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    Buzz l'éclair
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    Mallory
    Mallory

    38 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juin 2022
    EXCELLENT !!

    Super film d’animation ou l’on passe du rire aux larmes, mais surtout beaucoup de rires. Un véritable plaisir de retrouver l’un des héros avec lequel j’ai grandis dans une histoire inédite, avec des nouveaux personnages tout aussi attachants. Le scénario tient la route et le plot twist spoiler: avec Zurg a surpris toute la salle !


    Très gros coup de cœur pour le personnage de Sox qui est vraiment très drôle.

    J’ai vu le film en VF et je n’ai pas trouvé ça dérangeant, le personnage doublé par Chantal Ladesou est hilarant aussi.

    Ceci dit je trouve que ce n’est pas vraiment un film qui s’adresse aux enfants, mais plutôt aux grands enfants qui ont connus Toy Story quand ils étaient petits. À voir sans modération, on ne voit pas le temps passer et on en ressort en ayant passé un agréable moment, avec le sourire aux lèvres.

    Bravo Pixar !
    Midounes27
    Midounes27

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2022
    J'ai eu la chance d'assister à l'avant-première de ce splendide long métrage d'animation.
    L'univers m'a replongé dans ma plus tendre enfance et à raviver en moi de précieux souvenirs datant de Toy Story.
    Nous pouvons découvrir l'histoire derrière le mystérieux personnage de Buzz L'éclair.
    Le film et les scènes d'actions sont excellentes , je mets seulement 4 étoiles à cause du caractère Lgbt du film.
    lmc-3
    lmc-3

    271 abonnés 462 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2022
    Bien que très agréable à regarder, dans un référentiel ‘Pixar’ je le qualifierais’ de ‘dans la moyenne basse’: on est habitué à beaucoup mieux.
    Pour commencer, le lien avec Toy Story expliqué dans la première image du film (mini spoil): Ce film est un film intrinsèque à l’univers de Toy-Story, film à l’origine du jouet dérivé.
    Si quelque part c’est plutôt malin (d’autant que (outre le baiser LGBTQIA+), le travail autour de la direction artistique (en faisant abstraction du niveau de détail des textures), avec des consoles de direction, et des technologies TRES mécaniques) rend l’idée que le film puisse être issue des 90’s très crédible.); mais si ce film n’est qu’un film dans l’univers de Toy-Story? à quel point est-il improbable que l’individu ayant prêté sa voix à Buzz ne soit pas le même que celui prêtant sa voix au jouet? Et dans un problème de continuité: avec la richesse en termes de personnages, vaisseaux et autres, comment se fait-il que les produits dérivés de ce film soient si pauvres dans l’univers de Toy Story?

    Mais bon: ceci est du chipotage, les vraies choses à dire concernant ce film les voilà:
    Avancée en termes de combats LGBTQIA+ en exposant non seulement un couple homosexuel s’embrasser mais également un couple homoparental dans le même film, et, pour la première fois, pas discrètement de façon subtile en arrière-plan l’espace d’une fraction de seconde mais de façon très claire, développée, et très naturelle pour tous.
    Pour le reste, si les personnages sont tous sympathique: on patauge dans la redondance.
    On patauge dans la redondance dans les péripéties: on échoue/on recommence, on patauge dans la redondance avec les running gag (d’un côté Sox et ses fonctions insoupçonnées, de l’autre "Featheringhamstan 2" et ses maladresses), on patauge dans la redondance avec les dialogues/leçons de vie…etc..
    En 1:45 c’est très bien meublé, mais si on fait abstraction des beaux meubles, on se rend compte que du point A au point B il ne s’est pas passé grand-chose…
    Mais surtout: l’illogie: le film démarre avec les Rangers s’écrasant sur une planète inhospitalière (mais où l’air y est respirable) et détruisent accidentellement la source d’énergie de leur vaisseau permettant de s’en échapper, les coinçant sur place.
    spoiler: Ils ont moyen de communiquer avec d’autres planètes étant donné que moult personnes les y rejoigne pour construire une vraie ville dans un dôme terraformé au fil des décennies afin de les aider à exploiter les ressources de cette planète pour pouvoir la quitter sachant qu’il faut d’abord trouver la formule: QUOI?! La formule est connue de personne ni sur place ni dans l’espace? Aucun des dizaines et des dizaines de vaisseaux qui sont arrivés n’utilisent cette même technologie ?! Pourquoi ils ont tous pu arriver sur cette planète depuis leurs vaisseaux respectifs et y sont bloqués maintenant? Quel est le problème avec leur propre vaisseau? Pourquoi si c’est si fastidieux à fabriquer ici, ne pas tout simplement se faire livrer un cristal depuis une autre planète?!

