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Votre avis sur Maria rêve ?
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Quelle bonne surprise ! Acteurs excellents et pas seulement Viard et Gadebois, dialogues charmants, on rit souvent, et quel plaisir de sillonner l'Ecole des Beaux-arts, personnage à part entière avec ses vrais étudiants. Entrée un peu déprimée et sortie d'une humeur de rose, si rare une comédie pétillante et raffinée dans le cinéma français !
Nul comme cette actrice. Jamais vu une daube pareil. N'allez pas le voir. Faut vraiment avoir rien a faire pour se déplacer.
certes c'est une bluette mais ça fait du bien de voir la tendresse qui se dégage de ce film. le scénario est très léger mais les acteurs sont sympas dans leur rôle respectif. Gregory Gardebois est particulièrement très bond.
FaRem
« Tant qu'on est en vie, c'est jamais mort ! » Maria est une femme discrète et effacée qui vit dans l'ombre des autres, ce que demande aussi son métier de femme de ménage. Une femme que l'on ne voit pas ou que l'on prend pour acquise à l'image de son mari qui ne lui accorde pas beaucoup d'attention. Maria n'est pas forcément malheureuse, mais elle ne respire pas la joie de vivre pour autant. Résignée en partie par sécurité, car prendre des décisions fortes n'est pas facile, Maria mène une existence morose qu'elle a acceptée. Lorsqu'elle change de lieu de travail pour travailler à l'École des Beaux-Arts, elle découvre un milieu vivant et surtout jeune où elle fait également la rencontre de Hubert, un gardien, lui aussi coincé dans sa vie. "Maria rêve" est un film positif qui montre qu'il n'est jamais trop tard pour vivre sa vie comme on l'entend. Bien sûr que ce n'est pas facile et l'histoire n'est pas idéaliste, mais c'est plein de tendresse, de légèreté et de poésie. Le personnage de Karin Viard, qui est remarquable dans ce rôle, est comme beaucoup de personnes et c'est très attendrissant de voir cette femme s'ouvrir aux autres, être épanouie et retrouver une seconde jeunesse. Bref, un joli petit moment porté par deux formidables acteurs.
Jorik V
Le titre de ce joli petit film, qui ne paye peut-être pas de mine de prime abord, est en effet on ne peut plus approprié. On a donc un personnage de femme, une madame tout le monde qui donne son prénom, Maria, au film. Et avec elle une romance dans un endroit on ne peut plus indiqué pour cela : l’École des Beaux-Arts de Paris. Un endroit marqué et marquant en plus d’être peu vu sur le grand écran et qui sert d’écrin à ce portrait de femme effacée qui va s’émanciper grâce à l’amour. « Maria rêve » donc et nous avec et c’est l’une des réussites de ce premier film que de nous faire effectivement nous évader durant une heure et demie grâce à son beau personnage principal, à sa romance délicate, à ses petites touches oniriques et à son décorum baigné dans les œuvres d’art de toute époque, octroyant une identité visuelle singulière au long-métrage.
Réalisé à quatre mains par un duo de réalisateurs mixtes et supposément complice, « Maria rêve » ne nous marque pas par sa mise en scène assez scolaire et illustrative mais plutôt par ce qui se trouve dans le cadre. Et là, c’est souvent l’enchantement voire même du grand plaisir, presque en apesanteur, grâce à quelques fulgurances visuelles et trouvailles malignes au sein de cette école qui laisse libre court à l’imagination. Les œuvres des élèves vont être un moteur dans la relation que Maria, discrète femme de ménage, et le gardien de l’école vont tisser par petites touches. Le déroulé narratif de leur histoire d’amour est calqué sur n’importe quelle autre comédie sentimentale, peu importe sa tonalité ou sa nationalité, car ce genre est l’un des plus codifiés au cinéma. Il n’empêche, entre tous ces passages obligés dans l’évolution d’une rencontre amoureuse au cinéma, le charme opère par le biais d’une foultitude de petits détails. Une danse du ménage retranscrite en ombres virtuelles, un balai littéralement coincé dans une œuvre d’art moderne, des scènes où l’on pose nu avec timidité puis assurance ou une danse improvisée entre personnel de ménage, tous ces moments simples et beaux fonctionnent et participent au plaisir que l’on a devant « Maria rêve ».
