Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Du conte, le film emprunte surtout la transformation de Juliane en Artemis (ou Diane chasseresse). Transformation qui se déroule au cours d’une séquence aussi virtuose qu’osée où, pour notre plus grande sidération et notre plus grand plaisir [...], le film atteint une part d’irrationalité irréductible, une dimension archaïque et mystique.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Les apparents détours du récit en renforcent la clarté. Lorsque Juliane dévie de sa route vengeresse à la suite de la rencontre d’une femme battue implorant son aide, le film ne fait que s’arrimer plus solidement à son fil : l’histoire universelle d’une lutte entre la vérité et le mensonge.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Celle qui a longtemps été la personnalité préférée des Français ne se donne pas forcément le beau rôle dans le costume d’une amazone vengeresse et tragique. Elle trouve assurément ici l’un des personnages les plus forts et troublants de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Camille Nevers
Marceau, ses gestes exacts et irréels, est ici à son plus étrange, à son meilleur, rappelant son rôle dédoublé du beau "Ne te retourne pas" (Marina De Van). "Une femme de notre temps", film tourné par Jean Paul Civeyrac, est détourné par Sophie Marceau. Tous deux s’envisagent, se tiennent en joue, remettent tout en jeu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Serge Kaganski
Un beau thriller hitchcocko-chabrolien avec Sophie Marceau en majesté.
Télé Loisirs
par S.O.
Dans ce film porté par une mise en scène sur le fil, Sophie Marceau retrouve un rôle à la mesure de son talent, celui d'une femme bien décidée à faire ce qu'elle croit juste.
Le Monde
par Ma. Mt.
Dans l’œuvre de Jean-Paul Civeyrac, Une femme de notre temps marque un changement de braquet, une tentative d’étendre sa portée fictionnelle vers des territoires susceptibles de toucher un large public.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Reste que cette mise à mort symbolique d’un mâle alpha caricatural mais pas invraisemblable dans son égoïsme, ses mensonges tranquilles, son indifférence à tout ce qui n’est pas son bon plaisir qui finit par tourner à la monstruosité, n’est pas un mauvais portrait à l’ère #MeToo.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Jean-Paul Civeyrac s’essaie au polar avec une Sophie Marceau convaincante. Malgré un scénario en apparence sans surprise, Une femme de notre temps va au bout de sa proposition formelle et s’inscrit dans le paysage réaliste actuel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Nous sommes bien en présence d’un film de Jean Paul Civeyrac. L’ombre d’une morte, l’atmosphère fantomatique, le deuil impossible, la logique d’un récit en forme de cauchemar sont autant de motifs qui relient Une femme de notre temps à l’œuvre du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Une série d’atmosphères nocturnes sublimées par une somptueuse photographie, qui font oublier les quelques petits égarements et maladresses du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La platitude des dialogues malgré leur rareté, le lyrisme appuyé de la mise en scène et l’omniprésence des violons, constamment redondants avec ce que montre l’image (malaise, tension, violence, etc.), achèvent d’épuiser le spectateur qui aura cherché en vain une épaisseur et un sens à cette intrigue trop ténue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télérama
par Marie Sauvion
D’un romantisme sombre (la femme « éternelle », amoureuse totale, dépendante et masochiste…), cette variation sur l’adultère bourgeois se livre au premier degré : Jean-Paul Civeyrac (Mes provinciales) ne la joue ni Chabrol ni Verhoeven, et défend sincèrement, naïvement même, un « cœur pur » anéanti.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un "petit" film dramatique plutôt déconcertant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Comment est-ce possible ? Comment ce grand réalisateur qu’est Jean-Paul Civeyrac (Les Solitaires, Fantômes, Le Doux Amour des Hommes, Mes Provinciales) a-t-il pu s’égarer dans de tels méandres tortueux, quand le film débutait comme une si belle promesse ?
L'Obs
par S. G.
Mouvement #MeToo mal digéré, péripéties invraisemblables, abus d’instruments à cordes, vision d’un autre âge (trahie par un homme, une femme se venge)… Sophie Marceau, aux abonnés absents, participe de l’accablement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La déception est grande, en réalité, et comme l’héroïne qui perd pied le spectateur est perdu, déboussolé entre le drame, le polar, l’adultère, le conte fantastique, le film de terreur, le récit de vengeance.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[...] Une femme de notre temps ressemble à un film d’un autre temps. Cela pourrait séduire si l’intrigue, aux situations improbables, n’était pas réduite à l’exploration intime et vainement psychologique dans laquelle il s’embourbe jusqu’au ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Civeyrac ne trouve jamais le bon ton pour raconter la descente aux enfers de cette femme intègre métamorphosée en meurtrière vengeresse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Gilles Kerdreux
Sophie Marceau fait ce qu'elle peut pour donner de la densité à ce personnage mais le scénario, aussi prévisible que la mise en scène, lui laisse très peu de possibilités de s'en sortir. Comme nous.