    Et là: dès que tu te fais cette remarque de marque, tu n’as plus qu’à apprécier le film ‘pour le reste’, reste, encore une fois: très appréciable, mais pas (en mon sens) cosmique non plus.

    Film à découvrir.

    NB: Le jouet Zurg de Toy Story 2 était-il donc menteur ou défaillant dans la scène de l’ascenseur?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 juin 2022
    Vu en avant-première le 19 juin, le film est incroyable !
    C'est un spectacle complet du début à la fin !
    A la fois drôle, touchant et haletant, le film est un véritable régal pour les yeux ! (le rendu des textures et aussi magnifique)
    En tout cas, le film est une pépite et j'ai aussi bien apprécié le fait qu'il dise que spoiler: c'est le film qu'Andy à vu, et que c'est ce film qui lui a donné envie d'avoir ce jouet.

    Bref, à voir absolument au cinéma !
    Clem Kuntz
    Clem Kuntz

    2 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juin 2022
    Excellent film qui mélange action aventure et émotion ! Un grand bravo à Disney Pixar pour ce chef d'œuvre !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2022
    Voilà une très bonne surprise que ce Lightyear que nous n’attendions pas, la faute à un projet qui semblait essentiellement marketing et à une maison de production milliardaire dont les produits récents avaient déçu. L’ouverture textuelle inscrit d’emblée le long métrage en amont de la saga Toy Story, et s’affranchit aussitôt des références obligatoires qui l’auraient contraint au sur-place malheureux. Rien de tel ici, car compte davantage la matière cinématographique de tout un pan de la science-fiction entre Star Trek, Interstellar (Christopher Nolan, 2014) – duquel il puise la mélancolie de Buzz confronté à la distance qui le sépare de sa co-équipière – et les derniers volets de l’aventure Alien, avec notamment quelques plans – les choix de cadrage du vaisseau lors de l’atterrissage, ou la course des protagonistes en sa direction – et une piste instrumentale inspirés de Prometheus (Ridley Scott, 2012).

    Ces échos demeurent subtils et laissent au premier plan une intrigue soignée, forte de retournements de situation et d’un souci apporté à l’accidentel : les projets échouent, les lancées épiques se heurtent aux erreurs et à des antagonistes futés. Lightyear évite ainsi la linéarité scénaristique et lui oppose un dédale de chemins rocailleux au terme desquels triomphent le collectif et le droit à l’erreur. Nous ne sommes plus dans un culte de la performance ou dans un attachement strictement individuel aux personnages, tendances qui caractérisaient la plupart des productions récentes du studio ; en lieu et place, l’éloge de l’incertitude, des regrets et de la force que tirent des êtres blessés à s’unir devant un sort qui s’acharne. La partition musicale de Michael Giacchino mêle l’alerte, l’instable et le massif, cassant son thème principal cuivré par des motifs accéléré (la piste « Oh, Hover » par exemple) ou décéléré qui confèrent à l’ensemble une vitalité précieuse ; elle confirme le talent d’un compositeur qui compte parmi l’un des meilleurs de son temps.

    Disney et Pixar nous offrent donc un divertissement élégamment mis en scène, soigné dans son animation et innovant dans certaines thématiques sociétales représentées, notamment ce couple lesbien traité dans toute sa banalité lors d’un montage chronologique magnifique. De quoi rendre ridicules les pays interdisant ou censurant Lightyear, et audacieuse la démarche défendue par l’équipe du film. N’oublions pas une dernière trouvaille, irrésistible : celle de faire doubler Darby Steel par Chantal Ladesou !
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 juin 2022
    Un ranger de l’espace montre le bout de ses ailes et ce n’est pourtant pas un jouet. Ce sera d’ailleurs le premier message en ouverture, comme pour éviter toute confusion chez le spectateur, apparemment incapable de le déduire de lui-même… Ou est-ce pour rappeler la valeur du catalogue ? Dans tous les cas, cela ne démarra pas avec les bonnes bases. Après un vortex d’une longue durée qui a poussé Disney à garder les dernières productions Pixar sous le couvert du streaming, un nouvel espoir pourrait bien débarquer en salle, rappelant ainsi les arcanes du tout premier film en image de synthèse. Angus MacLane, qui a co-réalisé « Le Monde de Dory » et réalisé quelques courts-métrages, revient avec la même optique, en s’arrachant le lore de Buzz et une excursion dans l’espace. « Wall-E » l’avait déjà conquis, avec une grande sensibilité et n certain savoir-faire dans la mise en scène. Ici, il n’est pas question d’être aussi subtile ou sentimental.