Bien sûr, pour que cela fonctionne complètement et nous emporte dans son sillage, il fallait que le couple au centre du film soit attachant. Non seulement il l’est mais en plus il déborde de complicité et leur association est résonne presque comme une évidence. Si Karin Viard est encore une fois impeccable (comme toujours on a presque envie de dire), Grégory Gadebois nous montre une nouvelle facette de son talent, moins bourrue et plus délicate. Entre eux, Noée Abita et Philippe Uchan sont des seconds rôles solides. On sourit beaucoup devant les maladresses de Maria mais elle nous touche aussi par sa naïveté et sa candeur. On a envie que leur couple fonctionne et son émancipation, sa recherche du bonheur et son accomplissement personnel, elle les partage admirablement avec nous. Un bien joli petit film, simple et mignon comme tout, dans un lieu qui met parfaitement en valeur une histoire comme celle-ci.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Réalisé à quatre mains par un duo de réalisateurs mixtes et supposément complice, « Maria rêve » ne nous marque pas par sa mise en scène assez scolaire et illustrative mais plutôt par ce qui se trouve dans le cadre. Et là, c’est souvent l’enchantement voire même du grand plaisir, presque en apesanteur, grâce à quelques fulgurances visuelles et trouvailles malignes au sein de cette école qui laisse libre court à l’imagination. Les œuvres des élèves vont être un moteur dans la relation que Maria, discrète femme de ménage, et le gardien de l’école vont tisser par petites touches. Le déroulé narratif de leur histoire d’amour est calqué sur n’importe quelle autre comédie sentimentale, peu importe sa tonalité ou sa nationalité, car ce genre est l’un des plus codifiés au cinéma. Il n’empêche, entre tous ces passages obligés dans l’évolution d’une rencontre amoureuse au cinéma, le charme opère par le biais d’une foultitude de petits détails. Une danse du ménage retranscrite en ombres virtuelles, un balai littéralement coincé dans une œuvre d’art moderne, des scènes où l’on pose nu avec timidité puis assurance ou une danse improvisée entre personnel de ménage, tous ces moments simples et beaux fonctionnent et participent au plaisir que l’on a devant « Maria rêve ».
Bien sûr, pour que cela fonctionne complètement et nous emporte dans son sillage, il fallait que le couple au centre du film soit attachant. Non seulement il l’est mais en plus il déborde de complicité et leur association est résonne presque comme une évidence. Si Karin Viard est encore une fois impeccable (comme toujours on a presque envie de dire), Grégory Gadebois nous montre une nouvelle facette de son talent, moins bourrue et plus délicate. Entre eux, Noée Abita et Philippe Uchan sont des seconds rôles solides. On sourit beaucoup devant les maladresses de Maria mais elle nous touche aussi par sa naïveté et sa candeur. On a envie que leur couple fonctionne et son émancipation, sa recherche du bonheur et son accomplissement personnel, elle les partage admirablement avec nous. Un bien joli petit film, simple et mignon comme tout, dans un lieu qui met parfaitement en valeur une histoire comme celle-ci.
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Servi par un duo brillant ( Karien Viard, femme de ménage, Grégory Gadebois, homme à tout faire) dans l'école des "beaux arts" de Paris, le film donne l'occasion de voir cette école de l'intérieur, d'en aborder les us et coutumes, Mais c'est surtout l'histoire d'une rencontre entre deux "oubliés" du monde....leur situation précaire les rend invisibles....le film sans atteindre de sommets, vaut par la présence chaleureuse de ces deux acteurs, qui illuminent l'écran par leur silmplicité et leur talent....Au fil du film, des dialogues on finit par s'attacher au Brésil, au Charentes, Au Paris Brest, ce gateau qui part de Paris, mais n'arrive pas toujours à Brest (ceux qui verront le film comprendront)...bref ça se déguste d''autant que l'émotion de la fin, peut faire verser une larmichette ou deux.....On passe un bon moment de cinéma, en bonne compagnie, c'est le cas de le dire, Dans un format court (90 minutes) on ne s'ennuie pas une seconde, on visite le monde de l'art, je conseille.....
