Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le réalisateur Darren Aronofsky est à son meilleur.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Brendan Fraser est magistral.
Voici
par La Rédaction
Remarquablement dirigé par Darren Aronofsky, Brendan Fraser est bouleversant.
20 Minutes
par Caroline Vié
« The Whale » marque le retour de Brendan Fraser, notamment connu aux débuts des années 2000 pour la saga « La Momie » et « George de la jungle ». Sa prestation emporte ce mélodrame déchirant qui n’a rien de grossophobe.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Habitué des exercices d’empathie, Darren Aronofsky nous présente Charlie, quinquagénaire obèse qui solde ses comptes. D’une puissance que seuls de rares cinéastes savent maîtriser.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Clément Costa
Trop verbeux, trop larmoyant, The Whale risque de perdre bon nombre de spectateurs en chemin. Il finit cependant par renverser ses défauts grâce à un Brandon Fraser exceptionnel et une honnêteté à toute épreuve tant dans l’écriture que dans la mise en scène. Reste alors un film trouble, contradictoire et passionnant dans ses imperfections.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
En lice pour l’Oscar du meilleur acteur, Brendan Fraser bouleverse dans le rôle d’un enseignant souffrant d’une obésité morbide en quête de rédemption.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Brendan Fraser incarne toute la malédiction des perdants, un martyr de la boulimie. Dans son regard se récapitulent cinquante nuances de chagrin. Le régime draconien du docteur Aronofsky lui vaudra sans doute un Oscar. Il faut convenir que son talent n’est pas mince.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La mise en scène inspirée de Darren Aronofsky transcende le huis clos pour esquisser avec empathie le portrait d’un antihéros en proie à la solitude et à la culpabilité, tout en véhiculant les valeurs religieuses qui importent tant au cinéaste (la rédemption et le pardon).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Un film bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Aronofsky hérite des forces et des faiblesses de la pièce qu’il adapte, mais s’approprie le matériau par sa mise en scène et son casting, Brendan Fraser en tête.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Alexandre Poncet
S'il souffre d'un excès de dialogues explicatifs issu de sa forme théâtrale originelle, mais aussi de quelques réflexes mélodramatiques auxquels nous a habitués l'auteur de "The Wrestler", "The Whale" distille suffisamment de visions horrifiques et de moments déchirants pour bouleverser les certitudes de son public.
Télé 2 semaines
par M.L.
L'attention portée à Brendan Fraser lors de toutes les cérémonies de remises de prix aux États-Unis est méritée. Dans la peau d'un prof qui souffre d'obésité morbide, plombé par le deuil et la culpabilité, l'acteur est extraordinaire.
Télé Loisirs
par M.L.
[...] l'acteur est prodigieux. Une performance aussi physique que dramatique, au diapason d'un mélo aux sentiments troubles, réalisé par un Darren Aronofsky très inspiré.
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Avec The Whale, Aronofsky assume de verser dans le grand mélodrame intimiste, aussi émouvant qu’impressionnant, sans être larmoyant ni performatif.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par Françoise Delbecq
Un huis clos étouffant où l'air se renouvelle grâce aux personnages secondaires.
