Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Denis Ménochet devient l’écrivain Romain Gary, dans une performance puissante, où la réhabilitation d’un chien dressé pour tuer les Noirs, aux États-Unis, force à regarder en face le racisme et la haine.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
Cette nouvelle adaptation de l’ouvrage de R. Gary se différencie du film de S. Fuller en s’intéressant avec finesse aux ambiguïtés et aux difficultés de l’engagement de Gary et Seberg en faveur des Afro-Américains lors des émeutes à Los Angeles en 1968.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Culturopoing.com
par Sandra Blachon
Anaïs Barbeau-Lavalette nous livre un film fidèle au foisonnement du livre avec ses nombreuses ramifications : le couple, les violences raciales, le dressage.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La rédaction
Solidement documentée, cette adaptation de Romain Gary dégage une belle sensibilité.
La Voix du Nord
par Catherine Painset
S’emparant du livre autobiographique de Romain Gary (publié en 1970), la Canadienne Anaïs Barbeau-Lavalette réalise un film captivant par endroits et décevant ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Alix Antoszkiewicz
Le récit est constamment bercé par les mots du livre de Romain Gary. La morale de l’histoire repose sûrement sur le fait que si un chien est capable de changer de mentalité, pourquoi pas les hommes ? Mais à quel prix ?
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 2 semaines
par C.B.
L'histoire, qui interroge le racisme et ses racines, est très forte. Malheureusement, le traitement manque de finesse et peine à émouvoir.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Avec sa force fragile, son charisme plein écran, Denis Ménochet campe, avec une humanité contagieuse, ce géant de la littérature qu'on accompagne dans la genèse de son roman Chien Blanc (...).
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une adaptation bien intentionnée mais maladroite.
L'Obs
par Isabelle Danel
Ménochet est grand, mais l’histoire vraie, jadis adaptée par Samuel Fuller, reste ici didactique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Mad Movies
par F.C.
Une adaptation strico sensu du matériau de base, avec un Denis Ménochet très digne en Romain Gary, un ton concerné, un dialogue un chouïa forcé avec l'actualité récente. Ce faisant, le récit perd une grande partie de sa force, et s'enferme dans les contradictions originelles du livre.
Ouest France
par Thierry Chèze
Denis Ménochet est impeccable, mais on peine à voir l'intérêt de cette adaptation très scolaire, dépourvu d'un point de vue fort ou original.
Positif
par Pierre Eisenreich
Cette adaptation du chef-d'œuvre de Romain Gary, écrit en 1969 et qui sonde les conditions de sortie du racisme américain, ne convainc guère : la réalisatrice québécoise ni retient qu'un réquisitoire anti-raciste, bien sûr louable, qu'elle sert avec des ralentis sur des Noirs coursés par des Blancs ou un chien, sur une musique avec complaisante.
Télé Loisirs
par C.B.
L'histoire, qui interroge le racisme et ses racines, est très forte. Malheureusement, le traitement manque de finesse et peine à émouvoir.
Voici
par La rédaction
Cette nouvelle adaptation, plus littérale, se révèle assez superficielle dans son traitement.
Première
par Yohan Haddad
Anaïs Barbeau-Lavalette (...) signe une adaptation étonnamment dévitalisée, source d’ennui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Qui trop embrasse mal étreint : le film survole tous ses sujets. Et la maladresse de la mise en scène, bien trop esthétisante pour la noirceur du propos, couplée à l’interprétation peu crédible de Denis Ménochet, n’arrangent rien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Dauphiné Libéré
Denis Ménochet devient l’écrivain Romain Gary, dans une performance puissante, où la réhabilitation d’un chien dressé pour tuer les Noirs, aux États-Unis, force à regarder en face le racisme et la haine.
Les Fiches du Cinéma
Cette nouvelle adaptation de l’ouvrage de R. Gary se différencie du film de S. Fuller en s’intéressant avec finesse aux ambiguïtés et aux difficultés de l’engagement de Gary et Seberg en faveur des Afro-Américains lors des émeutes à Los Angeles en 1968.
Culturopoing.com
Anaïs Barbeau-Lavalette nous livre un film fidèle au foisonnement du livre avec ses nombreuses ramifications : le couple, les violences raciales, le dressage.
Femme Actuelle
Solidement documentée, cette adaptation de Romain Gary dégage une belle sensibilité.
La Voix du Nord
S’emparant du livre autobiographique de Romain Gary (publié en 1970), la Canadienne Anaïs Barbeau-Lavalette réalise un film captivant par endroits et décevant ailleurs.
Le Parisien
Le récit est constamment bercé par les mots du livre de Romain Gary. La morale de l’histoire repose sûrement sur le fait que si un chien est capable de changer de mentalité, pourquoi pas les hommes ? Mais à quel prix ?
Télé 2 semaines
L'histoire, qui interroge le racisme et ses racines, est très forte. Malheureusement, le traitement manque de finesse et peine à émouvoir.
Télé 7 Jours
Avec sa force fragile, son charisme plein écran, Denis Ménochet campe, avec une humanité contagieuse, ce géant de la littérature qu'on accompagne dans la genèse de son roman Chien Blanc (...).
CinemaTeaser
Une adaptation bien intentionnée mais maladroite.
L'Obs
Ménochet est grand, mais l’histoire vraie, jadis adaptée par Samuel Fuller, reste ici didactique.
Mad Movies
Une adaptation strico sensu du matériau de base, avec un Denis Ménochet très digne en Romain Gary, un ton concerné, un dialogue un chouïa forcé avec l'actualité récente. Ce faisant, le récit perd une grande partie de sa force, et s'enferme dans les contradictions originelles du livre.
Ouest France
Denis Ménochet est impeccable, mais on peine à voir l'intérêt de cette adaptation très scolaire, dépourvu d'un point de vue fort ou original.
Positif
Cette adaptation du chef-d'œuvre de Romain Gary, écrit en 1969 et qui sonde les conditions de sortie du racisme américain, ne convainc guère : la réalisatrice québécoise ni retient qu'un réquisitoire anti-raciste, bien sûr louable, qu'elle sert avec des ralentis sur des Noirs coursés par des Blancs ou un chien, sur une musique avec complaisante.
Télé Loisirs
L'histoire, qui interroge le racisme et ses racines, est très forte. Malheureusement, le traitement manque de finesse et peine à émouvoir.
Voici
Cette nouvelle adaptation, plus littérale, se révèle assez superficielle dans son traitement.
Première
Anaïs Barbeau-Lavalette (...) signe une adaptation étonnamment dévitalisée, source d’ennui.
Télérama
Qui trop embrasse mal étreint : le film survole tous ses sujets. Et la maladresse de la mise en scène, bien trop esthétisante pour la noirceur du propos, couplée à l’interprétation peu crédible de Denis Ménochet, n’arrangent rien.