Donc la cheffe de Buzz est une femme (logique puisque j'ai écrit lA chefFE), noire, homosexuelle, en couple avec une asiatique et elles ont un enfant ensemble...
Bienvenue à Hollywood, la capitale mondiale de la secte dangereuse au possible (autant que les terroristes) qu'on appelle mouvement woke, ou wokisme.
Je rappelle (petite leçon d'anglais) que woke est le participe passé du verbe to awake, se réveille, donc woke = éveillé... quand on voit les propos, les thèses, les théories que soutiennent ces gens (notamment via l'extrême gauche française), il y a de quoi se tordre de rire devant l'ironie, parce que d'une part, il y a de quoi penser qu'on dort, qu'on est en plein cauchemar, et donc pas éveillé, et d'autre part, surtout, parce qu'éveillé signifie conscient, réfléchi, or c'est tout l'opposé que 99 d de leurs déclarations, accusations, agressions démontre.
Je vais préciser en vitesse parce que je hais l'injustice, et les faux procès, les erreurs de jugement, que je n'ai rien contre les femmes, ni contre les noirs, ni contre les homos; bien au contraire, je hais toute forme d'intolérance et j'ai plus qu'à mon tour dénoncé des propos sexistes (qu'ils viennent d'hommes ou de femmes, il y a des gens malsains parmi les 2 sexes, chose qu'on a tendance à ignorer vu qu'on entend parler constamment de machisme - qui existe et est à bannir - mais pour ainsi dire jamais du sexisme virulent et violent et insultant et parfois totalement gratuit de certaines femmes à l'encontre de le gent masculine), racistes (idem, le racisme, ça marche dans tous les sens, et les suprématistes noirs, arabes ou encore asiatiques ne manquent pas que les blancs, n'en déplaise aux wokistes - encore eux - qui retourne le couteau dans les plaies fraîches et béantes, qui crachent sur les victimes du racisme anti-blanc en prétendant devant des millions de téléspectateurs qu'il n'existe pas; moi qui suis pour la justice, l'objectivité et contre le racisme, je dénonce ce racisme de ces gens qui osent dire parfois face à des victimes de racisme anti-blanc, que ça n'existe pas), et les propos homophobes bien entendu.
Chacun fat ce qu'il veut avec son corps, tant que ça reste légal et entre personnes consentantes, mais ça ne me regarde pas ni ne m'intéresse pas, qui couche avec qui, donc crier en public son identité sexuelle est indécent, impudique, et une chose que je ne comprendrais jamais... après, ce n'est pas mon problème, chacun est libre de tirer de la fierté de ses goûts sexuels
si ça le chante, même si c'est grotesque, puéril, insensé et tout ce que vous voudrez.
Je suis fan de tas d'acteurs et actrices de toutes couleurs et origines, et je déteste beaucoup de célébrités, personnalités (ou anonymes) qui sont blancs comme moi, et de même avec les orientations sexuelles, donc ça ne m'a jamais dérangé de voir tous types de rôles et de personnages, personnalités au cinéma ou à la télé, loin de là.
Ce qui me rend malade en revanche, c'est cette nouvelle tendance consistant à ne plus pouvoir sortir la moindre fiction sans qu'elle soit emplie de sentiments de propagande, de prosélytisme, sans qu'on y sente le poids lourd des lobbies manipulateurs et donneurs de leçons, et sans qu'on sente qu'une femme, une personne de couleur, un homo, à un rôle valorisateur non pour son talent, mais pour son identité, et limite plus une oeuvre sans qu'on nous fasse comme là des full combos, persos cumulant minorité de sexe, de couleur, d'orientation sexuelle quand c'est pas davantage encore.
C'est forcé, pas spontané, pas sincère, pas naturel, et donc, ça gâche toujours le film ou la série, parce q'on sent qu'on essaie de manipuler les masses en leur donnant des leçons de tolérance, alors que beaucoup d'anti-wokistes comme moi sont bien plus tolérants que ces prétendus et auto-proclamés parangons de la tolérance.
On n'est pas un modèle si les autres ne font pas de nous un modèle.
Ce n'est pas en se réveillant un matin qu'on peut se découvrir des vertus insoupçonnées et des capacités à prendre les autres de haut, les juger, leur faire la morale.
Ça c'est du narcissisme, de l'orgueil, ce n'est pas de la bienveillance, de la grandeur d'âme.
Je hais les donneurs de leçons, d'autant que beaucoup en auraient énormément à recevoir, qu'ils se voient bien plus beaux, plus grands qu'ils ne sont en réalité.
Je me suis certes éloigné du sujet, mais une critique, c'est pas juste dire:
"Le film est trop bien, j'ai aimé les lumières et le cadreur de la caméra B est trop top".
Le cinéma est ma passion n°1 et j'ai vu un paquet de milliers de films, possèdes 2500 DVD/BR et ai vu des centaines de séries, donc je m'y connais légèrement (d'autant que je suis scénariste et acteur aussi), et le cinoche, c'est aussi et avant tout des ressentis, des expériences vécues, des choses qui nous font réfléchir, et ça fait donc partie de ce que m'a évoqué ce film - comme trop d'autres récemment, notamment des productions Disney, et je suis abonné Disney , donc j'en ai vu des tas, de récentes prods de la maison aux grandes oreilles - et donc ça concerne directement mon opinion (qu'on la partage ou pas elle ne changera pas, c'est ma liberté d'expression et de penser, et ça aussi ça me tient très à coeur de nos jours où les sites censurent si facilement que liberté d'expression est un droit fondamental contre la dictature qu'ils semblent renier, et ça fait froid dans le dos), et par conséquent ça fait partie intégrante de ma critique libre et respectable de ce film.
Bon, plus intéressant, revenons à nos moutons, Buzz L'Eclair, un film plutôt sympa quoi qu'il en soit, mais que je ne regarderais pas nécessairement une autre fois, ou pourquoi pas, mais pas avant des années.
Certes on ne s'ennuie pas, il se passe beaucoup de choses, et si certaines sont très prévisibles, d'autres en revanche sont de réelles surprises; que je ne dévoilerais pas, n'ayant pas envie d'utiliser le bouton "spoiler" dans cette critique.
Je m'attendais à retrouver certains personnages liés à Buzz dans la saga Toy Story, mais non.
Par contre, gros cup de coeur pour le chat, la caution humoristique du film, mignon et drôle à souhait.
Je sens qu'il risque d'avoir son spin-off, qui serait donc un spin-off... du spin-off de Toy; ce qui ne serait pas un 1ère (spin de spin)... ce ne serait ni illogique ni immérité.
Après, ça ferait peut-être un peu doublon avec "Le Chat poté", dont le second opus sortira bientôt; mais bon, ces 2 chats sont tellement différents l'un de l'autre...
Quoi qu'il en soit, Buzz est en-dessous des 4 Toy Story et de la plupart des Pixar (voire tous, même s'il y en a un que je n'ai pas vu à sa sortie et pas voulu voir depuis - peut-être un jour sur Disney quand même - à savoir Monstres Academy, mais comme Monstres & Cie est le moins bon Pix jusque là... peu de chance), et je m'attendais à beaucoup mieux vu la qualité de la quadrilogie Story.
J'hésite à mettre même 3 à ce film, bon, je lui mets 3,5, peut-être que je changerais d'avis plus tard.