attendus.
Première
On sent que l'objectif est de faire une grande tragédie dans un micro-décor, mais il n'y a même pas assez de nerf pour satisfaire les accros du thriller post-Nicolas Winding Refn - clairement, Pusher est le modèle inaccessible de ce Kanun malheureusement pas très « gang », comme disent les jeunes.