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    Belle
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    125 critiques spectateurs

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    Alex
    Alex

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 janvier 2022
    Une très belle histoire, malheureusement beaucoup desservi par le scénario et des dialogues d'un niveau collège.
    Oh bah ça tombe bien c'est une histoire de collégien.
    Les visuels sont très beaux... Quand ça bouge pas, et heureusement la moitié du lonnnnnnnnnnng métrage est en plan fixe, l'autre moitié des réactions, presque comme si on nous disait [Voilà ce que vous devez recentir à ce moment !]. Enfin, faut bien remplir 2h d'annimation.
    Sinon, vous pouvez voir "summer wars" pas du tout la même histoire mais la même thématique. Les univers virtuels permettent beaucoup.
    Stephane BILLAULT
    Stephane BILLAULT

    1 abonné 95 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2022
    Après le très mignon "Mirai ma petite soeur", Mamoru Hosoda réalise un film à l'histoire plus ambitieuse. Le résultat est magnifique, car les images à l'écran sont fluides, et les thèmes abordés sont forts. La chanteuse Louanne prête sa voix à l'héroïne, s'en sort très bien, et sa voix cristalline sublime les chansons en VF. Le scénario crée de nombreuses fausses pistes et histoires parallèles autour de personnages secondaires, mais le tout s'emboite comme des briques danoises, et rend l'ensemble cohérent.
    Depuis la retraite d'Hayao Miyazaki, le réalisateur prouve qu'il est le digne rival de Makoto Shinkai pour la place de N°1 de l'animation japponaise
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    178 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juillet 2022
    Il est inspiré du conte de fée français La Belle et la Bête
    Il s'agit du sixième film d'animation écrit et réalisé par Mamoru Hosoda après Miraï, ma petite sœur et le quatrième produit par le Studio Chizu qui marque son 10e anniversaire en 2021
    Comme dans le deuxième film de Mamoru Hosoda, Summer Wars, l'histoire se déroule dans un monde virtuel
    FaRem
    FaRem

    8 792 abonnés 9 636 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 août 2022
    Une sorte de version moderne de "La Belle et la Bête" se déroulant à l'ère des réseaux sociaux avec ici Suzu, une adolescente invisible aux yeux des autres qui devient du jour au lendemain une star de la chanson dans un univers virtuel où se retrouve quasiment l'ensemble de la population. Là-bas, elle y fait la rencontre d'une créature crainte de tous qui l'intrigue, car elle voit en elle quelque chose que les autres ne voient pas. "Belle" est un conte enchanteur qui lie à la fois le monde réel et virtuel avec des actions qui ont des conséquences dans les deux mondes. Sans nous proposer un monde idéal, Mamoru Hosoda se montre assez positif envers les réseaux sociaux qui servent ici d'échappatoire à un quotidien difficile pour beaucoup de monde avec comme message positif celui de pouvoir changer le monde d'une personne grâce à cet outil. J'ai trouvé l'univers superbe, les thèmes abordés intéressants et la révélation touchante, par contre il y a beaucoup de longueurs tandis que la relation entre Bella et la créature fait un peu trop Disney. Quant à Suzu, j'ai eu beaucoup de mal avec son personnage dans la vraie vie avec des réactions insupportables même si ce n'est pas sa faute si elle est comme ça au contact des autres. Dans le monde virtuel de U, sa grâce subjugue et les passages chantés sont probablement les meilleurs moments du film pour la grâce et à la douceur qu'ils dégagent. Au final, on se laisse porter par cet univers riche, mais le film, bien que pas mal, aurait pu être beaucoup mieux.
    Yetcha
    Yetcha

    895 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 août 2022
    Quelle déception ! Hosada que j'adore (Summer Wars, Miraï, Les enfants loups, Le garçon et la bête, La traversée du temps...) nous livre là une lecture des réseaux sociaux qui est fatigante, longue et même pénible. La bande son est très mauvaise et le chara design décevant. Bref, tout y est, ou plutôt... rien n'y est.
    Acidus
    Acidus

    736 abonnés 3 720 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2023
    Les japonais ne font jamais rien comme les autres et les voici qui reprennent le conte de "La Belle et la Bête" pour le transposer dans un univers de réalité virtuel. Le film d'animation ne s'arrête pas à cette seule influence et développe une intrigue avec des thèmes chers à l'adolescence (acceptation de soi, perte d'un parent, maltraitance,...). Visuel coloré et beau avec une bonne bande musicale. Peut-être un peu trop long et un scénario pas toujours cohérent avec pas mal de facilités.
    L'ensemble demeure gentillet mais agréable à visionner. Il est clair que les ados sont ici le public visé.
    Mamoru Hosoda nous a habitué à mieux mais ce "Belle" reste un bon film d'animation.
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2021
    C’est avec « La Traversée du Temps » et « Summer Wars » que Mamoru Hosoda a pris son envol, parallèlement au studio Chizu, qui semble avoir laissé les classiques de Ghibli derrière lui. Et lorsque l’on sait que sa collaboration avec Jin Kim, talentueux animateur et concepteur de personnages chez Disney, est imminente, nous sommes en droit d’espérer un joli parti-pris graphique de l’animation japonaise traditionnelle et ce nouveau monde, au centre des débats de ce dernier long-métrage. Si le réalisateur n’a jamais caché son inspiration pour le conte « La Belle et la Bête », ses œuvres précédentes en témoignent, elle ne pouvait pas être plus manifeste qu’ici, au détour de la matrice. C’est également un hommage à la version de 1991, qui emporte autant qu’elle éblouit par sa profondeur. C’est un drame fort, avant que ce ne soit une romance impossible. C’est une impasse, que l’héroïne affronte, par une forme de solitude, justifiée ici par le deuil qu’elle traverse.

