Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le film frappe droit au cœur par son romantisme tragique, son lyrisme et ses dialogues ciselés qui véhiculent une farouche modernité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Avec « Jeanne du Barry », présenté en ouverture du Festival de Cannes ce mardi soir et qui sort en même temps dans les salles, Maïwenn réussit un film classique mais très contemporain et totalement habité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNews
par La rédaction
Intemporel, notamment par ses dialogues, et servi par une mise en scène classique, « Jeanne du Barry » prend parfois des allures de conte où les filles du roi ressemblent aux sœurs de Cendrillon. Ce long-métrage [...] se veut aussi d’une grande modernité, abordant la condition de la femme et les problématiques de notre société contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Maïwenn surprend dans un film d’époque et dépoussière le genre, dans un biopic en costumes et perruques à la cour du roi Louis XV, sous les ors du château de Versailles.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un film en forme de plaidoyer et aux allures de tragi-comédie, tourné en 35 mm, qu’on croirait éclairé aux chandelles. Loin de sa zone de confort, Maïwenn montre qu’elle a, comme Jeanne, de l’aplomb. Elle ose même le classicisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Maïwenn n’aime rien tant que raconter sa propre vie. Cet égocentrisme revendiqué peut se révéler agaçant… ou passionnant quand elle ose un pas de côté pour trouver son reflet dans le miroir du cinéma. En témoigne cet authentique film romanesque, très belle évocation d’une favorite qui n’aura eu de cesse d’échapper à sa condition.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
En Louis XV, Johnny Depp est royalement aimable et mélancolique. En premier valet de chambre, Benjamin Lavernhe lui vole presque la vedette. Son duo complice avec Maïwenn est exquis (...).
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film de Maïwenn comble les espoirs. Sa principale vertu est de ne pas sentir la poussière. La vie circule. On y est.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film assez classique mais de haute tenue.
Public
par Marie-Pierre Galinon
Maïwenn filme avec passion le destin de cette roturière qui joue avec les codes de l'époque. Un esprit aussi libre que possible.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Parfaitement "maïwennesque": parfois maladroit, appuyé, sans doute trop en empathie avec son sujet, mais la réalisatrice nous emporte et nous émeut dans cette célébration de la liberté. Belle révérence à l’irrévérence.
Télé 2 semaines
par O.R.
Visuellement superbe, [...] l'œuvre de Maïwenn n'éclaire cependant pas totalement la nature profonde de Jeanne du Barry, courtisane et maîtresse royale à laquelle elle s'identifie pleinement.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[Une] fresque d’une indéniable beauté, moderne et intensément vivante.
Télé Loisirs
par O.R.
Visuellement superbe, inspirée par le Barry Lyndon de Kubrick et portée par une distribution homogène (même si Johnny Depp, en Louis XV, laisse deviner son accent), l'œuvre n'éclaire cependant pas totalement la nature de la du Barry, maîtresse royale à laquelle Maïwenn s'identifie.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Maïwenn tient son film, sur une quête de liberté et un goût de la transmission, et le pouls bat. Le rôle de la du Barry lui va comme un gant, même si Johnny Depp, certes soliste polymorphe hors pair, n’est pas si crédible en Louis XV.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si le film de Maïwenn a bien des qualités en reliant le XVIIIe siècle à notre actualité, il pèche toutefois par ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
LCI
par Jérôme Vermelin
Une comédie romantique en costumes un peu sage, mais qui profite de l’alchimie entre ses deux vedettes.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Céline Rouden
En s’emparant du rôle, l’actrice et réalisatrice Maïwenn parvient à insuffler modernité et liberté à un film à la facture classique et légèrement empesé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Derrière le biopic classique et les références autobiographiques de son autrice, une parabole habile sur la déshumanisation de l’institution monarchique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Cheze
Se réinventant comme cinéaste, Maïwenn signe un film maîtrisé, alliant forme classique et propos moderne, où Johnny Depp épate en Louis XV.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Fabrice Gaignault
Dommage que le propos soit servi par une mise en scène banale, où l’imagination du regard n’est pas la vertu première.