L'Obs
par François Forestier
Brendan Fraser, dans le rôle principal, est incroyable, et les effets spéciaux (une combinaison de numérique et de silicone) sont impressionnants. Bien dans le style d’Aronofsky (« Black Swan »), le film est inconfortable : la « baleine » du titre nous renvoie à la monstruosité d’une société de l’abondance qui s’asphyxie sous les biens de consommation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Si Aronofsky (« Black Swan ») a du mal à retrouver sa maestria de mise en scène dans ce huis clos convenu, voilà pourtant un film déroutant, au propos fort sur la tyrannie du corps parfait et la différence.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Josué Morel
Dépouillé de ses oripeaux numériques, le cinéma d’Aronofsky fait sienne une conception de l’épure discutable, moins visuellement surchargée mais tout aussi maniérée : celle du mauvais théâtre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Lucy Ford
Une œuvre qui prétend défendre des valeurs d’empathie et de soin, n’est rien d’autre qu’un film-choc assez monstrueux.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Monde
par Murielle Joudet
The Whale orchestre un véritable rituel sadomasochiste auquel nous aura habitués Darren Aronofksy, abonné aux chemins de croix pontifiants et aux métaphores lourdaudes. Le cinéaste, qui avait déjà organisé le come-back de Mickey Rourke dans The Wrestler (2009), ne déroge pas à sa vision faussement implacable de l’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Sylvestre Picard
Des visions encore plus fortes que dans The Wrestler, son précédent chasseur de trophées, mais qui donnent quand même l'impression que le réalisateur de Requiem for a Dream et Black Swan semble avoir désormais bien du mal (témoin l'épuisant Mother!) à porter à l'écran tout son mojo de cinéma qui l'anime.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Dans le rôle de Charlie, Brendan Fraser se montre excessivement combatif, faisant tout pour que sa performance soit couronnée d’un Oscar…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Rivé à la détresse de son héros, (Aronofsky) déroule à son endroit un effarant martyrologe plongé dans des ambiances glauques de crypte crasseuse et ne lésinant pas sur le dolorisme larmoyant. C’est qu’il y a un homme sous la montagne de graisse !, plaide le réalisateur... mais trop tard : l’insulte a déjà fusé.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
"The Whale", de par sa construction dramaturgique programmatique, déploie durant deux heures les pires travers du mauvais théâtre filmé, boursouflé par une virtuosité aussi vaine que poussive.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
The Whale, scolaire et bébête, enfile les clichés et les platitudes psychologisantes sur la souffrance, l’adolescence, la vie, la mort, la coiffure de manière totalement et paradoxalement désincarnée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Un prodige de voyeurisme qui nous invite à nous rincer l’œil sur du monstrueux, sans même s’imposer la décence de convier le monstre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le réalisateur Darren Aronofsky est à son meilleur.
Le Dauphiné Libéré
Brendan Fraser est magistral.
Voici
Remarquablement dirigé par Darren Aronofsky, Brendan Fraser est bouleversant.
20 Minutes
« The Whale » marque le retour de Brendan Fraser, notamment connu aux débuts des années 2000 pour la saga « La Momie » et « George de la jungle ». Sa prestation emporte ce mélodrame déchirant qui n’a rien de grossophobe.
CinemaTeaser
Habitué des exercices d’empathie, Darren Aronofsky nous présente Charlie, quinquagénaire obèse qui solde ses comptes. D’une puissance que seuls de rares cinéastes savent maîtriser.
Ecran Large
Trop verbeux, trop larmoyant, The Whale risque de perdre bon nombre de spectateurs en chemin. Il finit cependant par renverser ses défauts grâce à un Brandon Fraser exceptionnel et une honnêteté à toute épreuve tant dans l’écriture que dans la mise en scène. Reste alors un film trouble, contradictoire et passionnant dans ses imperfections.
La Croix
En lice pour l’Oscar du meilleur acteur, Brendan Fraser bouleverse dans le rôle d’un enseignant souffrant d’une obésité morbide en quête de rédemption.
Le Figaro
Brendan Fraser incarne toute la malédiction des perdants, un martyr de la boulimie. Dans son regard se récapitulent cinquante nuances de chagrin. Le régime draconien du docteur Aronofsky lui vaudra sans doute un Oscar. Il faut convenir que son talent n’est pas mince.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène inspirée de Darren Aronofsky transcende le huis clos pour esquisser avec empathie le portrait d’un antihéros en proie à la solitude et à la culpabilité, tout en véhiculant les valeurs religieuses qui importent tant au cinéaste (la rédemption et le pardon).
Le Parisien
Un film bouleversant.
Les Fiches du Cinéma
Aronofsky hérite des forces et des faiblesses de la pièce qu’il adapte, mais s’approprie le matériau par sa mise en scène et son casting, Brendan Fraser en tête.
