Note moyenne
1,9
16 titres de presse
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L'Ecran Fantastique
Dépourvu de réelle radicalité et de toute forme de légitimité, ce divertissement demeure une copie très propre (trop, peut-être), nanti d’une réalisation experte et faisant le pari de s’intéresser longuement à ses protagonistes [...].
Le Journal du Dimanche
Personne n'égalera jamais William Friedkin, mais David Gordon Green ne s'en sort pas si mal, en choisissant de relayer une terreur de notre société : les disparitions inquiétantes d'enfants.
Le Parisien
Si le résultat se laisse voir sans peine, et que les références citées plus haut font plaisir, on reste quand même très loin du niveau du premier film, voire même du troisième, en général considéré comme la meilleure suite de toute la saga.
Mad Movies
"L'Exorciste - Dévotion" est souvent laborieux dans sa manière de payer son tribut à l'opus inaugural de Friedkin. Mais par ailleurs, il est porteur de promesses qui sont loin d'être négligeables.
Sud Ouest
Loin d’être un remake ou une véritable suite, « Devotion » doit être pris comme la continuité du travail d’un artiste plutôt que d’un énième « Exorciste ». Selon l’état d’esprit dans lequel on entre dans la salle, on pourra donc être déçu ou séduit par les partis pris de l’histoire.
Critikat.com
De la foi, c’est ce qui manque cruellement à cet Exorciste version 2023.
Ecran Large
Il est assez fascinant de voir "L’Exorciste : Dévotion" rater tout ce qu’il entreprend, au point où ses paradoxes finissent de nourrir sa bêtise et un contresens de son modèle. On espère juste que William Friedkin ne se retourne pas dans sa tombe.
Les Fiches du Cinéma
Après "Halloween", David Gordon Green entend réinventer un autre monument du cinéma d’horreur. Il déjoue les attentes et renouvelle les codes, au profit d’un traitement plus politique et social. Ambitieux, le projet pâtit d’une affectée outrancière et prétentieuse.
Télérama
Réalisé par le désormais taulier du déterrage horrifique David Gordon Green, c’est bien un film à part entière plutôt qu’une suite. Il n’y a plus une enfant à exorciser, mais deux… Et, quand même, un retour d’Ellen Burstyn, interprète du film de 1973, pour un clin d’œil balourd.
Cahiers du Cinéma
Comme les parents de jeunes possédés, David Gordon tâtonne, s’époumone pour qu’on y croie, alors que le programme est aussi balisé qu’un vieux train fantôme.
Filmsactu
Un ratage total d'une débilité profonde qui fait passer le récent L'Exorciste du Vatican avec Russell Crowe pour un chef d'oeuvre.
L'Obs
Produire, pour fêter les 50 ans du film de William Friedkin, une nouvelle trilogie inspirée du roman de William Peter Blatty, ça sent déjà le réchauffé. A l’écran, ça sent carrément le roussi.
Le Monde
Ce nouvel opus tétanisé par le Malin se contente donc d’ânonner les passages obligés de son modèle, vidés du moindre reste de subversion.
Le Point
On s’y attendait et elle ne déçoit pas : cette suite-reboot du chef-d’œuvre de 1973 présente tous les stigmates du ratage carabiné. Ne vous laissez pas posséder : fuyez.
Ouest France
On reste à des années-lumière du choc provoqué par le film de William Friedkin voilà pile soixante ans.
Télé Loisirs
David Gordon Green signe un opus trop lisse et faible en frissons.