Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Zurban
par Stéphane Brisset
Raja Amari filme sans pittoresque le choc de deux univers -la domesticité contre le spectacle- et les allers-retours sensuels qui en résultent. Si l'on peut lui reprocher quelques flottements scénaristiques, la (jeune) cinéaste explore admirablement ces tabous culturels, magistralement aidée en cela par une actrice épatante: Hiam Abbass.
Aden
par Philippe Piazzo
Le plus réussi est que Raja Amari mène son personnage à cette révolution avec une douce détermination.
Africultures.com
par Olivier Barlet
Ce n'est plus pour lui qu'elle danse mais pour elle-même, pour toutes les femmes, tout comme ce très beau film.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par M. Merlet
(...) Raja Amari nous conduit dans les eaux mouvantes de l'ambiguité. Parfois sombres et effrayantes, parfois surprenantes et drôles, celles-ci nous bercent de leurs ondulations et, par un retrait vite effacé, nous laissent entrevoir, enfouie, un peu de la vérité des hommes et des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Sujet provocant et mise en scène délicate, un petit film capiteux et pourtant frais, parfaitement interprété par une actrice de grande classe.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Avec son portrait d'une jeune veuve, Lilia, soudainement happée par la danse et la sensualité, la cinéaste tunisienne Raja Amari réussit un premier long métrage subversif et troublant, loin des clichés habituels sur l'émancipation de la femme maghrébine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Un film aussi sensuel que son titre. Une histoire happée par le désir, efficacement joué, convaincante, passionnée. On aime.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
On regrettera seulement que les danses du cabaret de Tunis, filmées avec un évident plaisir, deviennent répétitives et longuettes, mais on appréciera la façon dont, par petites touches, la réalisatrice esquisse les données sociales de son récit, et l'on surveillera, désormais, le nom de Raja Amari...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une jeune cinéaste tunisienne explore avec retenue mais sans pudeur les hiatus entre tradition et modernité au Maghreb. La féminité arabe explose en restant digne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Le film doit aussi sa réussite à la manière subtile dont la comédienne aborde son rôle, qui l'oblige à passer avec un maximum de vraisemblance de l'abattement du veuvage à la passion amoureuse. La mise en scène de Raja Amari ne s'essaie à aucune virtuosité mais convainc par l'accord qu'elle trouve avec son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Olivier De Bruyn
Si Raja a le courage de s'attaquer à deux tabous costauds dans le Maghreb (l'image de la mère et celle de la veuve), son film préfère les petites touches impressionistes aux gros coups de pinceaux dénonciateurs. Du coup, Satin Rouge instaure un parfum enivrant.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
(...) Raja Amari brosse un très beau portrait de femme, servie par la superbe composition de Hiyam Abbas qui s'efface totalement derrière son rôle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Baptiste Piégay
Paradoxalement, à trop vouloir filmer la chair, le film oublie de s'intéresser aux sens, qui seuls permettent d'en avoir une idée. Pourtant, le film laisse l'impression d'une douce victoire lorsque Lilia s'offre enfin le seul luxe gratuit : le plaisir de vivre, qui l'emporte sur l'amertume. Les sensations, filmées brutes, deviennent alors émouvantes.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Un film d'auteur... c'est le mot, avec ses avantages et ses défauts. (...) Un film sur la vie, celle que l'on commence ou que l'on reprend, qui en manque peut-être un peu, justement.
Télérama
par Louis Guichard
Un premier film en finesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
Raja Amari filme sans pittoresque le choc de deux univers -la domesticité contre le spectacle- et les allers-retours sensuels qui en résultent. Si l'on peut lui reprocher quelques flottements scénaristiques, la (jeune) cinéaste explore admirablement ces tabous culturels, magistralement aidée en cela par une actrice épatante: Hiam Abbass.
Aden
Le plus réussi est que Raja Amari mène son personnage à cette révolution avec une douce détermination.
Africultures.com
Ce n'est plus pour lui qu'elle danse mais pour elle-même, pour toutes les femmes, tout comme ce très beau film.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
(...) Raja Amari nous conduit dans les eaux mouvantes de l'ambiguité. Parfois sombres et effrayantes, parfois surprenantes et drôles, celles-ci nous bercent de leurs ondulations et, par un retrait vite effacé, nous laissent entrevoir, enfouie, un peu de la vérité des hommes et des femmes.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Sujet provocant et mise en scène délicate, un petit film capiteux et pourtant frais, parfaitement interprété par une actrice de grande classe.
Le Monde
Avec son portrait d'une jeune veuve, Lilia, soudainement happée par la danse et la sensualité, la cinéaste tunisienne Raja Amari réussit un premier long métrage subversif et troublant, loin des clichés habituels sur l'émancipation de la femme maghrébine.
Le Parisien
Un film aussi sensuel que son titre. Une histoire happée par le désir, efficacement joué, convaincante, passionnée. On aime.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
On regrettera seulement que les danses du cabaret de Tunis, filmées avec un évident plaisir, deviennent répétitives et longuettes, mais on appréciera la façon dont, par petites touches, la réalisatrice esquisse les données sociales de son récit, et l'on surveillera, désormais, le nom de Raja Amari...
Les Inrockuptibles
Une jeune cinéaste tunisienne explore avec retenue mais sans pudeur les hiatus entre tradition et modernité au Maghreb. La féminité arabe explose en restant digne.
Libération
Le film doit aussi sa réussite à la manière subtile dont la comédienne aborde son rôle, qui l'oblige à passer avec un maximum de vraisemblance de l'abattement du veuvage à la passion amoureuse. La mise en scène de Raja Amari ne s'essaie à aucune virtuosité mais convainc par l'accord qu'elle trouve avec son sujet.
Première
Si Raja a le courage de s'attaquer à deux tabous costauds dans le Maghreb (l'image de la mère et celle de la veuve), son film préfère les petites touches impressionistes aux gros coups de pinceaux dénonciateurs. Du coup, Satin Rouge instaure un parfum enivrant.
TéléCinéObs
(...) Raja Amari brosse un très beau portrait de femme, servie par la superbe composition de Hiyam Abbas qui s'efface totalement derrière son rôle.
Cahiers du Cinéma
Paradoxalement, à trop vouloir filmer la chair, le film oublie de s'intéresser aux sens, qui seuls permettent d'en avoir une idée. Pourtant, le film laisse l'impression d'une douce victoire lorsque Lilia s'offre enfin le seul luxe gratuit : le plaisir de vivre, qui l'emporte sur l'amertume. Les sensations, filmées brutes, deviennent alors émouvantes.
MCinéma.com
Un film d'auteur... c'est le mot, avec ses avantages et ses défauts. (...) Un film sur la vie, celle que l'on commence ou que l'on reprend, qui en manque peut-être un peu, justement.
Télérama
Un premier film en finesse.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com