Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Fahrije Hoti, pour survivre au malheur, a créé sa petite entreprise, exclusivement féminine. La réalisatrice Blerta Basholli lui rend hommage par son formidable portrait de femme, une douce ode à la liberté sur fond de patriarcat.
L'Obs
par François Forestier
Le miel et la guerre, l’émotion et l’Histoire, la souffrance et l’espoir, tout se conjugue pour une œuvre d’une force rare.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
(...) une fascinante histoire de consolation et d’émancipation, qui se met dans les pas d’une veuve de guerre du Kosovo dont le mari a été porté disparu.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Cinéaste kosovare, Blerta Basholli s'inspire d'une histoire vraie et dresse le portrait d'une femme en lutte contre les fantômes de la guerre et le machisme sévissant dans son pays. Un premier film prometteur qui, sans emphase, honore une femme qui le mérite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Nicolas Geneix
La retenue de la réalisation (plans-séquences à juste distance, caméra portée sans affectation, couleurs nuancées) est au diapason tamisé de la remarquable Yllka Gashi.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La cinéaste kosovare Blerta Basholli s’inspire de la vie d’une femme bien réelle pour un film superbe qui a été primé dans plusieurs festivals.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Samuel Douhaire
Au-delà de sa dimension féministe, La Ruche captive aussi par son évocation des cicatrices de l’histoire dès sa première scène : un plan-séquence impressionnant où Fahrije ouvre avec fébrilité les sacs dans lesquels ont été glissés les restes d’un charnier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Cette œuvre intense et tragique met en perspective la question sensible du Kosovo à travers le portrait d’une femme, résolue à faire de son existence et celle des autres femmes du village, un projet émancipation sociale et culturelle. Un film puissant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
La Ruche coche toutes les cases du « film à sujet » au moyen d’un récit programmé d’émancipation féminine cherchant à porter un message universel. Le film est bien plus convaincant quand il ose s’écarter du scénario pour se focaliser sur le quotidien du village, les relations entre voisins ou au sein des familles, où certains habitants jouent leur propre rôle.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Nul suspense : le long métrage dont le titre renvoie à ces femmes qui dérogent aux règles de leur communauté pour développer une activité rémunératrice raconte une success story. Dans le repli d’une tragédie de l’histoire, c’est le récit d’une dignité retrouvée filmée avec sobriété et un réel sens du cadre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Constance Jamet
De cette somme de petits riens, de compliments et d’émotions raréfiés jaillissent la vie, l’espoir, l’énergie d’aller de l’avant. Un témoignage de reconstruction viscéral et taiseux comme en produira sûrement le cinéma ukrainien dans les années à venir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Rien de très gai mais interpeller le traumatisme d'une guerre récente, énorme et paradoxalement passée sous silence, paraît nécessaire. La réalisatrice kosovare, formée aux Etats-Unis, aborde ce tourment avec tact, mettant en lumière le courage et la persévérance de son héroïne incarnée par une actrice remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Ainsi, le visage presque monacal de Fahrije, qui semble ne rien vouloir exprimer, témoigne entièrement de son incapacité à faire son deuil et nous plonge dans l’abîme de ceux qui vivent sans savoir ce qui est arrivé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
Blerta Basholli a opté pour une approche étrangement grise pour aborder le récit de cet affrontement féminin à une double adversité, intime et sociale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Sage et vain, le film gâche son beau sujet et troque le portrait libre d’une femme pour une édification doloriste. Et finit par construire, au lieu d’une émancipation, un gibet pour son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Dommage cependant qu’en dépit de sa courte durée (1h23), la deuxième partie de son récit peine à trouver un second souffle et souffre de redites par rapport à sa remarquable entame.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Fahrije Hoti, pour survivre au malheur, a créé sa petite entreprise, exclusivement féminine. La réalisatrice Blerta Basholli lui rend hommage par son formidable portrait de femme, une douce ode à la liberté sur fond de patriarcat.
L'Obs
Le miel et la guerre, l’émotion et l’Histoire, la souffrance et l’espoir, tout se conjugue pour une œuvre d’une force rare.
Le Dauphiné Libéré
(...) une fascinante histoire de consolation et d’émancipation, qui se met dans les pas d’une veuve de guerre du Kosovo dont le mari a été porté disparu.
Les Echos
Cinéaste kosovare, Blerta Basholli s'inspire d'une histoire vraie et dresse le portrait d'une femme en lutte contre les fantômes de la guerre et le machisme sévissant dans son pays. Un premier film prometteur qui, sans emphase, honore une femme qui le mérite.
Positif
La retenue de la réalisation (plans-séquences à juste distance, caméra portée sans affectation, couleurs nuancées) est au diapason tamisé de la remarquable Yllka Gashi.
Sud Ouest
La cinéaste kosovare Blerta Basholli s’inspire de la vie d’une femme bien réelle pour un film superbe qui a été primé dans plusieurs festivals.
Télérama
Au-delà de sa dimension féministe, La Ruche captive aussi par son évocation des cicatrices de l’histoire dès sa première scène : un plan-séquence impressionnant où Fahrije ouvre avec fébrilité les sacs dans lesquels ont été glissés les restes d’un charnier.
aVoir-aLire.com
Cette œuvre intense et tragique met en perspective la question sensible du Kosovo à travers le portrait d’une femme, résolue à faire de son existence et celle des autres femmes du village, un projet émancipation sociale et culturelle. Un film puissant.
Cahiers du Cinéma
La Ruche coche toutes les cases du « film à sujet » au moyen d’un récit programmé d’émancipation féminine cherchant à porter un message universel. Le film est bien plus convaincant quand il ose s’écarter du scénario pour se focaliser sur le quotidien du village, les relations entre voisins ou au sein des familles, où certains habitants jouent leur propre rôle.
La Croix
Nul suspense : le long métrage dont le titre renvoie à ces femmes qui dérogent aux règles de leur communauté pour développer une activité rémunératrice raconte une success story. Dans le repli d’une tragédie de l’histoire, c’est le récit d’une dignité retrouvée filmée avec sobriété et un réel sens du cadre.
Le Figaro
De cette somme de petits riens, de compliments et d’émotions raréfiés jaillissent la vie, l’espoir, l’énergie d’aller de l’avant. Un témoignage de reconstruction viscéral et taiseux comme en produira sûrement le cinéma ukrainien dans les années à venir.
Le Journal du Dimanche
Rien de très gai mais interpeller le traumatisme d'une guerre récente, énorme et paradoxalement passée sous silence, paraît nécessaire. La réalisatrice kosovare, formée aux Etats-Unis, aborde ce tourment avec tact, mettant en lumière le courage et la persévérance de son héroïne incarnée par une actrice remarquable.
Le Monde
Ainsi, le visage presque monacal de Fahrije, qui semble ne rien vouloir exprimer, témoigne entièrement de son incapacité à faire son deuil et nous plonge dans l’abîme de ceux qui vivent sans savoir ce qui est arrivé.
Libération
Blerta Basholli a opté pour une approche étrangement grise pour aborder le récit de cet affrontement féminin à une double adversité, intime et sociale.
Les Fiches du Cinéma
Sage et vain, le film gâche son beau sujet et troque le portrait libre d’une femme pour une édification doloriste. Et finit par construire, au lieu d’une émancipation, un gibet pour son héroïne.
Première
Dommage cependant qu’en dépit de sa courte durée (1h23), la deuxième partie de son récit peine à trouver un second souffle et souffre de redites par rapport à sa remarquable entame.