Road to Perdition plonge le spectateur dans une histoire maffieuse magnifiquement mise en scène. Musique, décors, acteurs, ... tout est fait pour nous mettre dans l'ambiance du film, ce qui fait qu'on reste scotché par l'intrigue jusqu'au bout. On pourra aussi apprécier le casting incroyable et les acteurs qui jouent des rôles à l'opposé de leurs habitudes. Bref, que du bon, à voir!
Excellent film qui nous plongent dans la Mafia Irlandaise des années 30. Avec un scenario incroyablement bien ecrit et on se laisse emporter par cette cavale initiatique d'un père et de son fils qui veulent venger la mort de leur proches. Tom Hanks est magistrale est touchant de sincérité, Paul Newman qui jouait ici l'un de ses dernier rôle et lui aussi très bon et une nouvelle fois je salue la performance d'un de mes acteur préfère a savoir Jude Law qui est absolument parfait . Un excellent film a qui il ne manque pas grand chose pour devenir un chef d'œuvre.
Un polar noir magistral et efficace. Tom Hanks, qui se fait malheureusement trop rare dans ce genre de registre, est épatant en gangster/père de famille froid et austère, qui ne laisse jamais transparaitre la moindre émotion. Son affrontement avec la légende Paul Newman restera un grand moment de cinéma, mais la palme du film revient sans hésitation à Jude Law, qui excelle au plus haut point dans son rôle de photographe/assassin déjanté et impitoyable. La mise en scène est recherchée , la photographie est soignée La bande originale composée par Thomas Newman possède une grâce particulière et la beauté graphique de l 'oeuvre lui donne beaucoup d'élégance. Malgré un rythme volontairement lent et une photographie très sombre , parvient à nous livrer un magnifique film de gangsters doublé d'une solide réflexion sur les relations ambigües entre père et fils.
Superbe histoire, simple mais très bien conté avec de beaux décors du début des années 30 et de bons acteurs. Belle profondeur des personnages. On ne s’ennuie pas une seconde mais il manque peut être parfois un peu d’action et certains passages sont un peu étonnant (facilité déconcertante des braquages de banques ainsi que l’assassinat du vieux et de ses gardes à la fin). 4 étoiles Easy pour ce très bon moment.
Après American Beauty,Sam Mendes change radicalement de registre en tournant Les Sentiers de la Perdition,une magnifique épopée des années 30 sur fond de gangsters et de vengeance.Niveau scénario c'est du bon meme si c'est dommage que ça à été déjà vu nottament dans Gladiator ou il y avait aussila relation héros-père spirituel-fils jaloux.Mais ça empêche pas d'accrocher au film dès le début de la traque.Paul Newman est très bon,Daniel Craig aussi,meme si c'est dommage que ces deux la n'apparaissent pas assez à l'écran,le gamin est bon voire très bon,Jude Law est aussi assez bon en tueur cruel et dérangé,mais finalement ce sera quand meme Tom Hanks qui m'à globalement le plus surpris parce que je m'attendais pas à ce qu'il soit capable de jouer un film d'action et encore moins un film de gangsters,arrivant meme à rendre sa performance touchante.On tient la un grand film d'époque à la mise en scène brillante,aux scènes d'actions superbes et bien interprété.Ça se classe dans la lignée des Incorruptibles ou de L.A Confidential.
Un grand film. Tom Hanks m'a épatée dans ce rôle! C'est vraiment bien traité, bien amené, bien filmé, bien rythmé. Tout est bien quoi (sauf Jude Law qui est vraiment hideux, mais ouais ok, on s'en fout).
C’est captivant comme film pour une intrigue classique de gangster papa, son métier est dangereux et y paiera le prix de sa vie de famille. Un drame au temps de la Dépression, une prohibition qui fit coulé du sang et des larmes essuyées, ce fut une période enrichissante pour les bad guys de Chicago. La base de la mise en scène est issue d’une bande dessinée américaine, ce ne sont pas seulement des histoires de super-héros super-pouvoirs et puis ça change du comic populaire habituel. Le style neo-noir est bien foutu, dans l’air du temps de « From Hell », le graphique dessin l’inspire, cet univers donné une sensation tendue, c’est la tragédie. Ça n’a rien à voir avec « American Beauty », l’Oscar d’un film horripilant et scénario prétentieux, grâce aussi à une excellente subtilité dans le bain d’ambiance musicale, l’enchaînement parfait pour la bande originale. Une légende cinématographique qu’est Paul Newman en vieux boss mafieux irlandais, fermant les yeux sur les bêtises de son fiston sans pitié avec les fuites de collaborateur, une infaillible filiation. Tom Hanks change son registre d’acteur tendre à sombre, vengeur mais n’usant jamais trop de la violence excessive, ce ne sera que succinct. Avec tranquillité, le dénouement est préparé vers une destinée fatale pour les tueurs à gages, un monde impitoyable.