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Dans cet univers funeste, Tom Hanks, qu'on n'attendait pas dans ce registre, est saisissant en gangster au visage hiératique, ne laissant presque jamais prise à l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le talent toujours présent du réalisateur et de son équipe font des Sentiers de la perdition un film plus qu'intéressant. Cependant l'impact émotionnel du film est inférieur à ce que l'on pourrait en attendre, en tout cas inférieur à celui d'American Beauty.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Refusant avec la même énergie le sentimentalisme et le second degré, Mendes et ses acteurs parviennent, comme presque toujours au long de cette route, à redonner vie et innocence à des histoires usées par le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Un mélange de Scorsese (auquel on pense lors de la cérémonie funèbre d'ouverture, suivie de... danses irlandaises, elle) et de James Gray ("The Yards"), une photographie extrêmement soignée, stylisée, entre sépia et clair-obscur, une mise en scène recherchée où l'on peut se perdre dans le reflet d'une porte vitrée, quelques beaux morceaux d'anthologie : on ne s'ennuie pas, même si l'on n'est pas surpris.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Réalisateur doué, Sam Mendes (...) ménage un suspense constant et des moments d'émotion inattendus, servi par un casting grandiose où, en contrepoint du face-à-face Hanks-Newman, Jude Law prend plaisir à composer - magistralement : mimiques, voix, silhouette... un tueur photographe agité et disgracieux.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Et bien que le bouffi et usé Tom Hanks, que le dichotomique Paul Newman soient absolument superbes; bien que Sam Mendes n'ait définitivement plus à prouver son sens de l'image, on ne peut que regretter l'absence de mise à nu intégrale de cette très belle histoire entre un garçon et son père. Comme si le retour en arrière s'était fondu dans un classicisme étouffant.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
(...) les Sentiers de la perdition apparaissent comme un demi-succès (donc, un demi-échec). Le réalisateur ne parvient pas à esquiver l'écueil du chromo. Pas plus qu'il ne maîtrise son sujet jusqu'au bout le dernier tiers du film, centré sur la relation père/fils, sacrifie à de redoutables poncifs sur fond de cavale initiatique flirtant avec le mélo. En revanche, le regard porté sur la mafia irlandaise des années 1930 recèle plusieurs scènes d'une belle incandescence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
On ne saura jamais vraiment où ils mènent, ces "sentiers de la perdition", sans doute nulle part puisqu'une âme, chez cet affreux pudibond de Mendes, n'est jamais vraiment perdue. Ou plutôt vers un ennui aussi mou que les joues de Tom Hanks.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Se réfugiant dans la thématique lourdement surlignée de la filiation, Les Sentiers de la perdition, contrairement à ce qu'indique son titre, prend un chemin ultra-emprunté et peu risqué, s'embourbe dans les convenances lisses et vides d'un cinéma hollywoodien sans âme.
Aden
La promesse d'un grand film façon Hollywood. Promesse tenue.
Le Parisien
Inédit à l'écran, le duo Tom Hanks-Paul Newman est extraordinaire. "Les Sentiers de la perdition" est un chef-d'oeuvre !
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Choisissez la bonne route, prenez la direction de la salle la plus proche et laissez-vous donc mener sur le sentier de la perdition.
Positif
Dans cet univers funeste, Tom Hanks, qu'on n'attendait pas dans ce registre, est saisissant en gangster au visage hiératique, ne laissant presque jamais prise à l'émotion.
Cine Libre
Le talent toujours présent du réalisateur et de son équipe font des Sentiers de la perdition un film plus qu'intéressant. Cependant l'impact émotionnel du film est inférieur à ce que l'on pourrait en attendre, en tout cas inférieur à celui d'American Beauty.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Le film coule comme un fleuve opaque et tumultueux, avec un beau sens du romanesque.
Le Monde
Refusant avec la même énergie le sentimentalisme et le second degré, Mendes et ses acteurs parviennent, comme presque toujours au long de cette route, à redonner vie et innocence à des histoires usées par le cinéma.
Les Echos
Un mélange de Scorsese (auquel on pense lors de la cérémonie funèbre d'ouverture, suivie de... danses irlandaises, elle) et de James Gray ("The Yards"), une photographie extrêmement soignée, stylisée, entre sépia et clair-obscur, une mise en scène recherchée où l'on peut se perdre dans le reflet d'une porte vitrée, quelques beaux morceaux d'anthologie : on ne s'ennuie pas, même si l'on n'est pas surpris.
Première
American Beauty n'était pas un accident : Sam Mendes est fort.
TéléCinéObs
Après "American Beauty", le wonderboy Sam Mendes transforme l'essai.
Zurban
Réalisateur doué, Sam Mendes (...) ménage un suspense constant et des moments d'émotion inattendus, servi par un casting grandiose où, en contrepoint du face-à-face Hanks-Newman, Jude Law prend plaisir à composer - magistralement : mimiques, voix, silhouette... un tueur photographe agité et disgracieux.
Cinopsis.com
Et bien que le bouffi et usé Tom Hanks, que le dichotomique Paul Newman soient absolument superbes; bien que Sam Mendes n'ait définitivement plus à prouver son sens de l'image, on ne peut que regretter l'absence de mise à nu intégrale de cette très belle histoire entre un garçon et son père. Comme si le retour en arrière s'était fondu dans un classicisme étouffant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
(...) les Sentiers de la perdition apparaissent comme un demi-succès (donc, un demi-échec). Le réalisateur ne parvient pas à esquiver l'écueil du chromo. Pas plus qu'il ne maîtrise son sujet jusqu'au bout le dernier tiers du film, centré sur la relation père/fils, sacrifie à de redoutables poncifs sur fond de cavale initiatique flirtant avec le mélo. En revanche, le regard porté sur la mafia irlandaise des années 1930 recèle plusieurs scènes d'une belle incandescence.
Mad Movies
(...) à justement trop hésiter entre démesure et retenue, Sam Mendes finit par ne pas développer tout le potentiel de l'intrigue.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
L'émotion affleure, ici et là, sous l'impeccable glacis de l'image, et la perfection lisse d'un cinéma un peu trop millimétré.
Cahiers du Cinéma
La morale est sauve et l'exercice n'aura profité à personne.
Chronic'art.com
On ne saura jamais vraiment où ils mènent, ces "sentiers de la perdition", sans doute nulle part puisqu'une âme, chez cet affreux pudibond de Mendes, n'est jamais vraiment perdue. Ou plutôt vers un ennui aussi mou que les joues de Tom Hanks.
Les Inrockuptibles
Se réfugiant dans la thématique lourdement surlignée de la filiation, Les Sentiers de la perdition, contrairement à ce qu'indique son titre, prend un chemin ultra-emprunté et peu risqué, s'embourbe dans les convenances lisses et vides d'un cinéma hollywoodien sans âme.