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Vinz1
201 abonnés
2 526 critiques
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2,0
Publiée le 17 mai 2023
Rappelant « La horde », « The mist » ou encore « High-rise » par les thèmes qu'il brasse, « La tour » est un film de genre français où le fantastique est juste un prétexte pour développer certaines situations, notamment celles de survie dans un immeuble dont on ne peut sortir et d'où aucune communication vers l'extérieur n'est possible. Si le scénario propose deux, trois bonnes idées, l'ensemble est malheureusement assemblé maladroitement. En effet, nous avons la désagréable impression de voir des scènes de vie quotidienne s'accumuler de manière décousue plutôt que d'avoir une vraie continuité, les incohérences sont nombreuses (l'histoire avec les bébés, les nombreux sauts dans le temps...). Nous pourrions également déplorer que le film n'aille pas plus loin dans la violence, la barbarie et autres conflits entre les divers gangs qui peuplent cet immeuble de 150 habitants tout de même ! Tout comme on pourrait ajouter qu'aucun personnage ne dégage de l'empathie et ne mérite qu'on s'attache vraiment à son sort. Au final, ce long-métrage d'une noirceur exacerbée avec son idée fantastique pas du tout exploitée jette un regard plus que critique sur le genre humain, et prend la forme d'une allégorie misanthropique désespérée sur la survie en espace clos, mais malheureusement n'apporte rien de nouveau qu'on ne connaissait déjà sur la nature humaine !
"La Tour" est un film que j'ai moyennement apprécié. L'histoire est sympa et passionnante mais le début est trop rapide, je n'ai pas trop apprécié que ça soit aussi précipité, il y a pas de conteste et on n'a pas appris à bien connaître les personnages. Les acteurs ne sont pas tous convaincant, manque de tension pour un tel film et dommage qu'il y est rien eut a la fin pour faire comprendre du comment et pourquoi les gens de cet immenble ses arrivé cette chose étrange.
La Tour explore le principe du huis clos et d'une situation post apocalyptique avec création de clans, de violences humaines pour prendre le pouvoir et en même temps se protéger, et l'ingéniosité ou la cruauté pour survivre. Original mais très irréaliste et un peu lent et pesant. Un peu gore, un peu thriller, le qualificatif de film d'horreur est trop fort.
Quel Film Hors Sujet Pourquoi ? Pourtant l'idée de départ est bonne, puis Pof sa part dans le N'importe quoi . Des Personnages qui semble errer dans l'immeuble sans fondement. A part parler de racisme sa raconte rien et c'est bien dommage pire Film 2023 que j'ai vu .
La survie d'une communauté dans un espace restreint (et donc avec des vivres limités). On sait très bien comme peut se finir une telle histoire, au bout d'un moment il va falloir prendre des décisions radicales, de gré ou de force... Je pensais qu'on allait en savoir d'avantage sur ce mystérieux brouillard, que les habitants allaient tenter de comprendre le pourquoi du comment et non, le film n'est pas DU TOUT axé là-dessus. Bon le côté survie c'est bien mais déjà 1000 fois exploité et il n'y a rien de nouveau ici.
Le plus versatile des réalisateurs français aborde cette fois plus franchement le cinéma de genre, autour duquel il a tourné durant la majeure partie de sa carrière. Cependant, l’élément inexplicable - une tour d’habitation se retrouve projetée dans ce qu’on appellera, faute de mieux, le “néant” - ne lui sert que de base de travail. Confrontés à l’inexplicable et à la réclusion forcée, les résidents se regroupent très rapidement sur une base ethnique et culturelle à travers les différents étages. Le fragile équilibre est maintenu vaille que vaille par le troc et les rencontres discrètes des “ambassadeurs”...mais le moindre vol, la moindre agression peuvent mettre le feu aux poudres alors que les mois et les années passent, que la morosité s’installe, que l’habitat se délabre et que la survie devient de plus en plus compliquée. A équidistance idéale des codes de genre et de la vision d’auteur, Nicloux exploite son concept très “Quatrième Dimension” avec un certain brio et alterne le point de vue des personnages et des clans, qui s’adaptent comme ils peuvent à une situation qui les pousse inéluctablement vers la barbarie. Moins complexe et “philosophique” que d’autres huis-clos verticaux comme ‘High-rise”, plus primal, ‘La tour’ semble également fonctionner comme une allégorie d’une France au bord de l’implosion permanente, tiraillée entre des communautés qui ne se font plus aucune confiance.
