Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Belle est aussi sublime visuellement que gorgé d’espoir en l’espèce humaine, représentée par des jeunes solidaires. C’est peut-être parce que Mamoru Hosoda y a mis beaucoup de lui-même que Belle est une telle merveille.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Mamoru Hosoda confirme sa place au sommet des réalisateurs japonais d’animation.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
par La rédaction
Cet échafaudage à plusieurs niveaux dépasse en ambition et en raffinement plastique les précédents animes du Nippon, qui a l’énorme mérite de se diversifier constamment et de surprendre de film en film, tout en restant fidèle à ses thèmes et à son esthétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
L'un des plus beaux films d’animation de ces dernières années.
Le Parisien
par La rédaction
C’est sur la forme que cette création éblouit : Hosoda, tout en rendant hommage à la version de Disney et en construisant des tableaux dans la grande tradition de l’animation japonaise pour la partie « vie réelle », décline un univers virtuel époustouflant avec le monde virtuel de « U ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Lloyd Chéry
Hosoda réinterprète avec brio une histoire que nous connaissons par cœur tout en mêlant des éléments de féerie et de science-fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Thierry Cheze
On est tout autant fasciné par la richesse de l’univers créé par Hosada que par les multiples thématiques qu’il aborde sans jamais se faire donneur de leçon (de la complexité du rapport aux réseaux sociaux aux enfants battus).
Première
par Sylvestre Picard
Le film ne se contente pas juste d'être totalement beau et absolument divertissant, mais de nous montrer la possibilité d'un tout nouvel univers.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
par Olivier Bombarda
Hosoda prouve sa qualité d’auteur dépassant l’étiquette de « conteur pour enfants », que l’on attribue (encore) aux artistes d’ « anime » japonaise. Belle est une nouvelle occasion de briser les préjugés.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Belle, film-somme et nouvelle étape dans la construction de l’œuvre, se déploie sur une dimension supplémentaire, ouvertement référentielle, puisqu’il s’affiche d’emblée comme une relecture du conte déjà fréquenté par le cinéma qu’est La Belle et la Bête de Jeanne Marie Leprince de Beaumont.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Au bout du « conte », qui reprend les grandes lignes de la BELLE ET LA BÊTE qu’il détourne ensuite, le cinéaste japonais nous entraîne dans une fable fantastique sur la quête de confiance en soi et la prise de conscience du monde qui nous entoure.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Merveille visuelle, enivrante, revigorante et émouvante, Belle impressionne au point de s’imposer comme le film de la maturité pour son auteur, capable de passer d’un tourbillon d’images et de sons, à de bouleversants silences en une fraction de seconde.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Mélodrame virtuose, et œuvre inspirée sur la place des mondes virtuels dans nos vies, Belle est un bijou de sensibilité, où Mamoru Hosoda transforme nos petits cœurs cyniques en pâté, le tout avec une facilité déconcertante. Le film immanquable de cette fin d'année !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Margaux Bonfils
Belle est en résumé un beau film d’animation qui aborde tour à tour des thèmes forts comme le deuil, l'amour, l'amitié. Si l'on peut reprocher une fin du récit un peu longue, l'oeuvre n'est pas moins émouvante et profonde, le cocktail parfait pour rêver en ces temps de fêtes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
IGN France
par Damien Hilaire
Oui, Belle n'est pas le plus cohérent des films de l'année, ni le plus simple, mais il est peut-être l'un des plus touchants avec des personnages attachants et profondément humains qui nous emportent dans deux heures particulièrement émouvantes de balade dans un univers pas si différent du nôtre.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Il ne s’agit pas d’une énième adaptation du conte de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, mais bien d’une réinterprétation de cette figure éternelle pour délivrer un message intelligent sur la famille et les réseaux sociaux, message positif qui cherche à montrer ce qu’il y a de plus beau dans l’humanité.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si l’on retrouve les thèmes de prédilection de l’auteur (la violence faite aux enfants, la perte de l’innocence, les faux-semblants des univers virtuels), le scénario les revisite avec une nouvelle ampleur. Ici, la puissance graphique sublime le récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
L’émancipation de Suzu à travers les réseaux sociaux se révèle particulièrement émouvante. Le vrai visage de la Bête va vous cueillir. Et la représentation onirique de l’univers virtuel est d’une richesse confondante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
On ne présente plus Mamoru Hosoda, star du film d’animation japonais qui revient avec un nouveau bijou, Belle, une histoire d'amitié imaginée pour sa fille adolescente. On aurait tort de croire cependant que le film, très beau, leur est réservé.