Télérama
par Jacques Morice
N’ayant à rougir de rien, avec autant d’audace que de narcissisme, Maïwenn s’y donne le beau rôle, s’y tient droite, se fondant parfaitement avec son personnage d’autodidacte ambitieuse. Désirante, curieuse de tout et finalement généreuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Dès que la cinéaste-actrice s’offre son défilé en tenue de princesse, Jeanne du Barry commence à faire bâiller, pendouillant entre la farce – l’amusement récurrent de Jeanne devant les usages de Versailles – et l’élégie à la monarchie dans un final qui ferait passer L’Anglaise et le Duc pour jacobin – le narrateur amidonné y déplorera les « temps troublés », curieux euphémisme pour désigner la Révolution
Critikat.com
par Josué Morel
Le principal tort de Maïwenn n’est pas, comme on pourrait le croire, d’avoir voulu bâtir un film à la hauteur de son égotisme – la chose aurait été autrement plus passionnante –, mais plutôt de ne pas avoir osé aller au bout de ce qu’impliquait son curieux projet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Jeanne du Barry est à la fois un biopic ronflant et un ego-trip embarrassant de son actrice et réalisatrice Maïwenn. Beaucoup de bruit pour pas grand-chose, si ce n’est de la médiocrité cinématographique et intellectuelle.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Adam Sanchez
À la fois guindé et dans une forme de distance ironique vis-à-vis des codes du film historique, Jeanne du Barry affiche deux heures durant ses larges contradictions sans jamais totalement s’en départir.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Michaël Melinard
Le contraste entre le style Louis XV et des problématiques plus contemporaines fonctionne bien. Reste néanmoins l’arrière-goût étrange d’un film majestueux mais un peu vain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par J. Ma.
Jeanne du Barry (...) se confronte au délicat défi du film d’époque et, en son sein, à ce que l’on pourrait nommer le « film de cour », dont la pompe intrinsèque ripoline la plupart des productions dévolues au genre. Maïwenn, quant à elle, reste fidèle à son inspiration, qui consiste à ne pouvoir créer qu’à partir d’elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Maïwenn met en scène avec une sobriété inattendue et la plupart du temps convaincante la romance improbable entre Jeanne et le roi, mais omniprésente au cœur de chaque scène ou presque, la comédienne tire plus que de raison la couverture à elle.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Sandra Onana
Une énorme entreprise de cabotinage dans un nuage de poudre et de perruques, où la cinéaste dans le premier rôle tire toute la couverture à elle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dommage toutefois que Maïwenn se soit auto-engagée pour incarner le rôle principal et se mette si complaisamment en scène au cœur de chaque plan. Les autres personnages et acteurs, du coup, sont presque réduits au rang de figurines et figurants.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Raconté comme un conte de fées Disney ou un spin-off des « Chronique des Bridgerton », « Jeanne du Barry » est plombé par une voix off qui surligne tout ce qui se passe à l’écran, de l’ascension sociale fulgurante à la force du jarret aux disputes de basse-cour.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
L’élément de décor le plus dispendieux s’avère être Johnny Depp grimé en Louis XV, clou du spectacle décevant, jetlagué en plein cinéma français – si le film a une référence, ce serait davantage Lost in translation que Marie-Antoinette. On a rarement vu l’acteur si absent de lui-même, comme resté mentalement dans sa loge.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Le cinéma de Maïwenn s’en retrouve cannibalisé par une réalisatrice obnubilée par sa quête auto-analytique, esquissant par intermittences ce qui aurait pu être une fresque historique stimulante sur la prison dorée de Versailles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
Le film frappe droit au cœur par son romantisme tragique, son lyrisme et ses dialogues ciselés qui véhiculent une farouche modernité.
