Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Humanité
par Lucie Fratta-Orsolin
Nora El Hourch étudie ce milieu sans a priori et retranscrit avec justesse le langage des banlieues : les échanges sont réalistes, le phrasé crédible. La dureté des propos surprend, quitte à choquer sciemment le spectateur. Les trois actrices, Leah Aubert, Médina Diarra et Salma Takaline, ont une complicité qui crève l’écran.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Valérie Beck
Un premier film réussi en forme d’ode à l’amitié.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marie Claire
par Garance Fragne
Un premier film plein d'espoir, qui conte la sororité au-delà des frontières sociales. Et rappelle que le féminisme sans lutte des classes et sans anti-racisme n'est pas féministe.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Plus de six ans après sa déferlante, la vague Me Too touche enfin dans les quartiers populaires. Nécessaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Médina Diarra, Leah Aubert et Salma Takaline sont épatantes, remuantes et drôles, dans ce récit fougueux farouchement féministe, sur le passage à l’âge adulte et la rage d’une liberté à conquérir. Leur colère, leur énergie brute et leur soif de vivre sont puissantes.
L'Obs
par Sophie Grassin
Le scénario est un peu brouillon, mais la réalisatrice, sans aucun doute fan de Kechiche, sait aborder avec nuance les questions du consentement, des privilèges de classe et de la double culture dans ce film électrique porté par « El violador eres tu », hymne féministe contre la culture du viol, qui sonde #MeToo en banlieue et révèle trois fichues graines d’actrices.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un récit fougueux farouchement féministe.
Le Parisien
par Catherine Balle
Si certaines répliques ou situations ne sonnent pas toujours juste, ce trio de copines se révèle attachant et le scénario édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Parfois subtil, parfois maladroit, le premier film de Nora El Hourch déborde sans nul doute de son cadre, mais sa fougue finit par toucher et exalter.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Le premier film de Nora El Hourch, qui décrit la rébellion d’un groupe de filles en banlieue, compense par son énergie véhémente une tendance à vouloir faire le tour exhaustif des problèmes auxquels elles sont confrontées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici
par La Rédaction
Pour ce premier film en plein dans l'ère du temps, Nora El Hourch parvient à mêler l'émotion à l'énergie juvénile.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Il y a là une belle énergie, mais la réalisatrice manque de finesse dans son écriture et l'interprétation de son attachant trio est inégale.
Le Monde
par M. Jo.
L’énergie passe, certes, mais sans réussir à faire oublier l’inexistence de la mise en scène, qui abandonne ses actrices en cours de route. Celles-ci se retrouvent d’ailleurs vite enfermées dans un récit d’« empowerment » qu’on voit venir de trop loin : en toute victime d’agression se trouverait une colleuse féministe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si l’on reconnaît à son trio d’actrices un certain panache pour incarner trois filles de leur temps, très au clair sur ces questions contemporaines, "HLM Pussy" se trouve, à l’image de son titre percutant, corseté dans une intention qui peine à dépasser son séduisant attirail.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Lou Hupel
Si les dialogues n’enlèvent rien à la fougue et la spontanéité de ses trois interprètes attachantes, ils échouent à véritablement transcender l’enjeu social et féministe de la lutte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Camille Brun
Le sujet est fort et ambitieux, et les jeunes comédiennes sont plutôt attachantes. Malheureusement, le scénario est si maladroit qu'il est difficile d'y croire.
Télérama
par Marie Sauvion
À l’arrivée, une belle énergie mais aussi beaucoup de maladresse dans ce premier long métrage, qui a le mérite de questionner le mouvement #MeToo en banlieue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Nora El Hourch étudie ce milieu sans a priori et retranscrit avec justesse le langage des banlieues : les échanges sont réalistes, le phrasé crédible. La dureté des propos surprend, quitte à choquer sciemment le spectateur. Les trois actrices, Leah Aubert, Médina Diarra et Salma Takaline, ont une complicité qui crève l’écran.
Le Figaro
Un premier film réussi en forme d’ode à l’amitié.
Marie Claire
Un premier film plein d'espoir, qui conte la sororité au-delà des frontières sociales. Et rappelle que le féminisme sans lutte des classes et sans anti-racisme n'est pas féministe.
Public
Plus de six ans après sa déferlante, la vague Me Too touche enfin dans les quartiers populaires. Nécessaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Médina Diarra, Leah Aubert et Salma Takaline sont épatantes, remuantes et drôles, dans ce récit fougueux farouchement féministe, sur le passage à l’âge adulte et la rage d’une liberté à conquérir. Leur colère, leur énergie brute et leur soif de vivre sont puissantes.
L'Obs
Le scénario est un peu brouillon, mais la réalisatrice, sans aucun doute fan de Kechiche, sait aborder avec nuance les questions du consentement, des privilèges de classe et de la double culture dans ce film électrique porté par « El violador eres tu », hymne féministe contre la culture du viol, qui sonde #MeToo en banlieue et révèle trois fichues graines d’actrices.
Le Dauphiné Libéré
Un récit fougueux farouchement féministe.
Le Parisien
Si certaines répliques ou situations ne sonnent pas toujours juste, ce trio de copines se révèle attachant et le scénario édifiant.
Les Fiches du Cinéma
Parfois subtil, parfois maladroit, le premier film de Nora El Hourch déborde sans nul doute de son cadre, mais sa fougue finit par toucher et exalter.
Libération
Le premier film de Nora El Hourch, qui décrit la rébellion d’un groupe de filles en banlieue, compense par son énergie véhémente une tendance à vouloir faire le tour exhaustif des problèmes auxquels elles sont confrontées.
Voici
Pour ce premier film en plein dans l'ère du temps, Nora El Hourch parvient à mêler l'émotion à l'énergie juvénile.
Le Journal du Dimanche
Il y a là une belle énergie, mais la réalisatrice manque de finesse dans son écriture et l'interprétation de son attachant trio est inégale.
Le Monde
L’énergie passe, certes, mais sans réussir à faire oublier l’inexistence de la mise en scène, qui abandonne ses actrices en cours de route. Celles-ci se retrouvent d’ailleurs vite enfermées dans un récit d’« empowerment » qu’on voit venir de trop loin : en toute victime d’agression se trouverait une colleuse féministe.
Les Inrockuptibles
Si l’on reconnaît à son trio d’actrices un certain panache pour incarner trois filles de leur temps, très au clair sur ces questions contemporaines, "HLM Pussy" se trouve, à l’image de son titre percutant, corseté dans une intention qui peine à dépasser son séduisant attirail.
Première
Si les dialogues n’enlèvent rien à la fougue et la spontanéité de ses trois interprètes attachantes, ils échouent à véritablement transcender l’enjeu social et féministe de la lutte.
Télé Loisirs
Le sujet est fort et ambitieux, et les jeunes comédiennes sont plutôt attachantes. Malheureusement, le scénario est si maladroit qu'il est difficile d'y croire.
Télérama
À l’arrivée, une belle énergie mais aussi beaucoup de maladresse dans ce premier long métrage, qui a le mérite de questionner le mouvement #MeToo en banlieue.