Mad Movies
par Laurent Duroche
Un film d'une profonde modernité, mais reposant sur des archétypes immémoriaux capables de parler à tout un chacun sur cette planète, dans quelque coin qu'il vive.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Avec « Belle », relecture féministe 3.0 de « La Belle et la Bête », le maître de l’animation signe enfin la comédie musicale virtuose de ses rêves.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
Le huitième film d’animation de Mamoru Hosoda irrite parfois par son scénario touffu où l’auteur semble se perdre dans tous les thèmes qu’il tente d’aborder, mais emporte l’adhésion par sa réalisation éblouissante.
Télé 2 semaines
par Gwenola Trouillard
Un film d'animation somptueux.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
La réflexion, qui évite le manichéisme, sur la toxicité des réseaux sociaux, n’empêche ni l’humour ni le grand spectacle.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Mamoru Hosoda (Les Enfants loups) transpose le mythe de La Belle et la Bête dans ce film d'animation somptueux.
Voici
par La rédaction
Avec cette romance flamboyante et contemporaine sur la quête d'identité, le cinéaste (Miraï, Les Enfants Loups...) porte un regard bienveillant, positif, féministe et plein d'espoir sur la jeunesse.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Spectacle immersif dans un monde flottant saturé de couleurs vives et de décors baroques frisant le kitsch, cette relecture de La Belle et la Bête, qui multiplie les clins d’œil à Cocteau et Disney, est à la fois romantique et sombre, drôle et grave, divertissante et inquiétante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Simon Cherner
Derrière le remake sirupeux de La Belle et la Bête, Mamoru Hosoda (Les Enfants loups, Le Garçon et la Bête) signe une fable éclatante sur notre monde numérique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le cinéaste japonais dresse le portrait lucide d'une époque qui se réfugie sur les réseaux sociaux pour ne pas assumer son identité [...] en traitant en plus des sujets douloureux comme le deuil d'un parent et la maltraitance des enfants. De quoi pardonner quelques longueurs.
Libération
par Marius Chapuis
Si Belle ressemble à un Disney, c’en est une version détraquée, hybride, déchirée entre le passé et le présent du cinéaste, entre l’envie de toucher une très large audience et d’expérimenter. Tristement, Hosoda n’est jamais aussi juste que lors des rares moments où il abandonne tout ce décorum grandiloquent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Stéphane Jarno
Éblouissantes, vertigineuses, superbement mises en scène, les séquences qui se déroulent dans « U » sont mémorables. Hélas, la mayonnaise du scénario a du mal à prendre. En courant trop de lièvres à la fois, Hosoda s’égare et nous laisse parfois sur le bord du chemin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Corentin Lê
Les quelques scènes réussies s’inscrivent malheureusement dans une trajectoire morale convenue et consensuelle, à l’image de la fadeur (relative) du monde virtuel sur lequel le film de Hosoda fonde son argument.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Mais l’animateur est un réaliste qui s’ignore : si les scènes consacrées au quotidien de Suzu sont splendides, celles dévolues à l’univers numérique de U croulent sous une surcharge d’effets clinquants et un déversement de formes vulgaires.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Si Belle concentre tout ce qui a fait la renommée de son réalisateur, le scénario, dont Mamoru Hosoda est également l’auteur, se trouve ici moins abouti que ceux de ces précédents films. Frustrant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Difficile de se sentir réellement concerné par cette tambouille pop-dépressive, que ce soit dans ses poussées d’acné onirico-virtuelles, ou dans ce que Hosada semble vouloir nous présenter comme de grands moments de drame contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Belle est aussi sublime visuellement que gorgé d’espoir en l’espèce humaine, représentée par des jeunes solidaires. C’est peut-être parce que Mamoru Hosoda y a mis beaucoup de lui-même que Belle est une telle merveille.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mamoru Hosoda confirme sa place au sommet des réalisateurs japonais d’animation.