Positif
Du conte, le film emprunte surtout la transformation de Juliane en Artemis (ou Diane chasseresse). Transformation qui se déroule au cours d’une séquence aussi virtuose qu’osée où, pour notre plus grande sidération et notre plus grand plaisir [...], le film atteint une part d’irrationalité irréductible, une dimension archaïque et mystique.
Cahiers du Cinéma
Les apparents détours du récit en renforcent la clarté. Lorsque Juliane dévie de sa route vengeresse à la suite de la rencontre d’une femme battue implorant son aide, le film ne fait que s’arrimer plus solidement à son fil : l’histoire universelle d’une lutte entre la vérité et le mensonge.
Le Figaro
Celle qui a longtemps été la personnalité préférée des Français ne se donne pas forcément le beau rôle dans le costume d’une amazone vengeresse et tragique. Elle trouve assurément ici l’un des personnages les plus forts et troublants de sa carrière.
Libération
Marceau, ses gestes exacts et irréels, est ici à son plus étrange, à son meilleur, rappelant son rôle dédoublé du beau "Ne te retourne pas" (Marina De Van). "Une femme de notre temps", film tourné par Jean Paul Civeyrac, est détourné par Sophie Marceau. Tous deux s’envisagent, se tiennent en joue, remettent tout en jeu.
Transfuge
Un beau thriller hitchcocko-chabrolien avec Sophie Marceau en majesté.
Télé Loisirs
Dans ce film porté par une mise en scène sur le fil, Sophie Marceau retrouve un rôle à la mesure de son talent, celui d'une femme bien décidée à faire ce qu'elle croit juste.
Le Monde
Dans l’œuvre de Jean-Paul Civeyrac, Une femme de notre temps marque un changement de braquet, une tentative d’étendre sa portée fictionnelle vers des territoires susceptibles de toucher un large public.
Le Parisien
Reste que cette mise à mort symbolique d’un mâle alpha caricatural mais pas invraisemblable dans son égoïsme, ses mensonges tranquilles, son indifférence à tout ce qui n’est pas son bon plaisir qui finit par tourner à la monstruosité, n’est pas un mauvais portrait à l’ère #MeToo.
Les Fiches du Cinéma
Jean-Paul Civeyrac s’essaie au polar avec une Sophie Marceau convaincante. Malgré un scénario en apparence sans surprise, Une femme de notre temps va au bout de sa proposition formelle et s’inscrit dans le paysage réaliste actuel.
Les Inrockuptibles
Nous sommes bien en présence d’un film de Jean Paul Civeyrac. L’ombre d’une morte, l’atmosphère fantomatique, le deuil impossible, la logique d’un récit en forme de cauchemar sont autant de motifs qui relient Une femme de notre temps à l’œuvre du cinéaste.
Marie Claire
Une série d’atmosphères nocturnes sublimées par une somptueuse photographie, qui font oublier les quelques petits égarements et maladresses du scénario.
La Croix
La platitude des dialogues malgré leur rareté, le lyrisme appuyé de la mise en scène et l’omniprésence des violons, constamment redondants avec ce que montre l’image (malaise, tension, violence, etc.), achèvent d’épuiser le spectateur qui aura cherché en vain une épaisseur et un sens à cette intrigue trop ténue.
Télérama
D’un romantisme sombre (la femme « éternelle », amoureuse totale, dépendante et masochiste…), cette variation sur l’adultère bourgeois se livre au premier degré : Jean-Paul Civeyrac (Mes provinciales) ne la joue ni Chabrol ni Verhoeven, et défend sincèrement, naïvement même, un « cœur pur » anéanti.
Voici
Un "petit" film dramatique plutôt déconcertant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Comment est-ce possible ? Comment ce grand réalisateur qu’est Jean-Paul Civeyrac (Les Solitaires, Fantômes, Le Doux Amour des Hommes, Mes Provinciales) a-t-il pu s’égarer dans de tels méandres tortueux, quand le film débutait comme une si belle promesse ?
L'Obs
Mouvement #MeToo mal digéré, péripéties invraisemblables, abus d’instruments à cordes, vision d’un autre âge (trahie par un homme, une femme se venge)… Sophie Marceau, aux abonnés absents, participe de l’accablement.
Le Dauphiné Libéré
La déception est grande, en réalité, et comme l’héroïne qui perd pied le spectateur est perdu, déboussolé entre le drame, le polar, l’adultère, le conte fantastique, le film de terreur, le récit de vengeance.
Le Journal du Dimanche
[...] Une femme de notre temps ressemble à un film d’un autre temps. Cela pourrait séduire si l’intrigue, aux situations improbables, n’était pas réduite à l’exploration intime et vainement psychologique dans laquelle il s’embourbe jusqu’au ridicule.
Première
Civeyrac ne trouve jamais le bon ton pour raconter la descente aux enfers de cette femme intègre métamorphosée en meurtrière vengeresse.
Sud Ouest
Sophie Marceau fait ce qu'elle peut pour donner de la densité à ce personnage mais le scénario, aussi prévisible que la mise en scène, lui laisse très peu de possibilités de s'en sortir. Comme nous.