Mad Movies
S'il souffre d'un excès de dialogues explicatifs issu de sa forme théâtrale originelle, mais aussi de quelques réflexes mélodramatiques auxquels nous a habitués l'auteur de "The Wrestler", "The Whale" distille suffisamment de visions horrifiques et de moments déchirants pour bouleverser les certitudes de son public.
Télé 2 semaines
L'attention portée à Brendan Fraser lors de toutes les cérémonies de remises de prix aux États-Unis est méritée. Dans la peau d'un prof qui souffre d'obésité morbide, plombé par le deuil et la culpabilité, l'acteur est extraordinaire.
Télé Loisirs
[...] l'acteur est prodigieux. Une performance aussi physique que dramatique, au diapason d'un mélo aux sentiments troubles, réalisé par un Darren Aronofsky très inspiré.
aVoir-aLire.com
Avec The Whale, Aronofsky assume de verser dans le grand mélodrame intimiste, aussi émouvant qu’impressionnant, sans être larmoyant ni performatif.
Elle
Un huis clos étouffant où l'air se renouvelle grâce aux personnages secondaires.
L'Obs
Brendan Fraser, dans le rôle principal, est incroyable, et les effets spéciaux (une combinaison de numérique et de silicone) sont impressionnants. Bien dans le style d’Aronofsky (« Black Swan »), le film est inconfortable : la « baleine » du titre nous renvoie à la monstruosité d’une société de l’abondance qui s’asphyxie sous les biens de consommation.
Paris Match
Si Aronofsky (« Black Swan ») a du mal à retrouver sa maestria de mise en scène dans ce huis clos convenu, voilà pourtant un film déroutant, au propos fort sur la tyrannie du corps parfait et la différence.
Critikat.com
Dépouillé de ses oripeaux numériques, le cinéma d’Aronofsky fait sienne une conception de l’épure discutable, moins visuellement surchargée mais tout aussi maniérée : celle du mauvais théâtre.
GQ
Une œuvre qui prétend défendre des valeurs d’empathie et de soin, n’est rien d’autre qu’un film-choc assez monstrueux.
Le Monde
The Whale orchestre un véritable rituel sadomasochiste auquel nous aura habitués Darren Aronofksy, abonné aux chemins de croix pontifiants et aux métaphores lourdaudes. Le cinéaste, qui avait déjà organisé le come-back de Mickey Rourke dans The Wrestler (2009), ne déroge pas à sa vision faussement implacable de l’humanité.
Première
Des visions encore plus fortes que dans The Wrestler, son précédent chasseur de trophées, mais qui donnent quand même l'impression que le réalisateur de Requiem for a Dream et Black Swan semble avoir désormais bien du mal (témoin l'épuisant Mother!) à porter à l'écran tout son mojo de cinéma qui l'anime.
Télérama
Dans le rôle de Charlie, Brendan Fraser se montre excessivement combatif, faisant tout pour que sa performance soit couronnée d’un Oscar…
Cahiers du Cinéma
Rivé à la détresse de son héros, (Aronofsky) déroule à son endroit un effarant martyrologe plongé dans des ambiances glauques de crypte crasseuse et ne lésinant pas sur le dolorisme larmoyant. C’est qu’il y a un homme sous la montagne de graisse !, plaide le réalisateur... mais trop tard : l’insulte a déjà fusé.
Culturopoing.com
"The Whale", de par sa construction dramaturgique programmatique, déploie durant deux heures les pires travers du mauvais théâtre filmé, boursouflé par une virtuosité aussi vaine que poussive.
Les Inrockuptibles
The Whale, scolaire et bébête, enfile les clichés et les platitudes psychologisantes sur la souffrance, l’adolescence, la vie, la mort, la coiffure de manière totalement et paradoxalement désincarnée.
Libération
Un prodige de voyeurisme qui nous invite à nous rincer l’œil sur du monstrueux, sans même s’imposer la décence de convier le monstre.