PLR
Rencontre entre deux personnages dans un lieu inattendu, les Beaux Arts. Le premier y est né (au sens figuré) en tant qu’enfant du précédent gardien. Il fait partie des murs. La seconde est embauchée sur le tard comme femme de ménage. Ce milieu des Beaux Arts n’est socialement pas le sien. Mais elle fait son travail (les invisibles comme on les nomme aujourd’hui), se liant malgré quelques éclats de tempérament avec le gardien et aussi avec une étudiante (Noée Abita qui, dans un rôle d’extravertie rebelle, crève l’écran). Occasion de quelques piques sur ce milieu de l’art. Le fil conducteur du scénario reposera quant-à lui sur les interactions entre ces personnages. Leçon de vie de la femme de ménage à l’étudiante qui à un moment doute de vouloir se présenter à ses examens : « ce n’est pas hier, ce n’est pas demain, c’est maintenant aujourd’hui, après c’est trop tard » (c’est dans la bande annonce aussi ce n’est pas spoiler, divulgâcher en bon français, que de citer). Un conseil qui vaudra finalement pour chacun, pour ne plus perdre de temps dans sa vie et en rattraper le cas échéant. Un film qui ne se raconte pas trop, en tout cas pas davantage que ce qu’il possible de faire dans une critique. A regarder, à apprécier.
Beau petit film, le casting est excellent, convainquant, et la BO est superbe. Très prévisible de bout en bout mais on passe vraiment un beau moment.
C'est tendre et poétique. Les acteurs jouent très bien et on visite l'école des beaux-arts, que demander de plus. .... J'ai passé un bon moment
Un chouette film avec deux supers acteurs que j'apprécie beaucoup Karin Viard et Gregory Gadebois sont très talentueux et on en fini surtout pas de voir Karin Viard dans des rôles magnifiques, et quelle belle femme ! Simple mais juste, le spectateur est forcément séduit par cette belle histoire d'amour, certaines scènes sont très hilarantes ! Pas passionné par les artistes d'un ordre général, ce coté ne m'a pas fait rêvé pour ma part.
Petit film romantique sorti dans la discrétion et qui vaut bien plus que beaucoup, surtout dans ce genre léger et poétique. C’est une jolie histoire improbable que nous aimerions plus réelle. Jolie mais aussi tendre, intelligemment racontée, sans temps mort et remarquablement interprétée par Karin Viard et Grégory Gadebois. Frais, léger, amusant, voilà un film qui fait du bien et qui nous rafraichit. Espérons que nos commissaires politiques ne le trouveront pas trop discriminatoires pour les femmes de ménage !!!!
gabdias
Une drôle de comédie romantique non prévue qui prévaut surtout par le talent du duo K.Viard / G.Gadebois qui crève l’écran. Un film qui prévaut aussi par le cadre social, une sorte de revanche des mal considérés. Pas évident à mettre en oeuvre et pourtant ça fonctionne bien.
Ce film est le degré zéro de la création cinématographique française : une romcom qui suinte la niaiserie, au scénario complètement balisé et sans inspiration, le tout porté par un casting qui fait le strict minimum. Gadebois a t-il été une fois bon dans sa carrière ?
Bon ce film est fait pour se changer les idées, c'est gentillet, frais, léger comme une bulle de savon, vite consommé, vite oublié, c'est pas mal, mais ça tourne un peu en rond
J'adore le toujours excellent Grégory Gadebois pour le reste chacun se fera ça propre oppignon
J'adore le toujours excellent Grégory Gadebois pour le reste chacun se fera ça propre oppignon
Film charmant mené par trois bons acteurs : Karin Viard en Maria, femme de ménage aux Beaux-Arts ; Grégory Gadebois en concierge aux mêmes Beaux-Arts et ponctuellement Noée Abita en étudiante pétillante des Beaux Arts !
Plus que jamais je demeure convaincu que l’art permet d’éveiller les esprits et consciences. C’est ce qui est arrivé à Maria.
Après on peut toujours discuter de certaines facilités comme cette séquence où Maria se met soudainement à feuilleter un magazine dans lequel elle découvre le prix d’une fameuse statuette dont elle a hérité. Ainsi, Maria s’évite de culpabiliser, comme pour dire au spectateur que la morale est sauve puisqu’elle ne laisse pas son mari dépourvu.
Je n’en dirais pas plus.
Charmant, léger et éphémère…
Plus que jamais je demeure convaincu que l’art permet d’éveiller les esprits et consciences. C’est ce qui est arrivé à Maria.
Après on peut toujours discuter de certaines facilités comme cette séquence où Maria se met soudainement à feuilleter un magazine dans lequel elle découvre le prix d’une fameuse statuette dont elle a hérité. Ainsi, Maria s’évite de culpabiliser, comme pour dire au spectateur que la morale est sauve puisqu’elle ne laisse pas son mari dépourvu.
Je n’en dirais pas plus.
Charmant, léger et éphémère…
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