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Jouant à merveille des décors (...) le cinéaste parvient à créer un climat d'angoisse évoquant les peurs de l'enfance (...) et réussit là où on l'attendait (...) Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Objet étrange, parfois raté mais aussi trés attachant, cette relecture moderne du conte de Perrault vaut surtout pour son visuel et sa musique, signée du compositeur fétiche de Kitano.
Des toiles peintes aux costumes, tout participe à un retour aux sources d'un cinoche plein de poésie(...) Comme dirait l'autre, ne passons pas à côté des bonus simples.
La critique complète est disponible sur le site Première
La portée symbolique du conte originel s'en trouve amoindrie. Mais, pour l'apprécier, comme les enfants, qui aimeront s'y plonger, peut-être faut-il simplement voir Le Petit Poucet pour ce qu'il est : une luxueuse série B.
La critique complète est disponible sur le site Aden
(...) si Dahan a du talent pour la direction artistique, ses dons de metteur en scène sont beaucoup plus contestables, reflétant un passé de clippeur sans grande envergure.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Tout en prenant un minimum de précautions, Olivier Dahan refuse délibérément de désamorcer tous les pièges qui guettent les petits enfants au long du conte de Perrault.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'univers visuel aurait sans doute beaucoup gagné à se débarrasser de son odeur de naphtaline et à choisir clairement son camp entre réalisme onirique et artifice poussif tendant au déguisement pur et simple.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
(...) le scénario, plus faible que celui du Pacte des loups ou même de Vidocq, simple délayage du mince conte de Perrault, devient prétexte à une encombrante débauche visuelle (...) éclipsant des personnages réduits à l'état de figurines pittoresques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
Jouant à merveille des décors (...) le cinéaste parvient à créer un climat d'angoisse évoquant les peurs de l'enfance (...) et réussit là où on l'attendait (...) Une réussite.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Objet étrange, parfois raté mais aussi trés attachant, cette relecture moderne du conte de Perrault vaut surtout pour son visuel et sa musique, signée du compositeur fétiche de Kitano.
Première
Des toiles peintes aux costumes, tout participe à un retour aux sources d'un cinoche plein de poésie(...) Comme dirait l'autre, ne passons pas à côté des bonus simples.
Télérama
(...) Dahan évite les effets spéciaux superflus, et ce refus de l'outrance tape-à-l'oeil est l'attrait le plus voyant du film.
Aden
La portée symbolique du conte originel s'en trouve amoindrie. Mais, pour l'apprécier, comme les enfants, qui aimeront s'y plonger, peut-être faut-il simplement voir Le Petit Poucet pour ce qu'il est : une luxueuse série B.
Cahiers du Cinéma
(...) une réalisation assez bâtarde qui s'en remet aux artifices numériques ou à la musique d'Hisaichi.
Chronic'art.com
(...) si Dahan a du talent pour la direction artistique, ses dons de metteur en scène sont beaucoup plus contestables, reflétant un passé de clippeur sans grande envergure.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Tout en prenant un minimum de précautions, Olivier Dahan refuse délibérément de désamorcer tous les pièges qui guettent les petits enfants au long du conte de Perrault.
Les Inrockuptibles
En misant sans retenue sur le decorum heavy metal, on a perdu de vue l'humanité potentielle du conte.
Urbuz
L'univers visuel aurait sans doute beaucoup gagné à se débarrasser de son odeur de naphtaline et à choisir clairement son camp entre réalisme onirique et artifice poussif tendant au déguisement pur et simple.
L'Humanité
(...) le scénario, plus faible que celui du Pacte des loups ou même de Vidocq, simple délayage du mince conte de Perrault, devient prétexte à une encombrante débauche visuelle (...) éclipsant des personnages réduits à l'état de figurines pittoresques.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Evidemment, à trop vouloir en faire, Le Petit Poucet se perdit définitivement sous des décors écrasant, et des choix d'ambiance hésitants.