L'Humanité
Cet échafaudage à plusieurs niveaux dépasse en ambition et en raffinement plastique les précédents animes du Nippon, qui a l’énorme mérite de se diversifier constamment et de surprendre de film en film, tout en restant fidèle à ses thèmes et à son esthétique.
Le Dauphiné Libéré
L'un des plus beaux films d’animation de ces dernières années.
Le Parisien
C’est sur la forme que cette création éblouit : Hosoda, tout en rendant hommage à la version de Disney et en construisant des tableaux dans la grande tradition de l’animation japonaise pour la partie « vie réelle », décline un univers virtuel époustouflant avec le monde virtuel de « U ».
Le Point
Hosoda réinterprète avec brio une histoire que nous connaissons par cœur tout en mêlant des éléments de féerie et de science-fiction.
Ouest France
On est tout autant fasciné par la richesse de l’univers créé par Hosada que par les multiples thématiques qu’il aborde sans jamais se faire donneur de leçon (de la complexité du rapport aux réseaux sociaux aux enfants battus).
Première
Le film ne se contente pas juste d'être totalement beau et absolument divertissant, mais de nous montrer la possibilité d'un tout nouvel univers.
Bande à part
Hosoda prouve sa qualité d’auteur dépassant l’étiquette de « conteur pour enfants », que l’on attribue (encore) aux artistes d’ « anime » japonaise. Belle est une nouvelle occasion de briser les préjugés.
Cahiers du Cinéma
Belle, film-somme et nouvelle étape dans la construction de l’œuvre, se déploie sur une dimension supplémentaire, ouvertement référentielle, puisqu’il s’affiche d’emblée comme une relecture du conte déjà fréquenté par le cinéma qu’est La Belle et la Bête de Jeanne Marie Leprince de Beaumont.
CinemaTeaser
Au bout du « conte », qui reprend les grandes lignes de la BELLE ET LA BÊTE qu’il détourne ensuite, le cinéaste japonais nous entraîne dans une fable fantastique sur la quête de confiance en soi et la prise de conscience du monde qui nous entoure.
Culturopoing.com
Merveille visuelle, enivrante, revigorante et émouvante, Belle impressionne au point de s’imposer comme le film de la maturité pour son auteur, capable de passer d’un tourbillon d’images et de sons, à de bouleversants silences en une fraction de seconde.
Ecran Large
Mélodrame virtuose, et œuvre inspirée sur la place des mondes virtuels dans nos vies, Belle est un bijou de sensibilité, où Mamoru Hosoda transforme nos petits cœurs cyniques en pâté, le tout avec une facilité déconcertante. Le film immanquable de cette fin d'année !
Franceinfo Culture
Belle est en résumé un beau film d’animation qui aborde tour à tour des thèmes forts comme le deuil, l'amour, l'amitié. Si l'on peut reprocher une fin du récit un peu longue, l'oeuvre n'est pas moins émouvante et profonde, le cocktail parfait pour rêver en ces temps de fêtes.
IGN France
Oui, Belle n'est pas le plus cohérent des films de l'année, ni le plus simple, mais il est peut-être l'un des plus touchants avec des personnages attachants et profondément humains qui nous emportent dans deux heures particulièrement émouvantes de balade dans un univers pas si différent du nôtre.
L'Ecran Fantastique
Il ne s’agit pas d’une énième adaptation du conte de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, mais bien d’une réinterprétation de cette figure éternelle pour délivrer un message intelligent sur la famille et les réseaux sociaux, message positif qui cherche à montrer ce qu’il y a de plus beau dans l’humanité.
L'Obs
Si l’on retrouve les thèmes de prédilection de l’auteur (la violence faite aux enfants, la perte de l’innocence, les faux-semblants des univers virtuels), le scénario les revisite avec une nouvelle ampleur. Ici, la puissance graphique sublime le récit.
