Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Bien sûr, le film repose sur le binôme Karin Viard et Ana Girardot. Elles prennent soin d'éviter tout manichéisme.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Si le film dessine avec finesse l'amour passionnel et extravagant d'une mère pour sa fille, et qu'il peint aussi avec justesse une époque, il passe en revanche un peu à côté de la dimension littéraire de son personnage, dans une mise en scène qui relègue l'acte d'écriture à des décors, à des accessoires, et une voix off.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Isabelle Brocard adapte avec intelligence la correspondance de Mme de Sévigné avec sa fille Françoise de Grignan et explore les relations mère-fille dans un film aux résonances très contemporaines. Karin Viard lui apporte toute sa sincérité et trouve là un rôle à sa mesure.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Françoise Dargent
Isabelle Brocard décrit avec une sincérité louable ce monde en robes et perruques longues qui s'épanche sur le papier, faisant parler les cœurs sous le crissement des plumes. Surtout, elle ne trahit jamais, par des anachronismes ou des licences excessives, cette langue somptueuse arrivée jusqu'à nous par la grâce d'une correspondance si particulière.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Un film d’époque passionnant et passionnel.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Hélène Marzolf
Un duel filial filmé subtilement, avec le patriarcat en toile de fond.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Isabelle Brocard construit un personnage complexe, jamais binaire, en la personne de Marie de Sévigné qui rappelle, en arrière-plan, combien les grandes écrivaines comme Madame de La Fayette ont contribué au combat en faveur de la liberté et de l’émancipation des femmes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Si la mise en scène souffre d’une certaine monotonie, le long-métrage à la très belle lumière naturelle a le mérite de s'intéresser à une riche correspondance - plus de 7.000 lettres - qui deviendra l’une des œuvres les plus célèbres de la littérature française.
La critique complète est disponible sur le site CNews
L'Humanité
par Lucie Fratta-Ortolin
En reprenant ses véritables écrits, la fiction s’ancre habilement dans le réel, même si la cour tient davantage de l’arène littéraire avec l’opposition de deux visions de la passion, celle de la Princesse de Montpensier et celle de la Princesse de Clèves.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par S.B.
La mise en scène est élégante, mais lisse : on aurait aimé davantage d’aspérités pour creuser la personnalité ambiguë de l’écrivaine, interprétée avec nuance par Karin Viard, toujours stupéfiante de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Jo.
Et c’est là qu’apparaît l’originalité du scénario, qui filme une relation filiale comme une histoire d’amour passionnée où Françoise glisse toujours de sa place, se rebiffe. Au passage se dessine cette belle idée : l’exigence d’indépendance de Madame de Sévigné n’est qu’une névrose comme une autre, bientôt une emprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Très classique, ce film est parfois éclairé de touches de modernité, notamment grâce au jeu des impeccables Karin Viard et Ana Girardot.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Faute d'ambition ou de budget à la hauteur, on a là un film moyen, heureusement sauvé par sa distribution, Karin Viard et Ana Girardot en tête, auxquels se joignent des comédiens qui s'imposent par leur seule présence, Cédric Kahn, Noémie Lvovsky et Robin Renucci (Monsieur de La Rochefoucauld).
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marie Claire
par Emily Barnett
Une reconstitution fine et intimiste.
Transfuge
par Séverine Danflous
"Madame de Sévigné" [...] contourne les attentes des habituels biopics.
Télé 2 semaines
par Cédric Choukroun
C'est cette relation aussi fusionnelle que dévastatrice qu'incarnent avec talent les actrices Karin Viard et Ana Girardot. Dommage que le film soit aussi classique que les fameuses lettres de Madame de Sévigné.
Télé Loisirs
par C.C.
C'est cette relation aussi fusionnelle que dévastatrice qu'incarnent avec talent Karin Viard et Ana Girardot. Dommage que le film soit aussi classique (...).
Voici
par La Rédaction
Le film explore une relation filiale dévorante sur fond de dépendance affective. Pourquoi pas.
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Ici, paysages campagnards, châteaux, costumes, perruques, bruits de sabots insistants, grattement de la plume sur le papier, crépitement du feu de cheminée et dialogues littéraires à souhait ont un mérite devenu trop rare : celui d’offrir le temps de les voir et les entendre. Isabelle Brocard les laisse s’afficher devant sa caméra avec de rares mouvements d’appareil routiniers, dévoilant toute la fragilité d’un genre par ailleurs condamné à l’excès.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le film pose vite son cadre et parvient difficilement à en sortir, créant un sentiment de redondance, de monotonie et de surplace. C’est aussi l’histoire d’une femme qui choisit elle-même sa propre dépendance, finalement. En ce sens, nous aurions aimé un parfum de subversion plus prononcé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Karin Viard et Ana Girardot forment le duo très crédible de cette adaptation en images des lettres de Madame de Sévigné à sa fille, mais le récit souffre de quelques longueurs au fur et à mesure que le personnage principal s’abandonne à la dépression.
Ouest France
par La Rédaction
Un récit qui trouve écho dans la société actuelle mais desservi par le trop grand classicisme de sa mis en scène.
Première
par Damien Leblanc
Si bien que la louable volonté de retranscrire les pressions sociales que subissent de tout temps les femmes, les mères et les filles manque un peu ici de souffle émotionnel.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par François Forestier
Hélas, l’éclairage moderne – féministe – est inadapté et fausse tout : Isabelle Brocard dépeint la marquise comme une suffragette agacée par sa « condition féminine » (et qui contredit ouvertement le roi). La répétition cadencée des scènes (conflit avec la fille, réconciliation, conflit) a quelque chose de mécanique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Femme Actuelle
Bien sûr, le film repose sur le binôme Karin Viard et Ana Girardot. Elles prennent soin d'éviter tout manichéisme.
