Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Alain Grasset
Mais ce marivaudage vaut aussi par le talent de ses interprètes, à commencer par Rupert Everett et Colin Firth, et de Reese Witherspoon, la petite américaine, surprenante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Gilles Renault
Aimable marivaudage, sans surprise ni faute de goût, le film d'Oliver Parker colle à l'oeuvre littéraire en reposant habilement sur les situations équivoques et la haute voltige sémantique à commencer par l'usage du mot "constant", à la fois adjectif et prénom. Dans cette comédie à la fois sage (forme) et délurée (fond), qui s'emploie à dénoter une modernité de ton sous les costumes, chaque comédien occupe le terrain avec un égal métier, de même que la verdure anglaise remplit sa fonction de cadre agréé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Camille Brun
Heureusement, il reste Judi Dench (qui joue M dans les derniers James Bond). Avec sa raideur aristocratique et son cynisme, elle est à la fois méchamment drôle et seule garante de l'esprit d'Oscar Wilde.
Première
par Christian Jauberty
Les acteurs servent joliment le texte. Mais il n'en va pas de même pour Parker, qui brise souvent le rythme en multipliant les initiatives discutables, visuelles et sonores, pour essayer de rendre la pièce plus cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Une adaptation enlevée du marivaudage ironique d'Oscar Wilde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le piège du théâtre filmé, dans lequel Parker tombe à pieds joints, est de feindre d'ignorer ses origines théâtrales.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) un vaudeville pincé sans beaucoup d'étoffe.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Charlotte Lipinska
Les rares audaces visuelles tombent comme un cheveu dans une tasse de thé et il ne reste guère que l'ironie nonchalante des acteurs pour alléger l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Mais ce marivaudage vaut aussi par le talent de ses interprètes, à commencer par Rupert Everett et Colin Firth, et de Reese Witherspoon, la petite américaine, surprenante.
Libération
Aimable marivaudage, sans surprise ni faute de goût, le film d'Oliver Parker colle à l'oeuvre littéraire en reposant habilement sur les situations équivoques et la haute voltige sémantique à commencer par l'usage du mot "constant", à la fois adjectif et prénom. Dans cette comédie à la fois sage (forme) et délurée (fond), qui s'emploie à dénoter une modernité de ton sous les costumes, chaque comédien occupe le terrain avec un égal métier, de même que la verdure anglaise remplit sa fonction de cadre agréé.
MCinéma.com
Heureusement, il reste Judi Dench (qui joue M dans les derniers James Bond). Avec sa raideur aristocratique et son cynisme, elle est à la fois méchamment drôle et seule garante de l'esprit d'Oscar Wilde.
Première
Les acteurs servent joliment le texte. Mais il n'en va pas de même pour Parker, qui brise souvent le rythme en multipliant les initiatives discutables, visuelles et sonores, pour essayer de rendre la pièce plus cinématographique.
Télérama
Une adaptation enlevée du marivaudage ironique d'Oscar Wilde.
Les Inrockuptibles
Le piège du théâtre filmé, dans lequel Parker tombe à pieds joints, est de feindre d'ignorer ses origines théâtrales.
TéléCinéObs
(...) un vaudeville pincé sans beaucoup d'étoffe.
Zurban
Les rares audaces visuelles tombent comme un cheveu dans une tasse de thé et il ne reste guère que l'ironie nonchalante des acteurs pour alléger l'ennui.