Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Obs
par Jérôme Garcin
Malgré son physique de jeune premier, Jesmark Scicluna n’est pas comédien. Il est vraiment pêcheur et entouré, ici, d’acteurs non professionnels. Cela donne plus de justesse à ce beau film âpre (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par La Rédaction
Un drame social passionnant de bout en bout.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Si la trame fictionnelle n’est pas d’une grande originalité, Luzzu convainc par son traitement documentaire du métier et des techniques de la pêche traditionnelle. Les rapports entre pêcheurs et commerçants au marché sont filmés d’une manière abrupte, frontale, avec une étonnante précision.
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
Si la morale de Camilleri n’est pas aussi pessimiste que celle des derniers Loach, c'est que Luzzu est avant tout un appel à soutenir une marge peu à peu broyée par le système.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Entre le thriller social et le documentaire, un premier film original sur la perte de l’innocence.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le canevas est moins original que le sujet, mais son réalisateur soigne sa mise en scène, précise, sans fioriture et efficace quand il flirte avec le thriller.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
En dépit de ses maladresses, Luzzu touche par sa sincérité et son approche documentaire.
Libération
par Laura Tuillier
Une grande partie de l’intérêt de Luzzu tient à la substance documentaire de ses plans, la caméra de Camilleri étant arrimée aux efforts de plus en plus contrariés de Jesmark Scicluna pour continuer à pratiquer une pêche traditionnelle à bord de son luzzu, barque quasi magique transmise de père en fils.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O’Neill
Le drame que vit Jesmark a un aspect documentaire sur la vie d’un pêcheur, tandis que le globish des affaires louches menées la nuit pimente la langue maltaise du quotidien, introduisant des codes du thriller. Cependant, le film tient sa force émotive de l’amour de Jesmark pour son fils et de son attachement à la tradition.
Première
par Thomas Baurez
Luzzu est une épopée sociale au pouvoir magnétique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Premier long-métrage d’un cinéaste d’origine maltaise vivant aux États-Unis, Alex Camilleri. Prix spécial d’interprétation pour Jesmark Scicluna, au Festival de Sundance, dans le rôle d’un jeune marin pêcheur maltais.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Joué par des acteurs non professionnels (dont l’intense Jesmark Scicluna, primé au festival de Sundance), ce drame sur le combat d’un artisan pour garder la tête haute déploie sa noirceur sociale sous une éclatante lumière méditerranéenne et la belle influence du néoréalisme italien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Encore un film-à-quoi-bon. La mise en scène floue, erratique, sans force esthétique et avec un montage approximatif, empêche de s’intéresser à son héros.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
Malgré son physique de jeune premier, Jesmark Scicluna n’est pas comédien. Il est vraiment pêcheur et entouré, ici, d’acteurs non professionnels. Cela donne plus de justesse à ce beau film âpre (...).
Ouest France
Un drame social passionnant de bout en bout.
Cahiers du Cinéma
Si la trame fictionnelle n’est pas d’une grande originalité, Luzzu convainc par son traitement documentaire du métier et des techniques de la pêche traditionnelle. Les rapports entre pêcheurs et commerçants au marché sont filmés d’une manière abrupte, frontale, avec une étonnante précision.
Critikat.com
Si la morale de Camilleri n’est pas aussi pessimiste que celle des derniers Loach, c'est que Luzzu est avant tout un appel à soutenir une marge peu à peu broyée par le système.
La Croix
Entre le thriller social et le documentaire, un premier film original sur la perte de l’innocence.
Le Journal du Dimanche
Le canevas est moins original que le sujet, mais son réalisateur soigne sa mise en scène, précise, sans fioriture et efficace quand il flirte avec le thriller.
Le Monde
En dépit de ses maladresses, Luzzu touche par sa sincérité et son approche documentaire.
Libération
Une grande partie de l’intérêt de Luzzu tient à la substance documentaire de ses plans, la caméra de Camilleri étant arrimée aux efforts de plus en plus contrariés de Jesmark Scicluna pour continuer à pratiquer une pêche traditionnelle à bord de son luzzu, barque quasi magique transmise de père en fils.
Positif
Le drame que vit Jesmark a un aspect documentaire sur la vie d’un pêcheur, tandis que le globish des affaires louches menées la nuit pimente la langue maltaise du quotidien, introduisant des codes du thriller. Cependant, le film tient sa force émotive de l’amour de Jesmark pour son fils et de son attachement à la tradition.
Première
Luzzu est une épopée sociale au pouvoir magnétique.
Sud Ouest
Premier long-métrage d’un cinéaste d’origine maltaise vivant aux États-Unis, Alex Camilleri. Prix spécial d’interprétation pour Jesmark Scicluna, au Festival de Sundance, dans le rôle d’un jeune marin pêcheur maltais.
Télérama
Joué par des acteurs non professionnels (dont l’intense Jesmark Scicluna, primé au festival de Sundance), ce drame sur le combat d’un artisan pour garder la tête haute déploie sa noirceur sociale sous une éclatante lumière méditerranéenne et la belle influence du néoréalisme italien.
Les Fiches du Cinéma
Encore un film-à-quoi-bon. La mise en scène floue, erratique, sans force esthétique et avec un montage approximatif, empêche de s’intéresser à son héros.