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    Chien blanc
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    46 critiques spectateurs

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    defleppard
    defleppard

    378 abonnés 3 371 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2023
    Adaptation cinématographique du roman éponyme de Romain Gary. Réalisation quelque peu fade. Trois étoiles.
    bobmorane63
    bobmorane63

    189 abonnés 1 964 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2024
    J'ai apprécié ce long métrage co-écrit et réalisé par Anais Barbeau-Lavalette qui montre un pays des Etats-Unis et l'atmosphère de l'époque de la fin des années 60 du racisme noir avec le regard et le vécu du romancier Romain Gary et sa compagne l'actrice Jean Seberg qui militent et manifestent pour le respect des Afros Américains. Le film raconte deux histoires qui n'en font qu'une, Romain Gary prit d'affection pour un chien abandonné qui mord un noir proche , enfermé dans une cage pour tuer avec la décision de tuer ou libérer, puis Jean Seberg qui fait une pause dans son métier d'actrice qui se sert de sa notoriété contre le racisme noir. Très bonne reconstitution de l'époque Américaine bien mis en images. Le scénario est très bien élaboré et documenté et reflète superbement les ressentis et émotions des personnages joués superbement par Denis Menochet, Kacey Rohl et d'excellents seconds rôles. Une œuvre qui nous apprend sur une époque qu'on aimerait pas recommencer.
    LCDC YT
    LCDC YT

    82 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2024
    Classique mais assez intense, le long métrage que nous offre Anais Barbeau Lavette est une belle adaptation d'un romain Gary anecdotique dans le geste, mais terriblement évocateur dans le propos, ce que la cinéaste capte avec grâce
    Aure L
    Aure L

    23 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2024
    Un pan de l'histoire à ne pas oublier, un engagement à comprendre et une vérité à établir.
    La réalisation ressemble à un patchwork entre fiction, documentaire et fondu au noir qui n'aide pas à rester dans l'histoire.
    Aimerico
    Aimerico

    18 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 août 2024
    Bons acteurs mais le film travestit la pensée de gary, nuancée, anticonformiste, universaliste , anti raciste telle qu’on la lit dans ce chef-d’oeuvre qu’est chien blanc. Je ne me souviens pas du tout d’une quelconque admiration de Gary pour les black panthers, qui étaient selon mon souvenir dépeints comme racisés et racistes , ou à tout le moins pas universalistes,. Enfin le livre est exceptionnel, entre people, humour noir, peinture sociale et politique. Et drôle surtout. Le film est lui lent et ennuyeux. . Le « traitement » bienveillant de Diego m’a plu.
    Michel C.
    Michel C.

    272 abonnés 1 462 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2024
    Comédie de la Canadienne Anaïs Barbeau-Lavalette, d'après le roman de Romain Gary, qui nous replace dans un contexte de violence que ce soit en France ( 1968 ) ou l' assassinat à Memphis de Martin Luther King, qui réveilla des émeutes racistes violentes aux USA. La réalisatrice s'attache au charisme et combat intellectuel de Romain Gary, que Denis Ménochet interprète sobrement, sans doute trop. Alors que le personnage de Jean Seberg ( son épouse pendant dix ans ) jouée par une canadienne également Kacey Rohl, relève l'intérêt de ce film par son engagement, sa détermination et sa beauté. Heureusement, les scènes canines, bien que tellement "clichés", rehaussent un rythme bien lent, nous permettant de profiter de superbes plans. Sans doute l'occasion de redécouvrir un livre qui entre bien plus dans la réflexion de l' écrivain que ce film paresseux ne fait qu’ effleurer......!!**
    capirex
    capirex

    92 abonnés 308 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2024
    Film intéressant que cette adaptation par la réalisatrice Anaïs Barbeau-Lavalette du livre autobiographique de Romain Gary (publié en 1970) , que je n'ai pas lu , dont la morale de l'histoire repose sur le fait que si un chien est capable de changer de mentalité, pourquoi pas les Hommes ?
    Le livre est l'occasion pour l'auteur , et donc par définition le film , de dénoncer tous les racismes et toutes les hypocrisies !
    BLS Moviedebrief
    BLS Moviedebrief

