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1 critique
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2,0
Publiée le 15 octobre 2023
Quel honte ! Aucun moment ou j’ai sursauter mais bon je met 2 étoile car sa m’a bien fait rigoler le film met beaucoup De temp a démarré et il n’y a vraiment aucun suspense Je pense que même le nouveau film les trolls 3 m’aurait bien + fait peur
Attention, c'est une vision très particulière de présenter une possession et un exorciste. Le film est avant tout centré sur l'entourage, et notamment sur la communion entre les gens, de leur capacité à communiquer, à avoir foi envers l'autre, à collaborer en respectant chacun d'entre nous, avec nos différences. Le réalisateur veut nous faire passer un message et sur ce point, c'est plutôt réussi. Il est toutefois évident que la tournure du scénario est difficile et peut même choquer. Chacun percevra les choses différemment.
David Gordon Green n'est pas un réalisateur dénué de talent comme l'a prouvé sa pourtant décrié trilogie d'halloween. Son interprétation de l'exorciste était donc attendue et le film a pâti bien avant sa sortie d'une très mauvaise presse. Alors si le film multiplie les clin d'œil au classique de Friedkin, notamment à travers le retour du personnage d'elle Burstyn et le cameo de Linda Blair, il n'en a pas du tout la puissance subversive. On pourra même trouver le film woke dans sa volonté de réunir toutes les croyances et religions du christianisme au paganisme. De plus, dans le choix des deux victimes, le film se présente comme inclusif. Le problème est que le film perd en subversion. Tout est très propre même si le film réussit à surprendre dans son dénouement et que sa première partie particulièrement bien réalisée réussit à créée un climat d'angoisse avec quasiment aucun effet. C'est quand on rentre vraiment dans le sujet que le film retombe comme un soufflé. Il y a d'ailleurs finalement peu de scènes chocs, au point que l'on regrette les quelques très laids effets spéciaux, ce qui est aurait pu être un gage de qualité si le film avait été mieux écrit et moins académique. Pas déshonorant mais assez fade en comparaison du grand classique de Friedkin.
En relançant la saga originale The Exorcist, David Gordon Green construit un pont entre deux licences qui ne s’étaient jusqu’alors jamais rencontrées en raison de leur profonde différence de regard sur le Mal, l’un raccordé à la religion (ladite saga The Exorcist), l’autre écarté de tout ancrage religieux, capté à l’état brut dans des exécutions cliniques sans rédemption aucune (Halloween). L’esthétique adoptée par le cinéaste est similaire : importance des jeux de lumières et des couleurs néons, gros plans sur des visages diaboliques, police d’écriture similaire pour le générique, mise en scène volontiers fragmentaire qui se plaît, en recourant à un montage rapide qui demeure lisible, à associer des scènes courtes dépourvues d’unité de lieu et de temps, parfois même à pulvériser une même scène en petits éclats. Ce choix singulier donne au film une complexité quelque peu artificielle, mais participe d’une atmosphère anxiogène qui incarne à l’image la thématique de fond : rassembler. La cocotte en papier dépliée furtivement en est le symbole.
Le long métrage semble condenser les trois chapitres de la résurrection de Michael Myers entre 2018 et 2022, intégrant au retour du démon (premier épisode) la frénésie d’un collectif (deuxième épisode) occasionnant une transmission du Mal, une contamination qu’il faudra stopper (troisième épisode). David Gordon Green commence par insister sur les dérèglements du quotidien qui isolent les individus et fragilisent les familles, présentant les intervenants extérieurs comme des fanatiques ou des fous – la vielle voisine qui se plaint des poubelles, les membres de la paroisse qui investissent la maison etc. – pour mieux représenter la nécessaire refonte de la communauté à la manière d’un cercle sacré intégrant les anciens et les nouveaux, le passé et le présent. La clausule prend la peine d’étendre cette morale, de lui garantir une universalité : quelle que soit la religion, l’essentiel est de croire parce que la croyance contient autrui et donc le remède au Mal. Un tel élan humaniste et mystique, lourdement amené par des dialogues verbeux, surprend néanmoins un spectateur comme exorcisé du divertissement horrifique qu’il venait voir et des images qu’il avait en tête, convié à la « bénédiction », comprenons à « dire du bien » en conjuration au Mal ambiant. Un film inégal mais stimulant.
Vraiment déçu de ce film plat et même pas effrayant ni angoissant. Dommage pour une série culte. Les autres versions précédentes étaient de bien meilleure qualité.
Le film est prenant, se regarde facilement quand on aime le genre. Ce n'est pas une suite , l'histoire est différente, elle manque un peu de développement à la fin et lorsque les deux jeunes filles se font posséder, mais ça tient la route et ne mérite certainement pas des notes de une ou deux étoiles !! Allez le voir !
Film pour moi inégal autant le début du film nous tien en haleine autant les 40 dernières minutes m'ont moins convaincue. Tout à coup tout s'accélerent et gâche un peu le rythme du film ce qui m'a ennuyée une peu. Malgrés tous il souléve des éléments intérressant si on passe les défauts et se pose des questions sur le lien entre les religions et une personne athée. Sur le choix que l'on doit faire face à certains évenements.
Quelle déception! Je me suis endormi. Le rythme du film est poussif, le jeu des acteurs épouventable, et un scénario plus que bancal... Une soupe bien amère qui aurait dû laisser le vieux pot tranquille.
Juste EXCELLENT!! j'avais peur d'être déçu par rapport au premier (1973) étant fan de ce film depuis le début, vu et revu et connaissant donc bien les répliques et les personnage de l'original, je suis finalement agréablement surprise de l'excellence de ce film qui rejoint en tout point l'excellence du premier. Heureusement que je ne me suis pas arreté aux critiques de la presse (qui pour la plupart n'était pas nés lors de la sortie du premier), j'ai voulu juger par moi même et j'ai bien fais car j'ai adoré tout le long et surtout surtout la fin (mais chuttt). Pour tous les fans du premier ne vous fiez pas aux critiques et aller juger par vous même!! viviement la suite :-)
Un remake banal avec quelques scènes flippantes. La réalisation de David Gordon Green est prenante mais le scénario très prévisible sauf une ouverture assez originale durant le séisme à Haïti en 2010. Le débat sur la religion ne vole pas très haut non plus.
William Friedkin a posé les bases voir les fondations de ce qu'allait être un film d'exorcisme, malheureusement le reste souffrira de la comparaison. L'original prenait son temps, nous présentait des personnages faisant preuve de bon sens, tentant de trouver une raison logique aux événements, que ce soit de la part des médecin ou du père Karras avant de se résoudre à l'évidence, Friedkins évitant tout sensationnalisme. David grodon Green avait a peu près réussi a livrer une suite d'halloween satisfaisante avant d'en faire n'importe quoi, avec cet exorciste, il se plante dès le début, n'ayant apparemment pas saisie toute la subtilité dont faisais par le film original. On aura a faire a des jumpscares tape a l'œil, et surtout une histoire peu novatrice, le cinéma ayant déjà exorciser tout et n'importe quoi depuis dès décennie, si l'on est pas un minimum créatif, on se répète forcément. Ellen Burstyn ajoute ce petit côté nostalgique, mais sa présence ne suffit pas à en faire un film inoubliable comme son modèle.
C'est plat...aucune scène marquante rien ne sort de l'ordinaire et aucun moment de tensions. Scénario catastrophique...je sais pas trop quoi dire tellement je suis étonné de ce film. Même les films d'horreur pour ado propose souvent un peu du Trash ou 2/3 jumpscares mais là rien vraiment rien ! Aucune explication...rien...enfaite ce film c'est RIEN !