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Signé par la réalisatrice canadienne Sarah Polley et sublimement interprété par Claire Foy, Rooney Mara, Jessie Buckley et Frances McDormand, ce drame féministe sublime les mots, lesquels semblent être la meilleure arme pour combattre les maux.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Tourné vers la toute-puissance de la parole qui s’exprime au sein de plusieurs générations et agit comme une réflexion collective cathartique, Women Talking impose au travers de ce chœur de voix féminines tragiques sa vertu de grand film manifeste pour un autre monde, de liberté et d’égalité pour les femmes.
Adaptation d’un roman de Miriam Toews, Ce qu’elles disent (Buchet-Chastel, 2019), Women Talking, en lice pour l’Oscar du meilleur film, est une œuvre puissante sur la parole des femmes et la condition féminine.
Dans ce film en lice pour les Oscars, la réalisatrice canadienne raconte une histoire forte de lutte contre l’oppression masculine. Un long-métrage au message universel en lien direct avec le passé de la cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La double citation aux Oscars (meilleur scénario adapté et meilleur film) de Women Talking, œuvre où les femmes sont majoritaires des deux côtés de la caméra, a donné un coup de projecteur inattendu sur cette œuvre âpre.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La réalisatrice et brillante activiste canadienne Sarah Polley a choisi de porter à l’écran le roman de Miriam Toews, Women Talking, et livre un film intensément féminin et éminemment féministe.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
C’est un film de dialogue philosophique comme il y en a peu, c’est-à-dire une œuvre dialectique, théâtralisée, où se pose collectivement un dilemme de tragédie, qu’une parole intelligente et intelligible seule peut résoudre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Théâtral, bavard mais passionnant, le film, tiré d'un roman de Miriam Toews, écrivaine canadienne d'ascendance mennonite, vaut beaucoup pour les performances de ses actrices.
Adapté du roman éponyme de Miriam Toews, Women Talking ne saurait être réduit à un décalque prosaïque du film de procès. Sarah Polley va plus loin et compose, par-delà son réquisitoire contre la violence sexuelle institutionnalisée, un manifeste déchaîné sur l’avènement du matriarcat.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Sarah Polley tire de cette histoire basée sur des faits réels une allégorie de la condition féminine à laquelle le malheur serait consubstantiel, et ne serait réparable que par un mode d’expression doloriste que le film embrasse sans honte. (...) Si le didactisme en fiction a toujours ses faiblesses, celui de Women Talking a au moins le mérite de sa radicalité.
L’intensité de Claire Foy et Jessie Buckley, mais aussi l’élégance de Ben Whishaw, seul homme de la distribution, assurent à Women Talking d’être perpétuellement captivant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Une œuvre âpre sur la révolution en marche et l’émergence d’une parole libre au sein d’une assemblée non mixte qui résonne évidemment avec le contexte post-MeToo.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les discussions, portées par des actrices formidables, résonnent fort et juste (on passera sur l’éloquence de personnages censés être analphabètes). Dommage que Sarah Polley n’assume pas la dimension rhétorique de son film et se sente obligée de lui donner une ampleur artificielle à grand renfort de plans au drone et de détours scénaristiques balourds.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Des femmes qui parlent de femmes au sein d’une colonie mennonite intégriste, ce pourrait être rébarbatif. Le pari est pourtant réussi, grâce à l’intelligence des dialogues qui laissent exister l’argumentation et la performance des comédiennes, sœurs de douleur.
Sarah Polley croit suffisamment à l’inspiration de ses actrices (à raison) et aux élans de sa mise en scène (échappées malickiennes restituant un Eden perdu) pour éviter la redondance et ainsi faire oublier le côté un peu scolaire et trop bien élevé de l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Première
Malgré la qualité de l’interprétation, le film peine à échapper aux pièges du didactisme, du manichéisme et traîne douloureusement en longueur. Une trop longue conversation.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
CNews
Signé par la réalisatrice canadienne Sarah Polley et sublimement interprété par Claire Foy, Rooney Mara, Jessie Buckley et Frances McDormand, ce drame féministe sublime les mots, lesquels semblent être la meilleure arme pour combattre les maux.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Tourné vers la toute-puissance de la parole qui s’exprime au sein de plusieurs générations et agit comme une réflexion collective cathartique, Women Talking impose au travers de ce chœur de voix féminines tragiques sa vertu de grand film manifeste pour un autre monde, de liberté et d’égalité pour les femmes.
Le Dauphiné Libéré
Adaptation d’un roman de Miriam Toews, Ce qu’elles disent (Buchet-Chastel, 2019), Women Talking, en lice pour l’Oscar du meilleur film, est une œuvre puissante sur la parole des femmes et la condition féminine.