Le Parisien
Avec « Jeanne du Barry », présenté en ouverture du Festival de Cannes ce mardi soir et qui sort en même temps dans les salles, Maïwenn réussit un film classique mais très contemporain et totalement habité.
CNews
Intemporel, notamment par ses dialogues, et servi par une mise en scène classique, « Jeanne du Barry » prend parfois des allures de conte où les filles du roi ressemblent aux sœurs de Cendrillon. Ce long-métrage [...] se veut aussi d’une grande modernité, abordant la condition de la femme et les problématiques de notre société contemporaine.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Maïwenn surprend dans un film d’époque et dépoussière le genre, dans un biopic en costumes et perruques à la cour du roi Louis XV, sous les ors du château de Versailles.
L'Obs
Un film en forme de plaidoyer et aux allures de tragi-comédie, tourné en 35 mm, qu’on croirait éclairé aux chandelles. Loin de sa zone de confort, Maïwenn montre qu’elle a, comme Jeanne, de l’aplomb. Elle ose même le classicisme.
La Voix du Nord
Maïwenn n’aime rien tant que raconter sa propre vie. Cet égocentrisme revendiqué peut se révéler agaçant… ou passionnant quand elle ose un pas de côté pour trouver son reflet dans le miroir du cinéma. En témoigne cet authentique film romanesque, très belle évocation d’une favorite qui n’aura eu de cesse d’échapper à sa condition.
Le Dauphiné Libéré
En Louis XV, Johnny Depp est royalement aimable et mélancolique. En premier valet de chambre, Benjamin Lavernhe lui vole presque la vedette. Son duo complice avec Maïwenn est exquis (...).
Le Figaro
Le film de Maïwenn comble les espoirs. Sa principale vertu est de ne pas sentir la poussière. La vie circule. On y est.
Ouest France
Un film assez classique mais de haute tenue.
Public
Maïwenn filme avec passion le destin de cette roturière qui joue avec les codes de l'époque. Un esprit aussi libre que possible.
Sud Ouest
Parfaitement "maïwennesque": parfois maladroit, appuyé, sans doute trop en empathie avec son sujet, mais la réalisatrice nous emporte et nous émeut dans cette célébration de la liberté. Belle révérence à l’irrévérence.
Télé 2 semaines
Visuellement superbe, [...] l'œuvre de Maïwenn n'éclaire cependant pas totalement la nature profonde de Jeanne du Barry, courtisane et maîtresse royale à laquelle elle s'identifie pleinement.
Télé 7 Jours
[Une] fresque d’une indéniable beauté, moderne et intensément vivante.
Télé Loisirs
Visuellement superbe, inspirée par le Barry Lyndon de Kubrick et portée par une distribution homogène (même si Johnny Depp, en Louis XV, laisse deviner son accent), l'œuvre n'éclaire cependant pas totalement la nature de la du Barry, maîtresse royale à laquelle Maïwenn s'identifie.
Bande à part
Maïwenn tient son film, sur une quête de liberté et un goût de la transmission, et le pouls bat. Le rôle de la du Barry lui va comme un gant, même si Johnny Depp, certes soliste polymorphe hors pair, n’est pas si crédible en Louis XV.
Franceinfo Culture
Si le film de Maïwenn a bien des qualités en reliant le XVIIIe siècle à notre actualité, il pèche toutefois par ses acteurs.
LCI
Une comédie romantique en costumes un peu sage, mais qui profite de l’alchimie entre ses deux vedettes.
La Croix
En s’emparant du rôle, l’actrice et réalisatrice Maïwenn parvient à insuffler modernité et liberté à un film à la facture classique et légèrement empesé.
Les Fiches du Cinéma
Derrière le biopic classique et les références autobiographiques de son autrice, une parabole habile sur la déshumanisation de l’institution monarchique.