    Suzu est une lycéenne qui vit dans un Japon rural, mais pas pour autant déconnecté de la réalité que le monde virtuel. Portables et application offrent à tous le confort et la possibilité de changer son destin. C’est dans ce sens-là qu’Hosoda manœuvre, avec un optimisme rare, car la technologie des réseaux sociaux n’a pas toujours qu’une face maléfique. Fidèle aux précédentes héroïnes du cinéaste, nous avons là une Suzu qui cherche sa voix, qui cherche une plateforme sur laquelle rebondir et d’enfin exister, dans ce monde qui paraît lui avoir tout enlevé. « U », c’est « You ». Une ironie flagrante, qui promet un avatar sacralisé de sa propre personne, alors que l’on souhaite mettre en avant la liberté identitaire. La réalité virtuelle clame sa générosité et la jeune fille, timide et torturée, n’a pourtant rien à envier aux princesses qui la précèdent. Mais il n’est pas question d’enrober Suzu par la « Belle » qui sommeille en elle, car il n’y a pas qu’une seule définition de Belle dans toute cette panoplie de personnages féminins.

    Suzu incarne toutefois celle qui a le potentiel de séduire, grâce à une sincérité chantée et animée. C’est alors dommage de limiter des personnages secondaires, qui auraient pu apporter plus de nuances et d’émotions, au service de la pop-star éphémère. Il faut donc le souligner, c’est aussi ça la dureté de « U », qui rappelle que la perversion et les fake news ne sont jamais bien loin. Si ce cadre peut en laisser plus d’un sur la touche, ce seront les adolescents qui auront leur compte et leur lot d’espoir, qui se transmet via la vulnérabilité de l’héroïne. Elle la transforme en un innocent amour, qui touchera cette Bête, qui la guette et dont ils partagent une écoute mutuelle. Sa férocité cache bien des douleurs, qu’il convient de révéler. Et c’est sur cet axe rudimentaire, mais poignant, que le dernier acte se confie et joue sur la carte de l’acceptation. Douleur et gloire se confondent, mais finalement ce qui importe, c’est simplement trouver la force de s’exprimer.

    En inspirant des craintes sur la déviance relationnelle de sa fille, Hosoda concocte « Belle » comme un souffle de courage, qui pousse les plus jeunes à se défaire de l’oppression parentale ou encore de resserrer des liens perdus. La démonstration y est ludique, mais manque sans doute d’être incisive dans les conflits que Suzu rencontrent au quotidien. L’image de la perfection est un fardeau social, qui trouve de l’écho dans les relations sentimentales, mais la surcouche féerique freine quelques fois l’envol de chants salvateurs. Si le miroir virtuel est évident dans son dénouement, il reste encore de la place pour faire exister une communauté connectée et la complémentarité entre la Belle et la Bête.
    Ti Nou
    Ti Nou

    508 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2023
    À l’instar de Guillermo Del Toro avec "La forme de l’eau", Mamoru Hosoda nous livre sa version personnelle de "La Belle et la Bête". Version moderne à l’heure des réseaux sociaux, Hosoda aborde le virtuel comme un bac à sable lui permettant nombre d’expérimentations visuelles et esthétiques.
    moket
    moket

    541 abonnés 4 349 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    C'est beau, très riche et enivrant, si bien qu'on finit presque par se perdre dans cet univers visuellement si foisonnant. En revanche, j'étais un peu trop fatigué pour le regarder en VO. Mal m'en a pris car les chansons de Louane, j'ai vraiment du mal...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 février 2023
    Le réalisateur Mamoru Hosoda, considéré comme l'un des grands talents du monde de l'animation, confirme avec "Belle" sa capacité à appréhender des concepts modernes (les réseaux sociaux) et à en imaginer des évolutions qui le dirigent clairement vers la science-fiction. Comme dans son très bon "Summer Wars", il trouve un équilibre subtil entre le monde réel, champêtre, calme, magnifiquement dessiné, et un univers virtuel survitaminé dans lequel l’héroïne, une jeune lycéenne introvertie, est une méga-star mondiale. "Belle" fait preuve d'une profondeur et d'une ambition remarquables à tous les niveaux, et se situe incontestablement dans le haut du panier du genre: un immanquable pour les amateurs du Cinéma japonais !
    Charlotte28
    Charlotte28