Voir un film de genre en France, c’est toujours quelque chose de risqué et d’ambitieux. Et puis finalement, c’est vraiment pas mal mais il paraît un peu trop artificiel. Le scénario est suffisant et la mise en scène est parfois too much mais c’est plutôt cool.
Le scénario a autant de bons points que de points à améliorer. Tout d’abord, le concept est vraiment original et le développement de l’histoire est littéralement complet ; par contre, je trouve qu’il y a un peu trop d’ellipses. Sinon, la psychologie des personnages et les liens qu’ils ont entre eux sont beaucoup trop flous et auraient mérité un peu plus de développement. Mais les protagonistes en eux-mêmes sont plutôt bien caractérisés mais certains sont trop absents. Dans le même genre, leur motivation est assez floue et la fin est quand même très brutale.
La réalisation est franchement propre ; il n’y a pas grand chose de négatif là-dedans : seulement certains plans qui sont vraiment too much et prêtent presque à rire, la plupart des acteurs ne sont pas très convaincants, et les effets spéciaux sont légèrement laids mais peu présents. Sinon, visuellement, c’est très beau ; la photographie est de très bonne qualité avec une image bien marquée et bien sombre. Le décor est absolument convaincant. Mais ce qui est le plus fou, ce sont les grosses basses bien marquantes et la musique qui sont puissantes.
Au-delà de soutenir un projet français passable, le film est vraiment divertissant et propose quelque chose d’intéressant. Hatik est très bon, il faut le remarquer. Le scénario est prenant mais, c’est surtout la réalisation qui est à remarquer.
L'histoire en elle même elle aurait pu être bien mais la c'est vraiment mal exploiter le jeu d'acteur et vraiment nul ont dirait que c'est la première fois qui jouent en tant que comédien(ne) le rythme du film ne suit pas tellement d'incohérences dans les plans caméras 3/10 dommage l'histoire en elle même aurait pu être bien mais avec des personnes beaucoup plus compétent dans le domaine du cinéma
La Tour n'est absolument pas un film d'horreur mais juste un film horriblement creux, aux scènes plus absurdes les unes que les autres avec des personnages plus idiots les uns que les autres et des acteurs qui ne sont pas crédibles une seconde. Un scénario insipide qui ne véhicule aucun message sociétal, contrairement à ce qu'il veut nous faire croire, tant les clichés se succèdent. Un ratage à tous les étages.
La science fiction et l'horreur/épouvante ont toujours été le domaine des États-Unis, ensuite les réalisateurs espagnols ont pris la relève ainsi que d'autres pays. Il y a la France qui a déjà tâté le terrain mais sans vraiment réussir, mais il y a des exceptions et c'est bon signe avec par exemple le génial "La nuit a dévoré le monde" et récemment" Deep fear". Guillaume Nicloux a réalisé "La tour" qui en fait partie, une apocalypse se situant dans une banlieue ou l'atmosphère glauque et terrifiante s'installe au fur et à mesure. L'interprétation des acteurs est excellente, ce film est cru dans l'horreur physique et psychologique, etla fin est horrible. Une mention spéciale aux maquillages, ici les corps sont montrés sales et ravagés, rien à voir avec certains films U. S. post apo ou les acteurs ont des dents bien blanches et des cheveux faussement cracra.
Un noir opaque, tranchant, a remplacé le brouillard du roman de 2010 de Jean-Pierre Andrevon, "La maison qui glissait". La ficelle ethnique est trop grosse : le personnage central, qui permet les allers-retours entre communautés, est une métisse blanc black amie avec un algérien. Ce sont malheureusement les seules caractéristiques qui semblent justifier l'attention de la caméra, car elle n'a aucune épaisseur. Le filon homosexuel n'est pas de reste, avec trois habitants traités sans intérêt moral. L'horreur tient davantage dans l'évolution vers une société à la Gilles de Rais, où l'humanité peu à peu disparait, que dans le phénomène prétexte qui contraint à l'enfermement. J'ai envie de demander : à quoi bon survivre dans ces conditions? qu'est-ce qui motivent les uns et les autres? Aucune réponse, sinon le nihilisme.
Franchement à la fin du film ou à tous si un fou rire . On ne savait trop quoi penser ce ce film . J'ai même entendu une fille dire à un garçon " plus jamais je ne te laisserai choisir le film" C'est pas comme si un film avait toujours une certaine utilité , mais celui n'en avait aucun ! Un
Film abject et sans aucun intérêt ! On s'ennuie tout du long et une fois la fin du supplice arrivée on se demande encore où on a bien voulu nous emmener... Film à éviter absolument !