Première
Se réinventant comme cinéaste, Maïwenn signe un film maîtrisé, alliant forme classique et propos moderne, où Johnny Depp épate en Louis XV.
Transfuge
Dommage que le propos soit servi par une mise en scène banale, où l’imagination du regard n’est pas la vertu première.
Télérama
N’ayant à rougir de rien, avec autant d’audace que de narcissisme, Maïwenn s’y donne le beau rôle, s’y tient droite, se fondant parfaitement avec son personnage d’autodidacte ambitieuse. Désirante, curieuse de tout et finalement généreuse.
Cahiers du Cinéma
Dès que la cinéaste-actrice s’offre son défilé en tenue de princesse, Jeanne du Barry commence à faire bâiller, pendouillant entre la farce – l’amusement récurrent de Jeanne devant les usages de Versailles – et l’élégie à la monarchie dans un final qui ferait passer L’Anglaise et le Duc pour jacobin – le narrateur amidonné y déplorera les « temps troublés », curieux euphémisme pour désigner la Révolution
Critikat.com
Le principal tort de Maïwenn n’est pas, comme on pourrait le croire, d’avoir voulu bâtir un film à la hauteur de son égotisme – la chose aurait été autrement plus passionnante –, mais plutôt de ne pas avoir osé aller au bout de ce qu’impliquait son curieux projet.
Ecran Large
Jeanne du Barry est à la fois un biopic ronflant et un ego-trip embarrassant de son actrice et réalisatrice Maïwenn. Beaucoup de bruit pour pas grand-chose, si ce n’est de la médiocrité cinématographique et intellectuelle.
GQ
À la fois guindé et dans une forme de distance ironique vis-à-vis des codes du film historique, Jeanne du Barry affiche deux heures durant ses larges contradictions sans jamais totalement s’en départir.
L'Humanité
Le contraste entre le style Louis XV et des problématiques plus contemporaines fonctionne bien. Reste néanmoins l’arrière-goût étrange d’un film majestueux mais un peu vain.
Le Monde
Jeanne du Barry (...) se confronte au délicat défi du film d’époque et, en son sein, à ce que l’on pourrait nommer le « film de cour », dont la pompe intrinsèque ripoline la plupart des productions dévolues au genre. Maïwenn, quant à elle, reste fidèle à son inspiration, qui consiste à ne pouvoir créer qu’à partir d’elle-même.
Les Echos
Maïwenn met en scène avec une sobriété inattendue et la plupart du temps convaincante la romance improbable entre Jeanne et le roi, mais omniprésente au cœur de chaque scène ou presque, la comédienne tire plus que de raison la couverture à elle.
Libération
Une énorme entreprise de cabotinage dans un nuage de poudre et de perruques, où la cinéaste dans le premier rôle tire toute la couverture à elle.
Marianne
Dommage toutefois que Maïwenn se soit auto-engagée pour incarner le rôle principal et se mette si complaisamment en scène au cœur de chaque plan. Les autres personnages et acteurs, du coup, sont presque réduits au rang de figurines et figurants.
Paris Match
Raconté comme un conte de fées Disney ou un spin-off des « Chronique des Bridgerton », « Jeanne du Barry » est plombé par une voix off qui surligne tout ce qui se passe à l’écran, de l’ascension sociale fulgurante à la force du jarret aux disputes de basse-cour.
Les Inrockuptibles
L’élément de décor le plus dispendieux s’avère être Johnny Depp grimé en Louis XV, clou du spectacle décevant, jetlagué en plein cinéma français – si le film a une référence, ce serait davantage Lost in translation que Marie-Antoinette. On a rarement vu l’acteur si absent de lui-même, comme resté mentalement dans sa loge.
aVoir-aLire.com
Le cinéma de Maïwenn s’en retrouve cannibalisé par une réalisatrice obnubilée par sa quête auto-analytique, esquissant par intermittences ce qui aurait pu être une fresque historique stimulante sur la prison dorée de Versailles.