La Voix du Nord
L’émancipation de Suzu à travers les réseaux sociaux se révèle particulièrement émouvante. Le vrai visage de la Bête va vous cueillir. Et la représentation onirique de l’univers virtuel est d’une richesse confondante.
Les Fiches du Cinéma
On ne présente plus Mamoru Hosoda, star du film d’animation japonais qui revient avec un nouveau bijou, Belle, une histoire d'amitié imaginée pour sa fille adolescente. On aurait tort de croire cependant que le film, très beau, leur est réservé.
Mad Movies
Un film d'une profonde modernité, mais reposant sur des archétypes immémoriaux capables de parler à tout un chacun sur cette planète, dans quelque coin qu'il vive.
Paris Match
Avec « Belle », relecture féministe 3.0 de « La Belle et la Bête », le maître de l’animation signe enfin la comédie musicale virtuose de ses rêves.
Positif
Le huitième film d’animation de Mamoru Hosoda irrite parfois par son scénario touffu où l’auteur semble se perdre dans tous les thèmes qu’il tente d’aborder, mais emporte l’adhésion par sa réalisation éblouissante.
Télé 2 semaines
Un film d'animation somptueux.
Télé 7 Jours
La réflexion, qui évite le manichéisme, sur la toxicité des réseaux sociaux, n’empêche ni l’humour ni le grand spectacle.
Télé Loisirs
Mamoru Hosoda (Les Enfants loups) transpose le mythe de La Belle et la Bête dans ce film d'animation somptueux.
Voici
Avec cette romance flamboyante et contemporaine sur la quête d'identité, le cinéaste (Miraï, Les Enfants Loups...) porte un regard bienveillant, positif, féministe et plein d'espoir sur la jeunesse.
La Croix
Spectacle immersif dans un monde flottant saturé de couleurs vives et de décors baroques frisant le kitsch, cette relecture de La Belle et la Bête, qui multiplie les clins d’œil à Cocteau et Disney, est à la fois romantique et sombre, drôle et grave, divertissante et inquiétante.
Le Figaro
Derrière le remake sirupeux de La Belle et la Bête, Mamoru Hosoda (Les Enfants loups, Le Garçon et la Bête) signe une fable éclatante sur notre monde numérique.
Le Journal du Dimanche
Le cinéaste japonais dresse le portrait lucide d'une époque qui se réfugie sur les réseaux sociaux pour ne pas assumer son identité [...] en traitant en plus des sujets douloureux comme le deuil d'un parent et la maltraitance des enfants. De quoi pardonner quelques longueurs.
Libération
Si Belle ressemble à un Disney, c’en est une version détraquée, hybride, déchirée entre le passé et le présent du cinéaste, entre l’envie de toucher une très large audience et d’expérimenter. Tristement, Hosoda n’est jamais aussi juste que lors des rares moments où il abandonne tout ce décorum grandiloquent.
Télérama
Éblouissantes, vertigineuses, superbement mises en scène, les séquences qui se déroulent dans « U » sont mémorables. Hélas, la mayonnaise du scénario a du mal à prendre. En courant trop de lièvres à la fois, Hosoda s’égare et nous laisse parfois sur le bord du chemin.
Critikat.com
Les quelques scènes réussies s’inscrivent malheureusement dans une trajectoire morale convenue et consensuelle, à l’image de la fadeur (relative) du monde virtuel sur lequel le film de Hosoda fonde son argument.
Le Monde
Mais l’animateur est un réaliste qui s’ignore : si les scènes consacrées au quotidien de Suzu sont splendides, celles dévolues à l’univers numérique de U croulent sous une surcharge d’effets clinquants et un déversement de formes vulgaires.
aVoir-aLire.com
Si Belle concentre tout ce qui a fait la renommée de son réalisateur, le scénario, dont Mamoru Hosoda est également l’auteur, se trouve ici moins abouti que ceux de ces précédents films. Frustrant.
Les Inrockuptibles
Difficile de se sentir réellement concerné par cette tambouille pop-dépressive, que ce soit dans ses poussées d’acné onirico-virtuelles, ou dans ce que Hosada semble vouloir nous présenter comme de grands moments de drame contemporain.