    16 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juin 2024
    « Ça ne tient pas…»
    …la route. Le thème est intéressant sur la ségrégation au US dans les années 60 et le combat pour les droits civiques. On découvre que des « chiens blancs » étaient dressés spécialement pour chasser le noir en fuite… Romain Gary (Ménochet pas au top) et sa femme Jean Seberg, sont les héros d’une histoire mal racontée qui laisse de marbre.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2024
    L’histoire méconnue de Romain Gary alors ambassadeur à Los Angeles durant les émeutes successives à la mort de Martin Luther King. Propriétaire d’un chien, il se rend compte que son animal a été dressé pour attaquer les personnes de couleur, il va chercher à redresser son chien. C’est fascinant mais parfois un peu léger côté scénario.
    Jipéhel
    Jipéhel

    58 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2024
    Sans mordant

    Ainsi donc la québécoise Anaïs Barbeau-Lavalette, dont je connais mal la filmographie à part son Inch’Allah de 2011 aura dû attendre plus de deux ans pour que ces 96 minutes arrivent enfin sur nos écrans français. 1968 - Etats-Unis. Martin Luther King est assassiné et les haines raciales mettent le pays à feu et à sang. Romain Gary et sa femme l’actrice Jean Seberg, qui vivent à Los Angeles, recueillent un chien égaré, dressé exclusivement pour attaquer les Noirs : un chien blanc. L'écrivain, amoureux des animaux, refuse de le faire euthanasier, au risque de mettre en péril sa relation avec Jean, militante pour les droits civiques et très active au sein des Black Panthers. Un drame pesant, mais hélas, extrêmement démonstratif et qui pourtant ne convainc pas. Hélas, Samuel Fuller était déjà passé par là en 1982 avec son White Dog. Incontestablement, cette nouvelle version manque par trop de souffle pour passionner le spectateur.
    C'est en retrouvant Diego Gary, le fils de Romain Gary, et en échangeant longtemps avec lui que la cinéaste a découvert que sa grand-mère et Jean Seberg, s'étaient côtoyées dans leur lutte pour les droits des afros-américains. Il y avait très peu de personnes blanches dans ce combat et encore moins de femmes. C'est suite à ce lien probable que Diego a donné carte blanche pour l'adaptation du roman de son père. A quel point un conflit, une guerre, une douleur qui ne nous appartient pas peut-elle devenir la nôtre ? Voilà la question de fond à laquelle ce film tente d’apporter une réponse. Malgré quelques beaux moments de tension, le film ennuie pas mal et peint à implanter ses personnages dans une réalité et l’émotion ne vient jamais. Une fois de plus, qui trop embrasse mal étreint. A vouloir traité tous les sujets en même temps, le scénario passe à côté d’a peu près tout l’essentiel. Une déception.
    Alors, on se dit qu’on va se rattraper avec le casting. Hélas, il est victime des mêmes faiblesses. Denis Ménochet est un immense acteur mais là, il peine à incarner vraiment le grand écrivain, prisonnier qu’il est de la vision trop didactique du scénario. Kacey Rohl n’arrive pas non plus à entrer dans la peau de la magnifique Jean Seberg. K.C.Collins, lui, est parfait en dresseur obstiné. Comme pour en rajouter une couche, la mise en scène veut faire – artificiellement -, dans le beau, l’esthétique et nous épargne aucune affèterie chichiteuse, l’ennui gagne rapidement. Et c’est bien dommage en regard de l’importance du sujet traité – maltraité devrais-je dire -, dans ce drame dévitalisé qui sonne creux.
    VINZGOM
    VINZGOM

