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Un visiteur
4,0
Publiée le 22 février 2009
Un exelent film, ou l'incontournable Tom Hanks nous offre à nouveaux l'une de ses splendide interprétation. Captivant, Emouvant,...Une belle histoire. Un film qui mérite d'être vu!
J'ai aimé,surtout Jude Law qui est un ennemi peu bavard,malin et précis.Beaucoup de scènes m'ont plu par leur dialogues.Un scénario originale qui m'a plu.
Sam Mendes est définitivement un réalisateur talentueux. Son "American Beauty" était pour un coup d'essai un coup de maître. Ces "Sentiers de La Perdition" en sont la confirmation, sur un sujet assez inattendu. Une belle brochette d'acteurs pour commencer, T. Hanks en tête dans un rôle d'un genre inédit. Ensuite, la reconstitution de l'Amérique des 30's avec un grand sens du détail : décor, costumes sont excellents. Seule la neige du début n'est pas très crédible. L'histoire fait penser en bien des points au Parrain. Belle référence. L'image est somptueuse. Le scénario tient la route. L'univers de cette "Road to Perdition" opère son charme au fur et à mesure que le film se déroule, et que l'intrigue se développe. Enfin, la musique est utilisée de manière très intelligente. Un élément de plus et de poids dans les films de Gangster, à coté des récents "American Gangster", "La Nuit Nous Appartient". Le prochain film de Sam Mendes sera "Les Noces Rebelles"... A suivre de près donc.
Bien construit, superbement photographié, "Road to perdition" sort incontestablement du lot commun. Mais j'avoue n'avoir pas été totalement enthousiasmé par un scénario trop prévisible, et une interprétation quasi bressonnienne.
Sam Mendes prend ses distances avec le graphic novel d'origine, mettant de côté tout spectaculaire pour se concentrer sur l'errance de ses personnages au risque de destabiliser un peu le spectateur. En résulte un film glacial mais visuellement ahurissant, éclairé avec talent par Conrad Hall, mis en scène soigneusement et interprété avec une belle retenue.
J'ai acheté la VHS du film voici quelques années et, après l'avoir regardé, je n'ai pas été déçu, bien au contraire ! L'action est musclée et les acteurs parfaits notamment Tom HANKS et le regretté Paul NEWMAN. Dans le rôle de son fils aîné commençant à être initié plus ou moins malgé lui aux activités illicites de son père, Tyler HOACHIN nous joue là une très belle prestation tout comme Liam AIKEN, révélé dans Je rêvais de l'Afrique, dans le rôle éprouvant pour un enfant-acteur même confirmé comme lui du petit frère assassiné par la Mafia. L'aîné voudra alors à juste titre se venger et apprendra le maniement des armes dans ce but mais la fin est surprenante et alors il renoncera à s'en servir. Quant au suspens, il est prenant et constant avec l'ambiance des années 30 à Chicago très bien reconstituée. Bref ! un très bon polar que je vous conseille de regarder à la télé ou d'en acheter le DVD. Sa place est dans toute bonne DVDthèque. Là, je vous le dis ! vous passerez un très bon moment avec ce film et vous aurez ensuite l'envie de le revoir ou de le faire découvrir à vos amis.
Ce film est un vrai retour aux films anciens tant au niveau de l'époque que de l'ambiance assez noire et pesante. Cette histoire de mafia fait verser le film dans une tragédie à la fois violente et psychologiquement délicate à l'image de certaines scènes franchement rudes. Dommage que le réalisateur appuie un peu trop le côté sombre car le scénario excellent, l'histoire touchant entre le père et son fils, le dénouement incroyable et la prestation ultra convaincante du talentueux Tom Hanks sont autant d'atouts qui ne méritaient pas un traitement aussi appuyé mais un peu plus de simplicité.
Oraison funèbre pour les gangsters des années 30. En guise d’ange exterminateur : Tom Hanks qui liquide à coup de sulfateuse ce monde de patriarches froid et cruel, tout en préservant la vie et l’âme de son fils. Le film est d’une beauté plastique saisissante, rappelant les peintures d’Edgar Hopper. Il donne également une vision sombre et morbide du monde des truands, ne cédant jamais au folklore séduisant du milieu.