Le Parisien
Dans ce film en lice pour les Oscars, la réalisatrice canadienne raconte une histoire forte de lutte contre l’oppression masculine. Un long-métrage au message universel en lien direct avec le passé de la cinéaste.
20 Minutes
La double citation aux Oscars (meilleur scénario adapté et meilleur film) de Women Talking, œuvre où les femmes sont majoritaires des deux côtés de la caméra, a donné un coup de projecteur inattendu sur cette œuvre âpre.
Bande à part
La réalisatrice et brillante activiste canadienne Sarah Polley a choisi de porter à l’écran le roman de Miriam Toews, Women Talking, et livre un film intensément féminin et éminemment féministe.
Ecran Large
Malgré des limites évidentes, Women Talking a une dimension universelle si vivifiante qu'il attrape le cœur pour ne plus jamais le lâcher.
Elle
Un passionnant film au féminin.
Le Figaro
La force de l’argumentation, la dialectique et l’expérience démocratique radicale se nichent au cœur de Women Talking.
Libération
C’est un film de dialogue philosophique comme il y en a peu, c’est-à-dire une œuvre dialectique, théâtralisée, où se pose collectivement un dilemme de tragédie, qu’une parole intelligente et intelligible seule peut résoudre.
Télé 2 semaines
Théâtral, bavard mais passionnant, le film, tiré d'un roman de Miriam Toews, écrivaine canadienne d'ascendance mennonite, vaut beaucoup pour les performances de ses actrices.
Voici
Une réussite.
aVoir-aLire.com
Adapté du roman éponyme de Miriam Toews, Women Talking ne saurait être réduit à un décalque prosaïque du film de procès. Sarah Polley va plus loin et compose, par-delà son réquisitoire contre la violence sexuelle institutionnalisée, un manifeste déchaîné sur l’avènement du matriarcat.
Cahiers du Cinéma
Sarah Polley tire de cette histoire basée sur des faits réels une allégorie de la condition féminine à laquelle le malheur serait consubstantiel, et ne serait réparable que par un mode d’expression doloriste que le film embrasse sans honte. (...) Si le didactisme en fiction a toujours ses faiblesses, celui de Women Talking a au moins le mérite de sa radicalité.
CinemaTeaser
L’intensité de Claire Foy et Jessie Buckley, mais aussi l’élégance de Ben Whishaw, seul homme de la distribution, assurent à Women Talking d’être perpétuellement captivant.
L'Humanité
Une œuvre âpre sur la révolution en marche et l’émergence d’une parole libre au sein d’une assemblée non mixte qui résonne évidemment avec le contexte post-MeToo.
L'Obs
Les discussions, portées par des actrices formidables, résonnent fort et juste (on passera sur l’éloquence de personnages censés être analphabètes). Dommage que Sarah Polley n’assume pas la dimension rhétorique de son film et se sente obligée de lui donner une ampleur artificielle à grand renfort de plans au drone et de détours scénaristiques balourds.
Les Fiches du Cinéma
Des femmes qui parlent de femmes au sein d’une colonie mennonite intégriste, ce pourrait être rébarbatif. Le pari est pourtant réussi, grâce à l’intelligence des dialogues qui laissent exister l’argumentation et la performance des comédiennes, sœurs de douleur.
Première
Sarah Polley croit suffisamment à l’inspiration de ses actrices (à raison) et aux élans de sa mise en scène (échappées malickiennes restituant un Eden perdu) pour éviter la redondance et ainsi faire oublier le côté un peu scolaire et trop bien élevé de l’ensemble.
Rolling Stone
Adapté d’un roman de Miriam Toews, le bien nommé Women Talking laisse une grande place au scénario sans être bavard.
Critikat.com
Pavé de bonnes intentions, le film n’échappe pas au piège du didactisme.
La Croix
Une fable aux résonances universelles, mais figée dans un dispositif trop rhétorique.
Le Journal du Dimanche
Un récit répétitif et assommant, mais incarné par des actrices habitées, Frances McDormand en tête.
Marianne
Ce film troublant s’abîme malheureusement dans les nouveaux codes de la correction sur le grand écran.
Sud Ouest
« Women talking » enferme ses personnages dans un dispositif trop théorique pour émouvoir.
Télérama
Une fiction qui pèche par excès d’intentions et de symboles.
Le Monde
Le film élabore son discours politique sans distance ni métaphore, fait la leçon à un spectateur qu’il faut déconstruire de toute urgence.
Les Echos
Malgré la qualité de l’interprétation, le film peine à échapper aux pièges du didactisme, du manichéisme et traîne douloureusement en longueur. Une trop longue conversation.