    128 abonnés 2 031 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 août 2022
    Une relecture originale de la Belle et la Bête qui reprend divers aspects du conte tout en modernisant le concept et en y ajoutant des éléments d'interprétation fort intéressants et plus adultes. Bénéficiant d'un dessin magnifique, notamment dans son traitement des couleurs, tout en nuances et en symbolisme, l'animé musical ne laisse d'autant pas indifférent que le sort des protagonistes subtilement dessinés intrigue. Une belle partition!
    carbone144
    carbone144

    94 abonnés 775 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2022
    Un nouveau film animé japonais dans la lignée de ceux qui traitent des histories relationnelles entre adolescents. Ici, nous avons droit à une histoire assez subtile concernant l'impact de la réalité virtuelle sur la vie réelle à travers un jeu de recherche et de dévoilement d'identité. Malgré tout, et bien qu'ayant apprécié la qualité du son et des images, j'ai eu du mal à m'immerger avec implication dans cette oeuvre qui m'a paru être un mélange de Ready Player One et de Reine des Neiges. Pour moi, il ne ressort pas parmi les meilleures du genre. A voir pour les amateurs du genre uniquement. (2,75/5)
    chatiment
    chatiment

    15 abonnés 406 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2022
    Une revisite de la belle et la bete, actualisé avec les jeux videos, la réalité virtuelle, de belles musiques, parfois un peu trop lent, statique en terme de fluidité. Le film aurait pu etre reduit de 15min sans perdre se son histoire.

    Des themes toujours d'actualité: savoir s'aimer comme on est, prendre confiance en soi, l'effet a la fois bienfaisant mais aussi délétère des reseaux sociaux sur la vie et les interactions humaine
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2022
    Après les très jolis “La traversée du temps”, “Le garçon et la bête” et “Miraï, ma petite soeur” pour ne citer qu’eux, le réalisateur japonais Mamoru Hosoda revient avec un nouveau film d’animation qui revisite le conte de “La belle et la bête” à l’heure du numérique. La jeune Suzu Naito vit dans le Japon moderne et s’est créé une identité numérique dans le monde virtuel U. Réservée dans la vraie vie, c’est une icône musicale suivie par plus de cinq milliards de followers dans U. Lors d’un de ses concerts, une créature violente surgit et les protecteurs du monde virtuel cherchent à la chasser. Attirée, Belle cherchera à venir en aide à la Bête. Si les scènes de Suzu respirent l’authenticité, celles dévolues au monde numérique s’enlisent dans un excès d’effets numériques qui nuisent à la bonne compréhension de l’intrigue. Ainsi, “Belle” n’est pas un film pour les enfants qui pourront décrocher face à un univers complexe, les plus grands eux, resteront perplexes.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Audrey L
    Audrey L

    647 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 juillet 2022
    La Belle et la Bête mélangé avec...Hannah Montana ? Comment ça, vous ne voyez pas le rapport ? La jeune fille invisible à l'école, qui n'arrive pas à s'épanouir sous son apparence réelle, mais est la méga pop-star numéro 1 adulée de tous, cachée sous le pseudo "Bell"... Et qui chante sur l'amour et les messages faciles (et très niais) toutes les vingt minutes, ne manquait plus que les gags et on y était. Il nous a mis un coup de vieux, ce synopsis, d'autant plus lorsque déboule la deuxième intrigue (dont la transition est bancale), celle du conte de la Belle et la Bête (en version tardive, et non l'originale, pour cette dernière : allez chez Cocteau). Malheureusement, on pense que même Disney pourra être étonné de la dose de mièvrerie dont fait part ce Belle, à toujours laisser les images s'épancher dans les frôlements tendres de la jeune fille sur la bébête si forte et puissante, si ténébreuse (avec sa mèche qui lui couvre les yeux, trop dark), et un final noyé sous les larmes et les bons sentiments qui le réservent à un jeune public ou amateur de guimauve. Pour notre part, on a souvent eu envie de décamper devant ce discours sur le danger des réseaux sociaux et des avatars, aussi fin qu'un éléphant, à la mise en images épileptique et aux personnages secondaires dont on se fiche éperdument, de même que le fonctionnement de ce monde (pourquoi l'héroïne est une femme en belle robe alors que d'autres ressemblent aux Thundercats en costume moulant ?) ou même de la fin de l'intrigue, inexistante : spoiler: parce que la jeune fille a lancé un regard noir au papa violent, il s'arrête de battre ses enfants et s'écroule (face à cette scène, on tombe aussi sur nos derrières)...et ? Est-on vraiment censé croire que ce petit regard en biais suffira à ce qu'il ne recommence pas ? Comme il récidive dès après avoir été exposé publiquement
    , on peut se douter que cette happy-end cucul n'est qu'une façade, qui est assez maline pour couper juste avant que le spectateur ne s'en aperçoive (sauf que...). Évidemment, Mamoru Hosoda créé de belles images ponctuelles, comme les concerts qui jouent avec l'immensité de la foule, les gros plans sur la chanteuse très lumineux et colorés, mais cela ne suffit plus. On veut maintenant plus qu'un bel emballage, et à part ses messages engagés faciles (à portée d'ados, guère plus) et ses bons sentiments dégoulinants, Belle nous a franchement déçu.
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