Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Frédéric Videau construit son film sur l'opposition entre ce qui se capte et ce qui se dérobe, entre la limipidité du regard, la solaire évidence des êtres et des choses, et ce qui se trâme sous l'image.
L'Humanité
par Michel Guilloux
Qu'à un premier long métrage de fiction un jeune réalisateur démontre un tel sens de la captation de la vie et du réel par les voies du cinéma viendrait presque rassurer quant à l'atonie actuelle du cinéma français.
Télérama
par François Gorin (pour)
De Variété française et de sa musique ténue, on peut dire qu'ils laissent un peu à désirer. Mais c'est un compliment qu'on aimerait pouvoir faire à tant de films qui ne laissent rien du tout.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Dommage alors que le caractère guindé de la forme (les plans fixes et larges se suivent avec monotonie), et par endroit un forcing démonstratif (personnages parfois chargés) empêchent le film d'accéder véritablement à la folie et au désastre d'un réel trop sage pour être honnête.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Variété française, à l'instar de ses personnages, n'est donc jamais là où on l'attend, et réussit l'exploit de conjuguer, entre comédie de remariage et film d'apprentissage, le doux unisson d'un air populaire à l'épreuve amère du cloisonnement social.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
Variété française fait donc du délit de fuite son motif, une scène n'étant jamais chez Videau que le chemin de traverse qui lui permettra d'aboutir sur une autre piste, un peu comme dans ce drôle de bouquin d'Italo Calvino, Si par une nuit d'hiver un voyageur, où l'écrivain s'amuse à traverser et à essayer tous les genres possibles, toutes les potentialités imaginables.
Positif
par Françoise Audé
Ecartelé entre autofiction et fantasme, ce qui a un effet de recul étrange, découpé en plans-séquences souvent intenses, progressant selon une arythmie à la fois déconcertante et excitante, ce film donne envie de voir les variantes futures de la vie de ce drôle d'homme-fils et de cinéaste décalé qu'est Frédéric Videau.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Zurban
par Addison de Witt
Un peu de fantaisie (l'actrice Hélène Fillières) et des airs dont on connaît la chanson (variété française) sont les bienvenus dans ce parcours déroutant et original.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Aden
par Philippe Piazzo
Le film manque véritablement d'un ton, que son titre en porte à faux souligne cruellement. Hésitant entre un naturalisme plat et un fantastique qui naît des angoisses du héros comme de petits faits apparemment anodins, le film se dilue.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Caroline Collard
Entre rêve et réalité, les personnages de Variété Française s'agitent dans une histoire sans queue ni tête où il est soi-disant question d'amour, de milieux sociaux, de relations familiales.
Première
par Olivier de Bruyn
(...) La mise en scène, ultra statique, et les dialogues, soulignant les ambiguïtés trois fois plutôt qu'une, annihilent les ambitions du scénario. Reste Hélène Fillières, comédienne excellant décidément dans les rôles de fille fâchée avec les conventions.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Pierre Murat (contre)
Parfois, l'insignifiance tue l'indulgence. Frédéric Videau a un (tout) petit talent pour l'étrange, le décalé. Il vise donc constamment le deuxième degré, sans se soucier un instant, hélas, de réussir le premier. Résultat : le scénario se délite, les personnages sont des ectoplasmes, et la mise en scène s'enfonce dans le vide au lieu de le refléter.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Frédéric Videau construit son film sur l'opposition entre ce qui se capte et ce qui se dérobe, entre la limipidité du regard, la solaire évidence des êtres et des choses, et ce qui se trâme sous l'image.
L'Humanité
Qu'à un premier long métrage de fiction un jeune réalisateur démontre un tel sens de la captation de la vie et du réel par les voies du cinéma viendrait presque rassurer quant à l'atonie actuelle du cinéma français.
Télérama
De Variété française et de sa musique ténue, on peut dire qu'ils laissent un peu à désirer. Mais c'est un compliment qu'on aimerait pouvoir faire à tant de films qui ne laissent rien du tout.
Chronic'art.com
Dommage alors que le caractère guindé de la forme (les plans fixes et larges se suivent avec monotonie), et par endroit un forcing démonstratif (personnages parfois chargés) empêchent le film d'accéder véritablement à la folie et au désastre d'un réel trop sage pour être honnête.
Le Monde
Variété française, à l'instar de ses personnages, n'est donc jamais là où on l'attend, et réussit l'exploit de conjuguer, entre comédie de remariage et film d'apprentissage, le doux unisson d'un air populaire à l'épreuve amère du cloisonnement social.
Libération
Variété française fait donc du délit de fuite son motif, une scène n'étant jamais chez Videau que le chemin de traverse qui lui permettra d'aboutir sur une autre piste, un peu comme dans ce drôle de bouquin d'Italo Calvino, Si par une nuit d'hiver un voyageur, où l'écrivain s'amuse à traverser et à essayer tous les genres possibles, toutes les potentialités imaginables.
Positif
Ecartelé entre autofiction et fantasme, ce qui a un effet de recul étrange, découpé en plans-séquences souvent intenses, progressant selon une arythmie à la fois déconcertante et excitante, ce film donne envie de voir les variantes futures de la vie de ce drôle d'homme-fils et de cinéaste décalé qu'est Frédéric Videau.
Zurban
Un peu de fantaisie (l'actrice Hélène Fillières) et des airs dont on connaît la chanson (variété française) sont les bienvenus dans ce parcours déroutant et original.
Aden
Le film manque véritablement d'un ton, que son titre en porte à faux souligne cruellement. Hésitant entre un naturalisme plat et un fantastique qui naît des angoisses du héros comme de petits faits apparemment anodins, le film se dilue.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Entre rêve et réalité, les personnages de Variété Française s'agitent dans une histoire sans queue ni tête où il est soi-disant question d'amour, de milieux sociaux, de relations familiales.
Première
(...) La mise en scène, ultra statique, et les dialogues, soulignant les ambiguïtés trois fois plutôt qu'une, annihilent les ambitions du scénario. Reste Hélène Fillières, comédienne excellant décidément dans les rôles de fille fâchée avec les conventions.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Parfois, l'insignifiance tue l'indulgence. Frédéric Videau a un (tout) petit talent pour l'étrange, le décalé. Il vise donc constamment le deuxième degré, sans se soucier un instant, hélas, de réussir le premier. Résultat : le scénario se délite, les personnages sont des ectoplasmes, et la mise en scène s'enfonce dans le vide au lieu de le refléter.