    Le ranger de l’espace est associé à l’action pure et dure, rappelant également la superficialité de certains héros du MCU, Star Wars et autres bannières de science-fiction, détenues par Mickey Mouse. Si ce n’est pas assez, on ira piquer un peu du côté de la Paramount (Interstellar, Top Gun : Maverick). Le formatage de Pixar par Disney se confirme regrettablement, aspirant toute inventivité et approche personnelle dans cette ce qui semble aller à contre-courant de l’ADN d’un studio, qui nous a habitué à de la réflexion sensorielle. 22 ans plus tôt, « Buzz Lightyear of Star Command » a montré des premiers signes déviants, que le studio titulaire a entretenu. Ce nouveau film spin-off derrière le jouet ne se montre pourtant pas à la hauteur de son personnage qui, malgré ses ambitions et sa culpabilité, parvient à se défaire de la solitude. Buzz n’est peut-être pas encore l’explorateur parfait que l’on peut voir dans les pubs, car il s’agit avant tout de sonder sa nature, tantôt froide et individualiste, tantôt à l’écoute et solidaire. Malheureusement, si tout est dit et répété, difficile d’être convaincu par ce qui suit la première demi-heure, prometteuse.

    Il convient d’explorer ses relations à travers le temps, mais pour l’espace, il lui manquera des ailes pour prendre son envol. Clouer ce personnage au sol qui ne demande qu’à s’élever est plutôt osé, mais cela ne rattrape pas toutes les fausses bonnes idées du récit, qui ne sait plus où donner de la tête entre une mascotte qui ronronne à peine et le combat du héros face à ses échecs. Si l’on prend énormément de raccourcis pour la création de sa némésis, Zurg, l’ennemi n’est pas celui que l’on croit être. Dans le fond, il n’y avait rien à raconter sur un personnage qui peine à exister si on ne le sollicite pas dans une épreuve complémentaire. Et bien que cela arrive au bout d’un certain temps, l’humour potache prend le dessus sur l’inconsistance de l’intrigue. Le spectacle ne tient plus qu’avec quelques scènes divertissantes, qui ne révolutionne rien dans le genre de la science-fiction ou de l’animation. Un manque d’entrain se ressent et c’est sans doute le constat le plus triste auquel le film peut prétendre.

    « Buzz l’éclair » (Lightyear) est aussi désincarné que son héros, qui ne tremble pas. En voulant lui donner une chair, on trouvera peut-être bien plus de plastique que précédemment dans cette représentation anecdotique. Il est navrant de constater une telle désertion dans le paysage de l’animation hollywoodienne, qui n’en finit plus de recycler ses idoles, quitte à les sacrifier sur l’autel du streaming. Même si ce fut le cas sur les trois derniers Pixar, ces derniers avaient au moins du carburant à revendre, sans pour autant se montrer spectaculaire. Tout ce qui est à l’œuvre ici dessert malheureusement l’introspection d’un personnage traumatisé, qui souffre également d’un développement minimaliste, alors que tout portait à croire que l’on se tournerait vers l’infini et au-delà. Finalement, il y aura eu plus de tensions dans la sublime ouverture de « Toy Story 2 » et pas la moitié dans cette dernière tentative des plus vaine et des plus grinçante.
    Christnmichel J
    Christnmichel J

    2 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2022
    Le film qui restait le fantasme du fan de Toy Story. Celui que Andy connaissait sur le boyt des doigts mais que personne n'avait eu la chance de voir. Aujourd'hui, pour moi, c'est chose faite.
    C'est une réussite car il correspond parfaitement à Buzz l'éclair, celui que l'on aurait pu imaginer chacun de notre côté.
    On peut lui trouver quelques défauts, une mécanique scénaristique trop lourde. Mais cela correspond tellement au personnage cliché avec une psychologie tellement stéréotypée que cela va générer une opposition légendaire avec son futur ami Woody. Et tout ceci en sera d'autant plus croustillant pour les spectateurs lors de leurs aventures.
    Thomas Martin-Schmets
    Thomas Martin-Schmets

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2022
    J ai été voir ce pixar au cinéma. C est un bon pixar mais pas fou non plus. Le doublage de chantal ladsou est mythique.
    Yoann lasorsa
    Yoann lasorsa

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 juin 2022
    Pfff la voix off de François civil ! C'est nul ! n'importe quoi ça ne va pas du tout la voix est trop douce pour le personnage.
    Pourquoi changer Richard dubois c'étais parfait c'est la voix qui a bercé notre enfance. Je n'irais pas le voir ! Dégouté 🤦‍♂️ vraiment dégouté pfff.
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    173 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2022
    le ranger de l'espace est de retour avec la voix de chris evans ( captain america ) représentant l'origine du personnage humain ayant inspiré les jouets Buzz l'Éclair un ancien employé d'Industrial Light & Magic de leur construire un modèle de vaisseau spatial, dont les animateurs s'en inspirent la musique est composée par michael giacchino ( jurassic world saga )
    a noter que le film est intégralement au format IMAX et tourner en caméra virtuelle IMAX
    un bon film pour toute la famille
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