Le deuxième film de Sam Mendes est certainement son plus réussi. Ce polar magnifiquement réalisé dont la photo est superbe, possède des plans très travaillés où aucun détail n'est laissé au hasard. Une musique sublime magnifie l'ensemble avec un thème pour chaque personnage et les acteurs sont extraordinaires: Tom Hanks fait très bien ressortir la dualité de son personnage à la fois tueur froid et père aimant, Paul Newman est tout simplement impressionnant, Jude Law en tueur sadique est parfait et met le spectateur mal à l'aise chaque fois qu'il apparaît à l'écran. Sa première apparition filmée en travelling compensé (travelling arrière + zoom avant) donne immédiatement le ton. Sam Mendes évite les artifices et utilise une formidable économie de moyens: il préfère s'exprimer avant tout par les plans et par ses acteurs. Les dialogues sont souvent inutiles: le simple mouvement des corps dans une mécanique implacable suffit à dire beaucoup plus que des mots. Mais plus qu'un film policier promis à devenir un fleuron du genre, Road to Perdition est également une jolie histoire sur la relation entre un père et son fils et une formidable tragédie avec des personnages forts et charismatiques dont les différents face-à-face sont impressionnants de dureté et de violence retenue. Les seconds rôles complètent bien l'ensemble et la fin provoque des larmes. Road to Perdition est un vrai chef d'oeuvre à ne manquer sous aucun prétexte.
le dernier grand film sur la pègre, s'articule en fait autour de la relation père/ fils , et est servi par des prestations d'acteurs éblouissantes , en particulier un jude law psychotique à souhait.
Un beau film porté par des acteurs au sommet de leur forme mention spéciale pour le jeune homme qui joue le fils de Tom Hanks. Je ne mets pas 4 parce que je reproche quand même à Sam Mendes un penchant pour l'artificiel qui peut agacer à force...
Après le réussi American Beauty, je me demandais ce que donnait ce film : Les sentiers de la perdition.
Et bien pour ma part je trouve que Sam Mendes s'en est tout aussi bien tiré, et je crois même avoir préféré Road to perdition à American Beauty.
Avec un scénario simple mais efficace, on est vraiment suspendu à l'aventure de ce père et de son fils. Je tiens à souligner l'incroyable beauté du film, au sens visuel. L'oscar remporté pour la photographie si je ne m'abuse est vraiment mérité. Le choix de Tom Hanks pour jouer ce tueur en série sombre, en quête de vengeance, est original mais au final cela porte ses fruits, avec un résultat tout à fait crédible. Paul Newman et Jude Law sont eux aussi bons.
Un bon film. Ambiance similaire avec celle du parrain qui relate des faits se déroulant en 1931 et mêlant mafia, famille et homme de main. Le film se déroule dans une ambiance quasi identique du début à la fin sans grand pic d'action (un peu dans le même style que le parrain). On pourra retenir la très grande prestation de Tom Hanks et l'aspect réel du film. Peut être un petit point faible, sur certaines séquences où le réalisateur voudrait filmer Paul Newman un peu sous les mêmes angles que Marlon Brando dans le parrain, ce qui rend certaines séquences lourdes de comparaison.
Pour tous les amateurs de cette périodes, je vous conseille ce film en vous mettant bien en garde de ne pas le regarder comme une comparaison du parrain mais comme un film relatant des faits se passant à la même époque.
Ce film a été longtemps comparé au Parrain. Mais l'histoire est peu similaire. Les sentiers de la perdition narre comment un père et son fils, deviennent la cible d'une puissante famille mafieuse. Il traite beaucoup la relation père/fils, le desepoir suite a la perte de la femme et de l'enfant cadet du protagoniste. L'ainé devient précocement un homme. Il apprend a conduire et aide son père dans les moments les plus difficiles. Une histoire de vengeance, palpitante et glaçante. Tous les rôles sont parfaits et taillés sur mesure. Sam Mendes signe son deuxième long-métrage, après le très acclamé American Beauty. A noter la fin, qui vaut a elle seule le détour.