    12 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2024
    Bon film à l'atmosphère franco américaine canine avec des bons acteurs, un scénario qui nous garde en éveil, des bons acteurs et 2nd rôle. J'ai bien apprécié !
    Pierre
    Pierre

    19 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2024
    Un film avec le consul de France pendant les manifestations de 68 au États-Unis. Qui est toujours d'actualité. Ça se regarde mais sans plus
    Lemagducine
    Lemagducine

    15 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2024
    Avec Chien blanc (2024), Anaïs Barbeau-Lavalette signe son quatrième long-métrage et adapte au cinéma l’œuvre homonyme de Romain Gary. Un questionnement essentiel sur l’acceptation de l’autre jusque dans son altérité la plus radicale.

    Après l’inoubliable La Déesse des mouches à feu (2020), grande était l’attente tournée vers la prochaine réalisation de la talentueuse Québécoise, à la fois écrivaine et cinéaste, Anaïs Barbeau-Lavalette (8 février 1979, Montréal – ). Portée par son histoire personnelle, et notamment celle de sa grand-mère maternelle, Suzanne Meloche, qu’elle n’a pas connue mais à laquelle elle avait consacrée l’un de ses romans, La Femme qui fuit (2017), la réalisatrice se tourne ici vers l’adaptation d’un texte autobiographique de Romain Gary, Chien blanc (1970).

    https://www.lemagducine.fr/cinema/critiques-films/chien-blanc-film-anais-barbeau-lavalette-avis-10069665/
    Anne CC
    Anne CC

    10 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mai 2024
    Film canadien, dramatique.
    D"un côté Romain Gary recueille un chien dressé pour attaquer uniquement les Noirs, de l'autre sa femme Jean Seberg soutient les Black Panthers, après l'assassinat de Martin Luther King.
    Couple fragilisé : "Le plus grand risque, c'est d'aimer".
    Emeutes, manifestations, racisme, répression par les forces de l'ordre à Los Angeles en 1968.

    Film inspiré d'une histoire vraie, un monde en noir et blanc.
    Acteurs pas très crédibles et malgré un sujet sérieux et toujours d'actualité, le film est relativement décevant et peu convaincant.
    Miami_Chorize
    Miami_Chorize

    9 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 juin 2024
    Ce film n'est pas fait pour plaire aux personnes qui ont une vision simpliste du monde. Adapté d'une œuvre de Romain Gary, il présente une vision nuancée à la fois du couple (que celui-ci formait avec la comédienne Jean Seberg), de l'engagement politique (aux côtés des militants des Droits Civiques, aux États-Unis) et du rapport à un animal domestique (le fameux "chien blanc").

    Assez subtilement, la réalisatrice Anaïs Barbeau-Lavalette montre un Gary tolérant spoiler: (y compris envers les aventures de sa compagne, alors que lui est resté fidèle)
    , modéré sur le plan politique (ne partageant pas la proximité de Seberg avec les Black Panthers) et conscient de la perturbation occasionnée par l'arrivée d'une star de cinéma en plein happening politique (les caméras se braquant davantage sur l'actrice que sur les victimes des violences racistes). A ce sujet, la scène la plus marquante est celle du cimetière, spoiler: Seberg venant manifester son soutien aux funérailles d'une jeune Noire, habillée en haute couture et portant sur elle des objets de prix. On comprend un peu l'hostilité manifestée par une militante afro, même si sa remise en cause de la participation de Seberg fait écho à des attitudes plus contemporaines, du côté des "décoloniaux"
    .

    L'animal dressé par des racistes arrive là-dedans comme un chien dans un jeu de quilles. Il est à la fois touchant et effrayant. A l'image d'une partie de l'humanité, qu'une éducation défaillante porte à des comportements inadmissibles, l'animal peut-il est racheté, sauvé ?

    Le film apporte des éléments de réponse, par petites touches. La conclusion mêle noirceur et lueur d'espoir. Ce film est pour moi une excellente surprise.
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