Franceinfo Culture
Si le film dessine avec finesse l'amour passionnel et extravagant d'une mère pour sa fille, et qu'il peint aussi avec justesse une époque, il passe en revanche un peu à côté de la dimension littéraire de son personnage, dans une mise en scène qui relègue l'acte d'écriture à des décors, à des accessoires, et une voix off.
La Croix
Isabelle Brocard adapte avec intelligence la correspondance de Mme de Sévigné avec sa fille Françoise de Grignan et explore les relations mère-fille dans un film aux résonances très contemporaines. Karin Viard lui apporte toute sa sincérité et trouve là un rôle à sa mesure.
Le Figaro
Isabelle Brocard décrit avec une sincérité louable ce monde en robes et perruques longues qui s'épanche sur le papier, faisant parler les cœurs sous le crissement des plumes. Surtout, elle ne trahit jamais, par des anachronismes ou des licences excessives, cette langue somptueuse arrivée jusqu'à nous par la grâce d'une correspondance si particulière.
Sud Ouest
Un film d’époque passionnant et passionnel.
Télérama
Un duel filial filmé subtilement, avec le patriarcat en toile de fond.
aVoir-aLire.com
Isabelle Brocard construit un personnage complexe, jamais binaire, en la personne de Marie de Sévigné qui rappelle, en arrière-plan, combien les grandes écrivaines comme Madame de La Fayette ont contribué au combat en faveur de la liberté et de l’émancipation des femmes.
CNews
Si la mise en scène souffre d’une certaine monotonie, le long-métrage à la très belle lumière naturelle a le mérite de s'intéresser à une riche correspondance - plus de 7.000 lettres - qui deviendra l’une des œuvres les plus célèbres de la littérature française.
L'Humanité
En reprenant ses véritables écrits, la fiction s’ancre habilement dans le réel, même si la cour tient davantage de l’arène littéraire avec l’opposition de deux visions de la passion, celle de la Princesse de Montpensier et celle de la Princesse de Clèves.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène est élégante, mais lisse : on aurait aimé davantage d’aspérités pour creuser la personnalité ambiguë de l’écrivaine, interprétée avec nuance par Karin Viard, toujours stupéfiante de vérité.
Le Monde
Et c’est là qu’apparaît l’originalité du scénario, qui filme une relation filiale comme une histoire d’amour passionnée où Françoise glisse toujours de sa place, se rebiffe. Au passage se dessine cette belle idée : l’exigence d’indépendance de Madame de Sévigné n’est qu’une névrose comme une autre, bientôt une emprise.
Le Parisien
Très classique, ce film est parfois éclairé de touches de modernité, notamment grâce au jeu des impeccables Karin Viard et Ana Girardot.
Le Point
Faute d'ambition ou de budget à la hauteur, on a là un film moyen, heureusement sauvé par sa distribution, Karin Viard et Ana Girardot en tête, auxquels se joignent des comédiens qui s'imposent par leur seule présence, Cédric Kahn, Noémie Lvovsky et Robin Renucci (Monsieur de La Rochefoucauld).
Marie Claire
Une reconstitution fine et intimiste.
Transfuge
"Madame de Sévigné" [...] contourne les attentes des habituels biopics.
Télé 2 semaines
C'est cette relation aussi fusionnelle que dévastatrice qu'incarnent avec talent les actrices Karin Viard et Ana Girardot. Dommage que le film soit aussi classique que les fameuses lettres de Madame de Sévigné.
Télé Loisirs
C'est cette relation aussi fusionnelle que dévastatrice qu'incarnent avec talent Karin Viard et Ana Girardot. Dommage que le film soit aussi classique (...).
Voici
Le film explore une relation filiale dévorante sur fond de dépendance affective. Pourquoi pas.
Cahiers du Cinéma
Ici, paysages campagnards, châteaux, costumes, perruques, bruits de sabots insistants, grattement de la plume sur le papier, crépitement du feu de cheminée et dialogues littéraires à souhait ont un mérite devenu trop rare : celui d’offrir le temps de les voir et les entendre. Isabelle Brocard les laisse s’afficher devant sa caméra avec de rares mouvements d’appareil routiniers, dévoilant toute la fragilité d’un genre par ailleurs condamné à l’excès.
La Voix du Nord
Le film pose vite son cadre et parvient difficilement à en sortir, créant un sentiment de redondance, de monotonie et de surplace. C’est aussi l’histoire d’une femme qui choisit elle-même sa propre dépendance, finalement. En ce sens, nous aurions aimé un parfum de subversion plus prononcé.
Les Fiches du Cinéma
Karin Viard et Ana Girardot forment le duo très crédible de cette adaptation en images des lettres de Madame de Sévigné à sa fille, mais le récit souffre de quelques longueurs au fur et à mesure que le personnage principal s’abandonne à la dépression.
Ouest France
Un récit qui trouve écho dans la société actuelle mais desservi par le trop grand classicisme de sa mis en scène.
Première
Si bien que la louable volonté de retranscrire les pressions sociales que subissent de tout temps les femmes, les mères et les filles manque un peu ici de souffle émotionnel.
L'Obs
Hélas, l’éclairage moderne – féministe – est inadapté et fausse tout : Isabelle Brocard dépeint la marquise comme une suffragette agacée par sa « condition féminine » (et qui contredit ouvertement le roi). La répétition cadencée des scènes (conflit avec la fille, réconciliation, conflit) a quelque chose de mécanique.