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La description minutieuse de l'évolution de la relation entre les deux personnages centraux, la beauté de l'actrice principale Misa Shimizu, une attention à un comique quotidien fait d'incongruités et de banalités et aux personnages secondaires confirment, si besoin était, que le plaisir, avec Imamura, est toujours du côté du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dans des couleurs éclatantes, ce conte rieur est un enchantement (...) Cette malicieuse leçon de désir, de plaisir, est un pur moment de sensualité joyeuse. Une perle rare en ces temps de sinistrose !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Imamura (...) ne s'encombre plus de limites, ni de bienséance pour alimenter sa fable morale. Les orgasmes de Saeko sont autant de geysers jubilatoires, coups de Karcher organique évacuant les carcans sociaux
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Avec ce film impertinent qui, au passage, stigmatise quelques cultes du Japon moderne (passion du travail, normalisation sociale...), le cinéaste atteint un nouveau sommet.
La critique complète est disponible sur le site Première
De l'eau tiède sous un pont rouge est l'oeuvre d'un cinéaste absolument libre de ses mouvements qui s'affiche comme le chantre vigoureux et malicieux du désordre. De tous les désordres, ceux de la nature comme ceux de l'esprit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Fraîche comme un gardon, cette fable délirante et triviale, énergique et polissonne, est une ode joyeusement hédoniste au cosmos, où se mêlent spiritualité orientale et philosophie de la Nature (...) Imamura joue la carte de l'espièglerie et de la trivialité pour chanter sa vision du monde, ce délire panthéiste qui anime depuis toujours ses films et la mécanique pulsionnelle de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le style d'Imamura possède aussi une passe secrète, qui permet à ses films les plus désespérés de préserver un potentiel d'espoir : son extraordinaire sens de l'humour, insolite et grinçant, plus que jamais à l'oeuvre dans cet apologue féministe testamentaire qu'est De l'eau tiède sous un pont rouge.
Trésor introuvable, ou presque, bien sûr, sinon dans les surprises de la vie, à considérer comme une merveille, tout comme ce film-anguille qui aurait bien mérité de voir Imamura remporter... sa troisième palme d'or.
La critique complète est disponible sur le site Aden
De l'eau tiède sous un pont rouge se révèle ainsi une très jolie fable moderne, pleine d'eau et de poissons, et pleine d'hommes qui sont remplis de sentiments et de désirs. Et Imamura se révèle une fois de plus un affabulateur émerveillé par les femmes, qui semble avec ce film vouloir affirmer au monde entier qu'à 75 ans, il bande encore.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Ce film de l'extrême maturité (notre homme a 76 ans!) ne lâche pas le morceau, Imamura le dit lui-même dans une note d'intention: "Je voulais savoir sur quoi repose cette nature profonde des femmes..." Vaste question dans laquelle nous sommes joyeusement invités à venir nous noyer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
De l'eau tiède sous un pont rouge est (...) une pure fantaisie, proche (en plus de partager les mêmes acteurs) d'un précédent film d'Imamura, L'Anguille, en plus léger (...) Cette fantaisie n'est pas gratuite. En mettant l'étrangeté sur le même plan que la vie normale, Imamura fait passer un message de tolérance et d'humilité et réalise le plus accessible de ses films politiques.
par Alain Grasset , Philippe Vavasseur et Alain Morel
Si on est client on sourira souvent et on aimera beaucoup l'idée très poétique d'une femme qui se vide comme un ruisseau vivant lorsqu'elle fait l'amour. Présenté à Cannes cette année, cet objet de curiosité est reparti bredouille, ce n'est pas surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Obs
(...) De l'eau sous un pont rouge est un film pétillant de malice dans lequel tout peut arriver et où tout arrive, y compris une pêche miraculeuse.
Le Monde
La description minutieuse de l'évolution de la relation entre les deux personnages centraux, la beauté de l'actrice principale Misa Shimizu, une attention à un comique quotidien fait d'incongruités et de banalités et aux personnages secondaires confirment, si besoin était, que le plaisir, avec Imamura, est toujours du côté du cinéma.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Dans des couleurs éclatantes, ce conte rieur est un enchantement (...) Cette malicieuse leçon de désir, de plaisir, est un pur moment de sensualité joyeuse. Une perle rare en ces temps de sinistrose !
Novaplanet.com
Imamura (...) ne s'encombre plus de limites, ni de bienséance pour alimenter sa fable morale. Les orgasmes de Saeko sont autant de geysers jubilatoires, coups de Karcher organique évacuant les carcans sociaux
Première
Avec ce film impertinent qui, au passage, stigmatise quelques cultes du Japon moderne (passion du travail, normalisation sociale...), le cinéaste atteint un nouveau sommet.
Télérama
De l'eau tiède sous un pont rouge est l'oeuvre d'un cinéaste absolument libre de ses mouvements qui s'affiche comme le chantre vigoureux et malicieux du désordre. De tous les désordres, ceux de la nature comme ceux de l'esprit.
Urbuz
Fraîche comme un gardon, cette fable délirante et triviale, énergique et polissonne, est une ode joyeusement hédoniste au cosmos, où se mêlent spiritualité orientale et philosophie de la Nature (...) Imamura joue la carte de l'espièglerie et de la trivialité pour chanter sa vision du monde, ce délire panthéiste qui anime depuis toujours ses films et la mécanique pulsionnelle de ses personnages.
Zurban
Le style d'Imamura possède aussi une passe secrète, qui permet à ses films les plus désespérés de préserver un potentiel d'espoir : son extraordinaire sens de l'humour, insolite et grinçant, plus que jamais à l'oeuvre dans cet apologue féministe testamentaire qu'est De l'eau tiède sous un pont rouge.
Aden
Trésor introuvable, ou presque, bien sûr, sinon dans les surprises de la vie, à considérer comme une merveille, tout comme ce film-anguille qui aurait bien mérité de voir Imamura remporter... sa troisième palme d'or.
Chronic'art.com
Il y a chez Imamura une supériorité dans cette capacité à fusionner le trivial et le délicat, l'animal et la pensée par la seule mise en scène.
Fluctuat.net
De l'eau tiède sous un pont rouge se révèle ainsi une très jolie fable moderne, pleine d'eau et de poissons, et pleine d'hommes qui sont remplis de sentiments et de désirs. Et Imamura se révèle une fois de plus un affabulateur émerveillé par les femmes, qui semble avec ce film vouloir affirmer au monde entier qu'à 75 ans, il bande encore.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
De l'eau tiède... est une oeuvre fluide et limpide qui reste constamment sur le terrain du réalisme quotidien.
Libération
Ce film de l'extrême maturité (notre homme a 76 ans!) ne lâche pas le morceau, Imamura le dit lui-même dans une note d'intention: "Je voulais savoir sur quoi repose cette nature profonde des femmes..." Vaste question dans laquelle nous sommes joyeusement invités à venir nous noyer.
MCinéma.com
De l'eau tiède sous un pont rouge est (...) une pure fantaisie, proche (en plus de partager les mêmes acteurs) d'un précédent film d'Imamura, L'Anguille, en plus léger (...) Cette fantaisie n'est pas gratuite. En mettant l'étrangeté sur le même plan que la vie normale, Imamura fait passer un message de tolérance et d'humilité et réalise le plus accessible de ses films politiques.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Si on est client on sourira souvent et on aimera beaucoup l'idée très poétique d'une femme qui se vide comme un ruisseau vivant lorsqu'elle fait l'amour. Présenté à Cannes cette année, cet objet de curiosité est reparti bredouille, ce n'est pas surprenant.